Le Syndicalisme Et Le Socialisme

Corporatisme Ni individus, ni groupes (15) (partis poli‑ tiques, associations, syndicats, classes) en de‑ hors de l’État. Le fascisme s’oppose donc au socialisme, qui fige le mouvement historique dans la lutte des classes et ignore l’unité de l’État qui fond les classes en une seule réa‑ lité économique et morale ; et de même, il est contre le syndicalisme de classe. Mais le fascisme veut que, dans l’orbite de l’État, les exigences réelles qui donnèrent naissance au mouvement socialiste et syndicaliste

en référence à Auguste Blanqui. Celui-ci constitue l'héritage révolutionnaire sur son versant jacobin puisqu'il est l'héritier spirituel de Gracchus Babeuf ; d'autre part, les proudhoniens, en référence à Pierre Josephe Proudhon. Il s'agit de socialisme à tendance anarchiste qui lutte contre l'autorité bourgeoise. Il se bat contre la propriété inviolable et sacré car elle est la base de l'injustice sociale. Il se prononce en faveur de sa collectivisation. Selon les proudhoniens, la fin de l'Etat

Marxisme Marxisme Théorie Marxisme Communisme Socialisme Internationalisme Collectivisme Société sans classe Manifeste du Parti communiste Le Capital Théoriciens Karl Marx Friedrich Engels Rosa Luxemburg Anton Pannekoek Lénine Georges Sorel Léon Trotsky Articles en rapport Capitalisme Classe sociale Prolétariat Lutte des classes Révolution Conseil ouvrier Dictature du prolétariat Révolution permanente Histoire du capitalisme Syndicalisme révolutionnaire [1] Le marxisme est un courant politique

catégories socio-professionels de la classe moyenne. Certains auteurs concluent à un éclatement de la classe moyenne. II- LES SYNDICATS EN FRANCE Le syndicalisme : crise ou mutation Les syndicats sont nés de la volonté d'institutionnaliser les conflits, surtout les conflits du travail. Il s'agissait d'éviter le recours à la violence et la montée du socialisme qui menacait l'ordre social libéral. Si les syndicats défendent les interêts socio-professionels et matériels de leurs membres, ils contribuent

partir des années 1980. II)Le rôle des idéologies L'industrialisation se réalise dans le contexte d'un capitalisme triomphant dont les abus génèrent de grandes inégalités sociales, ce qui entraîne l'essor des mouvements socialistes et du syndicalisme ouvrier. 1-Le 19eme siècle : l'âge d'or du libéralisme ? Le libéralisme est un courant de pensée qui se forge à la fin du 18eme siècle autour de l'oeuvre d'Adam Smith et qui triomphe au 19eme siècle. Sa devise est : "laisser faire, laisser

14% des Français. C’est pour améliorer les relations entre ces acteurs que les syndicats existent II Présentation du syndicalisme - Historique Une association syndicale est une personne morale. Le but d’une association syndicale est de regrouper des individus (des travailleurs) qui ont des intérêts communs à la défense du travail et de ses droits. Le syndicalisme et ses formes ont évolué au fil des années. On peut dire que la première loi créant le droit syndical se situe en 1884. Le

selon eux exploite les ouvriers (prolétariat) et qui doit conduire ces mêmes ouvriers à s’emparer du pouvoir par la Révolution. Le mouvement communiste va être critiqué par les anarchistes pour lesquels seule la violence est capable d’abattre le socialisme. Doc.2 et 3 p.47 Capitalisme libéral : On parle aussi d’économie de marche. Il s’agit du système économique dans lequel les entreprises sont des propriétés privées dont le but est la recherche du profit au sein d’un marché où s’exerce, théoriquement

de Napoléon III est acceptée parce que le mouvement révolutionnaire de 1848 et les révoltes ouvrières ont donné comme priorité le retour à l'ordre. De plus le libéralisme se sent menacé par une idéologie nouvelle la fin des années 1840 qui est le socialisme. Pour les libéraux l’État, même libéral, est dangereux. On constate que le pouvoir libéral va de la nécessité de réaliser la volonté du peuple à la nécessité de protéger la liberté des individus. Les contradictions de l’État libéral Tout

Bourses du travail qui sont sur au plan local des bureaux de placement, des lieux de réunion et d’information, et prônent l’indépendance des syndicats et la grève générale. Socialisme municipal par la conquête des mairies Les lois scélérates permettent de réprimer efficacement l’anarchisme qui se replie dès lors vers le syndicalisme mais aussi vers la contestation ouvrière et socialiste. Les années qui suivent sont celle d’une forte répression anti-ouvrièreIII- LES RADICAUX ET LA LAICISATION DE LA REPUBLIQUE

Le syndicalisme se développe dans un climat d'hostilité au socialisme et est toléré à partir de 1881. A partir de 1880, le sort des ouvriers s'améliore grâce à la prospérité économique, à la législation sociale qui est la plus avancée d'Europe (assurance contre les accidents, la maladie, la retraite) et la multiplicité des cités ouvrières. Ces avancées sociales de BISMARCK visent à démobiliser l'action ouvrière afin d'éviter des réformes plus profondes. Après 1895, le syndicalisme s'engage