Le Suffrage Universel Sous Le Second Empire

l'Etat dans sa conception la plus simple est une personne morale de droit publique territorial et souveraine. L 'Etat est donc tout d'abords un territoire, ce qui comprend les terres l'espace maritimes (Eaux territorial),l'espace aériens, l'espace sous terrain. Sans territoire, il n'y a pas d'Etat "Ex: la Palestine n'a spas de territoire définit et sécurisé". Cet Etat à une population , qui n'as pas à être homogène. Il peut avoir au sein d'un mm Etat des peuples différents " Ex: Ex-URSS

instabilité et du changement, avec de nombreux changements de régime politiques et d’ordre social. Durant cent ans, on retrouve en France environ dix régimes politiques et de nombreuses personnes en tête du pouvoir ; il s’agit d’un consulat, de deux empires, quatre régimes monarchiques, deux républiques. A tout cela s’ajoute un essor économique sans précédent et l’avènement de deux classes sociales nouvelles : la bourgeoisie qui s’affirme comme étant de plus en plus forte et le prolétariat qui se propose

cet égard, il est intéressant de s'attarder à la relation entre le président de la république et son peuple car celle-ci a subi une profonde mutation entre la IVe et Ve république. Dès lors s'interroger sur le président de la république et le peuple sous la Ve république revient à se poser la question suivante : dans quelle mesure le dialogue direct entre le président de la république et le peuple constitue-t-il une nécessité au maintien de la Ve république ? L'élection du Président de la République

un droit naturel de type réaliste, objectiviste. Le sujet est hétéro-normé : normé par autre que lui → la nature. Transgression entre le fait et le droit. D'Occam considérait, à l'encontre de D'Aquin, que dans la nature, il n'y a pas d’entité universelle (la famille, la cité, l'état). Ce que Aristote réputait de réel, D'Occam le considère nominal, conceptuelle (ce ne sont que des noms : droit positif et pas naturel ; la famille ne serait pas naturelle). Les valeurs sont celles que le législateurs

mais aussi pour sa réussite en l’enracinement des valeurs républicaines comme les droits de l’Homme ou encore l’éducation en France, là où les la Ière et la seconde République avait échoué. Dans quel contexte s’est elle bâtie. La capitulation de la France à la guerre Franco-prussienne entraine la fin du Second Empire, un territoire national sous occupation de l’armée Allemande, un pouvoir exécutif mise à mal par la destitution de l’empereur Napoléon III, une population qui n’a pas digéré une défaite

politiques, enjeux idéologiques et mentalités. SECTION 1 Division et déclin des idées monarchiques La révolution française ,a donnée un coup fatal aux monarchistes et certains monarchistes vont tenter d’adapter leurs idées aux temps nouveaux sous la forme d’une monarchie constitutionnelle. En 1789 la révolution des juristes est un moment déterminant parce qu’elle permet d’accélérer le processus révolutionnaire. L’assemblée se déclare assemblée constituante c’est-à-dire qu’elle se charge de

Constitution : elles résultent de l’article 24. Les députés sont élus au suffrages universel direct et les sénateurs au suffrage universel indirect. Par ailleurs la constitution renvoi à unE loi organique le soin de fixer le nombre de députés et sénateurs. Depuis la révision de 2008 un nombre maximum est institué : les députés ne peuvent excéder 577 et les sénateurs 347. L’article 3: le suffrage universel est toujours universel, égal et secret. Sont électeurs tous les français majeurs des deux sexes

«  L’idée Républicaine (1852-1870) » Exclus de la vie politique sous le Second Empire, plus particulièrement entre 1850 et 1860, les Républicains entreprirent de conquérir les consciences. Appuyés par les ouvriers et les artisans, les Républicains étaient menés par une élite bourgeoise dont les revendications étaient plus politique que sociales. Mais la France bonapartiste change au tournant des années 1860, notamment après les élections de 1863, qui marquent un recul incontestable des candidats

progression de l'idée d'un suffrage universel ; le moyen le plus socialement légitime de désignation des gouvernants. Exemple : Dans la grèce antique, au 4è siècle av JC, le poste le plus élevé dans l'organisation de la cité (= chef de la cité) est tiré au sort. A l'époque cela signifie être choisi par les Dieux, il est plus légitime d'être tiré au sort que d'être élu. Devient, par conséquent, légitime l'assemblée élue au suffrage universel. Le suffrage universel direct dote ceux qui sont

généralement débuté le XIXe siècle en 1815 lors de la fin de l’Empire Napoléonien et du Congrès de Vienne et le font terminer en 1914 qui est le début de la Première Guerre mondiale. Durant le XIXe siècle, il y a eu une grande instabilité politique sous divers régimes : comme la monarchie avec Louis Philippe, les différentes Républiques, l’Empire avec Napoléon III. Comme nous la décrite Victor Hugo dans les misérable se fut une époque entrecoupée de révoltes et de révolutions. Mais aussi décrite par