Le Splendid

l’entreprise « Hôtel Miramar » située sur la plage,3 Boulevard Beaurivage. 1) Présentation de l'établissement Cet hôtel est idéalement situé en bord de mer, le long de la plage de la Ciotat . Certaines chambres de l' hôtel Miramar offrent une vue splendide sur la mer. Les 24 chambres sont équipées d'une climatisation, d'une salle de bain et d'une télévision. Le restaurant « L' Orchidée » sert de délicieuses spécialités traditionnelles accompagnées de vin de la région. Le repas peut être servi

une excursion sur un site archéologique; visite un monument, flâne dans la ville m'arrête pour me laisser pénétrer par le charme de ces vieilles façades délavées... Mais est-ce vraiment ce pays qui m'inspire ce sentiment? Je visitais un splendide cloître et m'émerveillais sue les fresques qui le décoraient quand tout à coup, au milieu d'un petit groupe , je crus apercevoir celle que j'espérais... Mais était-ce bien elle? Elle me paraissait avoir une chevelure plus claise que dans mes souvenirs

désolation morbide, bientôt portée à son apogée. D'autres habitants,paisibles autochtones, d'une telle dignité et apparemment en harmonie avec leurs environnement et avec eux-même, déambulaient nonchalamment sur les chemins terreux, drapés d'une splendide peau noireaux reflets d'ébène, qui habillait avantageusement leurs corps décharnés. Leurs corps étaient déchus, pathétique, difforme, artistiquement squelettique et buriné par la malnutrition, ils étaient toutaussi ornés de chapelets de mouches voraces

également un portrait nous fait remarquer les formes avantageuses de la jeune et belle Mlle Dufour « Grande, mince de taille et large des hanches, elle avait la peau très brune, les yeux très grands, les cheveux très noirs ». D’après le narrateur, cette splendide beauté possède d’autres nombreux atouts « Sa robe dessinait nettement les plénitudes fermes de sa chair qu’accentuaient encore les efforts des reins qu’elle faisait pour s’enlever ». « Ses bras tendus tenaient les cordes au dessus de sa tête, de

couler plus tard". Ce film à donc été une sorte d’échappatoire pour ces ados angoissés par leur futur et le devenir du monde. La pollution, le chômage etc.… Plonger et ne pas revenir à la surface. Voila l’ultime échappatoire. Le monde sain et splendide de la mer a fasciné tous ses ados qui d’ailleurs accrochaient les affiches du film dans leur chambre, collaient des photos de dauphin dans leur cahier de texte, tannaient leurs parents pour qu’ils les inscrivent à des cours de plongée

à faire des vers, en amateur. 7. Rimbaud (Ma Bohème, Cahier de Douai) ″Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées, Mon paletot aussi devenait idéal ; J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ; Oh ! là ! là ! Que d’amours splendides j’ai rêvées !″ Ronsard (Les Hymnes, V. de l’Automne) ″ Le jour où je fus né, Apollon qui préside Aux Muses, me servit en ce monde de guide…″ 8. Dans le sens ancien et primitif, la musique n'était pas une science particulière, c'était tout

pecheur qui nous observait pendant au moins 45min partis. Et on fit enfin seuls sur ce quai paisible. On regardait l'eau, les belles vagues,le ciel bleu, les paisibles nuages et cette sphere energetique appellee "soleil".Mais parmis tous ces splendides paysages qui m'entouraient rien ne me parrut aussi sublime que son regard, ces yeux, son magnifique sourir, Lui. Je voulais parraitre discrete en faisant semblant de regarder le paysage. On entendait plus que le bruit des vagues s'embrasser entre

à Dieu. ROSETTE. Comme vous me parlez, monseigneur ! PERDICAN. Tu ne sais pas lire ; mais tu sais ce que disent ces bois et ces prairies, ces tièdes rivières, ces beaux champs couverts de moissons, toute cette nature splendide de jeunesse. Tu reconnais toute cette nature splendide de jeunesse. Tu reconnais tous ces milliers de frères, et moi pour l'un d'entre eux ; lève-toi ; tu seras ma femme, et nous prendrons racine ensemble dans la sève du monde tout-puissant. Il sort avec Rosette. Alfred

pas la mort. Ayant accepté la proposition les deux monstres se mirent à rires. Ne sachant pourquoi, ils en riaient ; Pierre se mît à dessiner le brouillon sur une feuille de papier. Lui qui n’était pas doué en dessin s’étonna car ce dessin était splendide, tellement rayonnant, qu’il e fit arrêter de rire les deux monstres. Ces derniers étaient en admiration devant lui ; devant sa prestation qu’il était en train de réaliser petits à petits on distinguait les élèves effrayés par la tâche noire qui avalés

au milieu des javelles,Le brin d'herbe, et Dieu fait tressaillir le tombeau.La forme d'un toit noir dessine une chaumière;On entend dans les prés le pas lourd du faucheur;L'étoile aux cieux, ainsi qu'une fleur de lumière,Ouvre et fait rayonner sa splendide fraîcheur.Aimez-vous ! c'est le mois où les fraises sont mûres.L'ange du soir rêveur, qui flotte dans les vents,Mêle, en les emportant sur ses ailes obscures,Les prières des morts aux baisers des vivants. Crépuscule sur le marais, de Anita