Le Système Libéral Américain

par l'Etat. I- l impôt et les autres prélèvements obligatoires Nous pouvons constater l existence de trois définitions de l impôt: une définition organique, matérielle et doctrinale. A. la définition 1. les différentes définitions - Dans le système juridique français on a une définition organique de l’impôt à l’article 34 de la constitution. «  La loi fixe les règles concernant l’assiette, le taux et les modalités de recouvrement des impositions de toute nature » Jamais le législateur n’a définit

Hoover annonce dans un discours : "Les activités fondamentales du pays reposent sur des bases saines, très prometteuses pour l'avenir." Un discours prometteur pour rassurer les investisseurs et les actionnaires du pays. La politique des économistes libéraux, notamment Andrew Mellon le secrétaire du Trésor, disaient qu’il ne fallait rien faire (théorie du laissez-faire) croyant que la bourse se remettrait sur pied d’elle-même. Cependant Hoover décide de ne pas suivre cette voie et lance de nombreux programmes

mondiale. Après avoir aidé l'Europe à ce libérer du Nazisme et mit fin à la guerre, après la capitulation du Japon, les Etats-Unis jouissent d'un prestige planétaire qui contribuera à l'extension de leur modèle, fondé sur le capitalisme et la démocratie libérale. Cependant ce modèle s'oppose à l'autre grande puissance de l'époque, l'URSS. La guerre froide entre 1945 et 1991, sera dès lors une opposition constante entre les deux superpuissances, sans qu'il n'y ai jamais eu un affrontement direct entre elles

dans le système américain Les stratégies d’Obama: à la hauteur des défis? Retour sur les explications 1. Le bilan: ce qu’il a accompli 1. 2. 3. 4. 5. 6. Le programme de relance économique Le sauvetage de l’industrie automobile La réforme du secteur financier La réforme de la santé La réorientation de la politique militaire de l’Iraq à l’Afghanistan Une politique internationale plus « multilatérale » 1. Le bilan: Ce à quoi il n’a pas réussi 1. 2. 3. 4. 5. La réforme du système éducatif

acteurs de la mondialisation Depuis les années 1980, le terme de « mondialisation » désigne le fait que l'humanité vit désormais dans un monde fait d'échanges intenses à l'échelle planétaire. La mondialisation résulte d'une logique liée à l'économie libérale et à la circulation des hommes, des biens, des idées. On a pu parler, suivant l'expression de Marshall MacLuhan, de « village global ». Pourtant, ce processus est complexe et ses acteurs sont multiples. Comment s'organise l'espace de la mondialisation 

Les 2 grands modèles face à face Trop vite le monde est devenu trop petit pour ces 2 modes . " Un seul lit pour deux rêves" André fontaine Le modèle Américain : entre admiration et haine Apogée du modèle américain modèle américain : chef de fil du monde libre, idéale de liberté . Cette liberté est hérité de la tradition britannique et repose sur la constitution de 1789.  Sa constitution : division du pouvoir et respectueuse de l'quilibre des pouvoir. - Pouvoir exécutif : Président ( 4 ans

publique : Très différente de celle connue en France. En France on y fait carrière et astreinte au principe du respect de neutralité. Aux USA, + grande perméabilité entre fonction publique et domaine privé et politisation de la fonction publique. C’est le système des dépouilles. Lorsqu’un président est élu entraine le changement de nb postes. § 2 : Le Congrès des USA et ses rapports avec la Président Formé du Sénat et de la Chambre des représentants. Election tt les 2 ans pour renouveler toute la Chambre

XVIIème et XVIIIème siècle , la France , la Grande-Bretagne et les Etats-Unis placent le citoyen au coeur de la vie politique . En effet , la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 , The Bill of Rights de 1689 et la Constitution américaine de 1787 présentent la citoyenneté comme étant le « statut juridique conférant droits et devoirs vis à vis de la collectivité publique » ( Jean Leca , spécialiste en sciences politiques ) . Deux catégories de citoyens apparaissent alors : les citoyens-propriétaires

croient que parce que les États-Unis introduisent un degré élevé de moralité dans leur politique étrangère, les autres nations comprennent qu’elles ont moins à craindre de leur puissance. Nous nous posons donc la question suivante : le leadership américain au XXe siècle a-t-il permis de moraliser les relations internationales ? Si par « moraliser » nous entendons introduire des valeurs morales universelles telles la liberté des individus, les droits de l’Homme, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes

Juif possédant, mais l'ensemble de la société d'alors, les communistes, les nazis en passant par les anglo-américains, tous écopent. Céline n'a jamais été communiste, mais à son retour d'Union soviétique il écrit " Mea culpa ", le premier de ses pamphlets et le plus instructif. Il comprend qu'il n'y a pas d'espoir, qu'il n'existe aucun modèle de référence auquel il peut s'accrocher, aucun système n'est en mesure de répondre à ses attentes de justices et d'idéaux. Il en rejette donc la responsabilité