Le Spleen De Paris Méditations

d'une fratrie de huit, et fils d'un aristocrate corse, Charles-Marie Bonaparte et de Letizia Ramolino. Envoyé à onze ans à l'école militaire de Brienne, il la quitte ensuite, ayant fini ses années d'étude, pour poursuivre dans l'école militaire de Paris, en 1784. sous-lieutenant en 1785, il commence sa brillante carrière. Alors Bonaparte devient connu pour ses excellentes et fréquentes victoires basées sur une stratégie de génie pour la plupart. Tandis que le Directoire s'affaiblit, Bonaparte, lui

démons de la nuit (1821) ; La Fée aux miettes (1832) • V. Hugo. Les Djinns (1828) • P. Mérimée. La Vénus de L’Isle (1837) • G. de Nerval. Les Filles de Feu, dont « Sylvie » et « Aurélia » (1854) (nouvelles) Littérature poétique • A. de Lamartine. Méditations poétiques (1820) ; Jocelyn (1836) • A. de Vigny. Poèmes antiques et modernes (1826) ; Les Destinées (1864) • V. Hugo. Feuilles d’automne (1831) ; Les Voix intérieures (1837) ; Les Contemplations (1856) (poésie lyrique) ; La Légende des siècles (1859-1883)

gloire de Napoléon Ier. Les progrès intellectuels apportés par les lumières s’accompagnent d’un vide spirituel. ------------------------------------------------- Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen (Baudelaire) sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l'homme, la cruauté de la nature accablent l'esprit, et lui inspirent des tentations de révoltes

concept de « nature » : Aristote : Physique II et III M. Heidegger : Qu’est-ce qu’une chose ? Diverses manières d’interroger en direction de la chose, p. 13 – 63 et Question II, « Comment se détermine la phusis » p. 471 – 582 R. Descartes : Méditation Métaphysiques, fin II « le morceau de cire » Principes de la philosophie I ; §.51 - §.69 E. Kant : Premiers principes métaphysiques de la nature, « préface » Prolégomènes à toute métaphysique future §.14 -§.16 II°. LA NATURE

Dostoïevski. Et aussi il y a un autre auteur, mais anglais, très important L. Carroll (1865) « Alice au pays des Merveilles » et Melville (1851) « Moby Dick ». · 1870-1940 : Troisième République. Il y a une répression très forte. En 1871 : commune de Paris, comités dans les usines qui veulent le pouvoir, ils veulent d’installés à l’autogestion sans patron. Ils faisaient les coopératives. Thiers → va faire des prisonniers et ils vont faire un monument que c’est le Sacre Cœur pour donner un exemple.

déclare Charles Baudelaire dans Le balcon (Les Fleurs du Mal). Cette figure de style est très forte, le poète arrive à ressentir l’essence même de sa bien-aimée, son sang qui la compose. Aussi, il décrit dans Un hémisphère dans une chevelure (Le spleen de Paris) les sensations, à travers de nombreuses métaphores, que lui procure la présence de cette femme « Tes cheveux contiennent tout un rêve, plein de voilures et de mâtures ». Pour lui, une femme n’est pas seulement un objet de désir, c’est tout son

prose s’efface progressivement sous l’impulsion du mouvement romantique mû par un désir de liberté dans l’art. Le poème en prose voit le jour en 1842 avec le recueil Gaspard de la nuit d’Aloysius Bertrand ; Charles Baudelaire publie en 1869 Le Spleen de Paris, qui porte le sous-titre de « Petits poèmes en prose ». Les recueils de poèmes en prose s’imposent avec succès  au XIX° avec Lautréamont, Les Chants de Maldoror (1869), et Rimbaud, Illuminations (1886) ; au XX° avec Francis Ponge, Le Parti pris

prose s’efface progressivement sous l’impulsion du mouvement romantique mû par un désir de liberté dans l’art. Le poème en prose voit le jour en 1842 avec le recueil Gaspard de la nuit d’Aloysius Bertrand ; Charles Baudelaire publie en 1869 Le Spleen de Paris, qui porte le sous-titre de « Petits poèmes en prose ». Les recueils de poèmes en prose s’imposent avec succès au XIX° avec Lautréamont, Les Chants de Maldoror (1869), et Rimbaud, Illuminations (1886) ; au XX° avec Francis Ponge, Le Parti pris

loin qu’un simple réalisme en faisant de l’huître une allégorie d’un monde meilleur. On peut alors penser à la préface des Odes de Victor Hugo : « Sous le monde réel, il existe un monde idéal, qui se montre resplendissant à l’œil de ceux que des méditations graves ont accoutumés à voir dans les choses plus que les choses. » où le poète serait un voyant, dont le pouvoir rare serait de passer vers d'autres mondes, plus idéaux, et inaccessible au commun des mortels. Par ailleurs, le poète n’a t-il pas

impulsif et ne peut œuvrer à la réalisation des moyens de son bonheur, laquelle dépend de la volonté telle que nous l'avons définie plus haut. Faire le mal, c'est donc n'écouter que ses pulsions et qui est un homme sain ne peut le vouloir. Dans son poème Spleen 3, dans Les fleurs du mal, Baudelaire décrit l'ennui d'un roi « cruel » et injuste. Il s'agit de montrer quels sont les effets de l'injustice et du mal sur celui qui les commet. Le roi, qui possède absolument tout (« précepteurs », « bouffons », « dames