Le téléphone pleure

Orthographe | Grammaire | Conjugaison | -La dernière réplique : la dernière parole-Enfler : grossir-J’entends un bruit étrange comme le bruissement de la mer sur les rochers-Elle sent ses yeux s’embuer : va pleurer -Elle est émue : elle est affectée-Brusquement soudainement tout à coup-Je reste immobile comme une statue-Dans sa gorge vibre les derniers mots qu’elle vient de prononcer-Les applaudissements enveloppent la future actrice comme un grand manteau chaud-Ces essences d’agrumes au parfum

un visage qui pleure. En bas a droite, une femme africaine accompagné de son fils pointe du doigt d’homme nouveau, elle est très maigre. Lorsque l’on regarde les hombres, celle de la femme est petite, et celle de son fils grande. Comme si cette femme était en fin de vie, et qu’il fallait laissé le monde entre les mains de l’homme nouveau. Des objets... Disign ? Le téléphone Pour faire originale, Dali a choisi de donner une seconde vie à une écrevisse, une vie de téléphone. Salle Mae

pas avoir les textes ou les livres. 10. En cherchant le texte, laisser voir un classeur complètement en désordre. 11. Ne pas trouver son texte parce qu'on ne sait pas dans quelle séquence c'est. 12. Refuser d'éteindre son téléphone portable. 13. Dire que l'on a rangé son téléphone portable dans le sac alors qu'on voit très clairement qu'il est encore dans la poche. 14. Demander qu'est-ce qu'on doit faire maintenant. 15. Faire « oui » ou « yes » ou toute autre variante quand l'examinateur vous indique

 Ils ont dansé au moins deux heuresl’un en face de l’autre, les yeux dans les yeux, la sueur au front. C’était unenuit latino. Ils se sont rapprochés, puis ont dansé l’un contre l’autre. Vous allezvous revoir ? demande Claire. Non, dit Nadia. Je sais même pas son nom, il nem’a pas laissé de téléphone. Mais je lui ai laissé mon adresse. À tout hasard.Et toi, ta soirée ? Oh rien de spécial. Bouquiné un peu, regardé la télé, colinsurgelé haricots verts, écouté Manu Chao, cinéma à vingt-deux heures auPathé Wepler, rentrée, dorm… Pommes golden

une jeune lycéenne nommé Eva était assis sur ce banc. Elle avait l'habitude de retrouver Emile, sa meilleur amie, après le lycée à cette endroit précis. Ce lieu leur appartenait un peu en quelque sorte, elles y ont vécu tant de fous rires et de pleures ensemble. Elle était toujours ensemble depuis leur plus tendre enfance jusqu'au lycée même si elle se voyait moins régulièrement depuis leur rentrée au lycée. Sur ce banc, elles s'étaient racontées leurs problèmes de cœur, leur problèmes familiaux

réconforte. Le PERE debout devant la fenêtre a le regard perdu. fondu au noir Chambre – intérieur – jour Le jour se lève, la lumière entre dans la chambre. Les narcisses, posés sur la table de chevet ont fané. On entend la sonnerie du téléphone. La MERE se réveille en sursaut. Elle jette un regard vers la fenêtre, puis vers son mari. Elle se lève et s'assied du côté du PERE. Elle pose tendrement la main sur son épaule. Il est réveillé. Cerné, les yeux mouillés, il l'écoute. MERE Je

étrange car la plupart des filles deviennent jalouse quand ils savent que leur chum couche avec une autre femme. Quand Jean va chez cora pour lui donner les fleur et possiblement casser avec elle mais quand il arrive chez elle; elle est entrain de pleurer, elle est triste parce –que car elle a lut une article qui disait « c’est regrettable de laisser passer ce qui fut sans le retenir un peu… » ( 215) Des qu’il part de chez Cora il se sent trop angoisser et décide d’appeler SOS amitié. Des qu’il appelle

lundi soir de mai en séjour à Etretat, lors d’un jeu avant le coucher. Nous sommes toutes ensembles autour de la table. Le jeu commence. Au bout du troisième tour, Laura s’énerve et décide de ne plus participer au jeu car elle perd. Elle sort son téléphone et se met à l’écart du groupe. Voyant qu’il ne faut pas insister pour qu’elle participe, ma collègue décide de l’envoyer dans sa chambre pour qu’elle ne perturbe pas le jeu. Nous finissons la partie, Laura redescend dans le salon pour rejoindre ses

minutes, elle se rend vite compte que je ne comprends absolument rien, et cette obstination à vouloir me parler disparait. Je vais passer plus de 24 heures dans cet autocar, heureusement que ma mère avait choisi une compagnie de luxe. Je rallume mon téléphone portable : plus de 450 messages. C’est tout ? La plupart sont de Porton et de ma mère, le seul message de mon père est « Apprends à faire le riz au curry ; D ». Je n’arrive pas à croire que mon père ne se souvient de ce voyage que pour son stupide

bagages sur le seuil de la porte et se mit à pensé à ce qu’il aurait reçus comme salutations par ses parents. Sa mère, se disait-il, lui sauterait au cou en le serrant. Cette vision rendit Philippe soucieux cela faisait neuf mois qu’il n’avait plus téléphoné ou reçu quelconque coup de fils. Mais ce qu’il redoutait le plus, c’était son père. Comment allait-il lui dire bonjour ? Allait-il l’ignoré ou au contraire le serré dans ses bras ?