Le Splendid

« terre à bâbord ! ». Nos visages s’éclairèrent à la vue de l’île extraordinaire vers laquelle nous dérivions lentement. Sur une parcelle de terre oblongue à peine vallonnée et d‘environ 10 acres, notre regard fût happé par la vision d’arbres splendides au tronc et aux branches dorés, sertis de pierres précieuses et dépourvus de toutes feuilles. Une fontaine à deux têtes de vin et d’eau creusée dans du jade s’écoulait lentement sur des pierres de lune. A côté, des buffets dressés présentaient les

c’est très impressionnant la manière, la rapidité et la créativité qu’il met lorsqu’il dessine. À la fin de l’exposition, on découvre sa dernière collection (2002) ainsi qu’une panoplie d’échantillon de tissu bien répertorier. Cette salle est splendide. C’est réellement une exposition incontournable.

meilleures productions sont d’Hollywood. Ce rêve est dû aussi à toutes les nouvelles technologies qui sont concentrées dans cet état californien. On y trouve même des plages sublimes, comme la plage de Venice à Los Angeles avec une vue sur l’océan splendide et un climat doux toute l’année.

par la sortero. Chaque matador tire au sort les deux taureaux dont il ôtera l'âme. Depuis quand le droit de vie ou de mort doit appartenir à l'homme? Je vilipende la corrida, cette pratique aberrante où l'homme massacre sans la moindre vergogne ce splendide animal qu'est le taureau. Par la suite, lors de l'apartado, les bovins attendent leur tour dans des cellules obscures et inappropriées pour leur taille. Ma fois, ces animaux méritent au moins un traitement digne de leur bravoure et de leur noblesse

acteurs étaient à l’aise dans leurs personnages et leurs jeux étaient magistraux. Une fin heureuse, Merlin retrouve Lisette et Blaise Colette, on comprend alors la magnifique ruse de Merlin. Un moment fantastique, généreux en émotion, étincelant et splendide. Merci Marivaux ! Au Parvis Saint-Jean : Théâtre Dijon Bourgogne Du 4 au 13 novembre en semaine à 20, le samedi à 17h.

américain en noir et blanc d‘Orson Welles sorti en 1947. Interpréter notamment par Rita Hayworth (Elsa 'Rosalie' Bannister) Orson Welles (Michael O'Hara) Everett Sloane (Arthur Bannister) Glenn Anders  (George Grisby). Michael O'Hara rencontre la splendide Elsa Bannister, qu'il sauve peu après d'une agression dans un parc. Mariée à Arthur Bannister un riche avocat âgé, ayant pas de scrupule et boiteux. Elsa trouve un travail à Michael sur le yacht de son mari. O'Hara tombe amoureux d'Elsa devant son

cantonne au milieu du terrain, durant toute la première mi-temps, et les occasions sont rares. Seul l’attaquant de Manchester United : Rafael parvient à toucher le montant de Hart. Lors de la seconde période, le match s’emballe grâce à une frappe splendide. En effet, bien servi par Nasri, Milner ouvre le score peu avant l’heure de jeu. L’avantage est de courte durée puisque Kompany marque contre son camp, alors qu’il a été irréprochable le reste de la rencontre. Erreur sans conséquence car Aguerro

chambre est douce. J'aime le chêne altier moins que le nid de mousse ; J'aime le vent des prés plus que l'âpre ouragan ; Mon cœur, quand il se perd vers les vagues béantes, Préfère l'algue obscure aux falaises géantes. Et l'heureuse hirondelle au splendide océan. […] Victor HUGO Recueil : Les rayons et les ombres Titre de la peinture: Église d'Anvers. Peintre: Vincent van Gogh 1/ ce poème a retenu mon attention car il décrit une église comme si c’était la première fois qu'il en voit une

En lisant Rimbaud Ma Bohème Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot1 aussi devenait idéal2 ; J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal3 ; Oh ! là là ! Que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse4. Mes étoiles5 au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre

uniquement par le plaisir, qui ira jusqu'à la consumer. Une magnifique fresque qui dépeint la lutte des pouvoirs au moment des aménagements immobiliers à Paris, un portrait d'une classe sociale dont le clinquant n'a d'égal que sa vacuité. Et de splendides descriptions, comme Zola sait si bien le faire, notamment du Bois de Boulogne, qui se construit réellement sous nos yeux, dans la brume du matin ou dans les ombres du crépuscule. La Curée est un terme de chasse, qui représente les restes de gibier