Le téléphone pleure

(partie 1) Je me réveille car Zayn fait que de bouger. Bordel il me soûle celui la. Tient ça me rappelle la fois ou il arrivait plus a dormir il avait chaud puis après une scène assez plaisante s'était produite.. Bref j'ouvre les yeux je prend mon téléphone, regarde l'heure et je me redresse. Moi : Qu'est-ce que tu as a bouger comme ça ? Zayn : J'ai un petit problème. Je le regarde en fronçant les sourcils. Zayn : T'es sur de pas savoir ? Moi : Non. Zayn dit moi ! Zayn : Tu veux vraiment

petite brune dépose alors rapidement le dernier verre qu’elle avait en main et s’en va en courant dans les escaliers lorsque la sonnerie du téléphone la stoppe dans son élan. Bien trop occupée à éplucher ses patates correctement, mamie Colleen n’y prêtait même pas attention. Quant à sa sœur, elle ne risquait pas de décrocher, puisqu’il n’y avait qu’un seul téléphone fixe dans cette maison, et qu’il était au rez-de-chaussée. Augusteen retourne alors sur ses pas et attrape le combiné noir pour le coller

jamais atterrir tellement que je me suis propulsé. L'attrapant et provoquant sa chute plus loin je l'ai épargné de cet accident qui aurait pu être fatale. Extrêmement choqué il m'a remercié et a commencé à pleurer. Je l'ai raccompagné chez lui. Sur la route il m'a demandé mon numéro de téléphone et n’arrêtait pas de me remercier. Arrivé chez lui est moi qui partait j'ai reçu un message de lui qui me disait "merci, encore merci je ne te saurais jamais assez reconnaissant". Ayant marre je lui ai dit

longtemps, et qui ne t'ont jamais délaissé. Ou encore ceux que tu connais depuis peu, mais sur qui tu as toujours pu compter, et en qui tu as une confiance aveugle. Quelqu'un qui à n'importe quelle heure pourra te venir en aide, ou t'écouter pleurer au téléphone. Une personne qui te défendra envers et contre tous, quelque soit le problème. Quelqu'un de sincère, fidèle et avec qui tu ne vois pas le temps passer. Une personne avec qui tu es toi même, et qui t'aime pour ça ; C'est ça, une vraie amitié

mensonge. Alors non, ça ne va pas, j'ai même perdu l'envie de vivre. Je ne pensais pas qu'une personne puisse avoir un tel effet sur ma vie, je ne pensais pas que quelqu'un puisse un jour me manquer autant que toi actuellement, ou me faire autant pleurer, moi qui d'habitude ravale ma fierté et mes larmes en ne regardant plus que les bonnes choses. Là, c'est foutu, il n'y a même plus de bonnes choses. Il n'y a que du vide, partout, dans ma vie, dans mon coeur. C'est comme si mille personnes étaient

souliers crottés sur la belle moquette blanche de maman. Tu sais, quand je pense à ces choses, je n’ai plus envie de partir ! J’ai peur ! J’ai vécu dans cette chambre toute ma vie, tous mes quinze ans, cinq mille cinq cent trente jours. J’ai ri et j’ai pleuré, et j’ai gémi et marmonné dans cette chambre. J’y ai aimé des gens et des choses et j’en ai haï. Elle fait partie de ma vie, de moi-même. Est-ce que ce sera la même chose quand nous serons enfermés dans d’autres murs ? Aurons-nous d’autres pensées

de change et jaune rouge = cuisine) *lancer la 2ème machine au sèche-linge s'il y a... *installer la salle, sortir quelques jeux... *installer la salle de change, sortir serviettes et gants, mettre le sac poubelle *prendre le téléphone et ranger « Nono » Vers 9h-9h30 : *coucher les premiers bébés (Vincenzo, Soren, Clémence, Simon, Mélody) Vers 10h : *un « deuxième wagon » de bébés/moyens au lit (Clotilde, Tim, Emma, Nylan, Yven) Tim, Emma, Nylan, Yven à voir... S'ils dorment

devrais dormir tu sais, tu devrais abaisser ton siège et t’endormir. La route est encore longue… - Je ne peux pas, je lui réponds, je veille sur vous. Il me sourit. C’est à peine un sourire. - Non… c’est moi. Et nous retournons dans nos pensées. Et je pleure derrière mes mains. 2. Nous sommes garés devant une station-service. Je profite de son absence pour interroger mon portable. Aucun message. Bien sûr. Suis-je bête. Suis-je bête… J’allume la radio, je l’éteins. Il revient. - Tu veux y aller ? Tu

Le quart des élèves du secondaire au Québec détiennent un téléphone intelligent ou un iPod touch. Cette statistique passe à 80% pour les élèves de secondaire 5. Doit-on abolir les cellulaires à l’école, ou doit-on éduquer les jeunes pour en faire un outil pédagogique? L’Écho a rencontré la direction de l’école secondaire Champagnat afin de dresser le portrait de la situation à La Tuque. Sujets :  L’école Champagnat détient un code de vie pour ses 453 élèves. Cette réglementation indique que les

Non surtout pas, sinon il vont nous confisquer nos téléphones , réfléchis ! Répliqua son amie. Oui tu as raison , on devrai simplement monter notre propre enquête. Tu ne trouves pas ça , un peu dangereux ? Non , ne t'inquiètes pas , je dois te laisser , je dois aller manger , à demain. A demain . Puis je raccrocha le téléphone. Le lendemain dans les couloirs , pendant les intercours , il courut et