Le Temps des amours

 Préface Le temps, il est tantôt critiqué tantôt aimé, c'est grâce à lui que l'on peut vivre mais c'est aussi à cause de lui que l'on meurt. Cependant les poètes, en grande majorité, évoquent ses aspects sombres, ses crimes, et le haïssent, il en font dans leurs ouvrages, un monstres, un meurtrier, un ennemi, car il est la cause de leurs chagrins, il met un terme à leurs amours, à leurs jeunesse, à leur beauté, à leur plaisir puis enfin à leur vie. Tant de gens souhaiteraient le fuir, ne jamais

considéraient l'état du ciel : s'il se présentait comme ils l'avaient noté le soir précédent, dans quelle partie du zodiaque entraient le soleil et la lune pour la journée. Cela fait, il était habillé, peigné, coiffé, adorné et parfumé ; pendant ce temps, on lui répétait les leçons de la veille. Lui-même les récitait par cœur et en tirait quelques conclusions pratiques sur la condition humaine ; ils y passaient parfois jusqu'à deux ou trois heures, mais d'habitude ils s'arrêtaient lorsqu'il avait fini

de Lamartine, du recueil « Méditations poétiques » publié en 1820, évoque le lieu qui a été témoin de ses amours et lorsqu’il y revient sans la femme aimée, il subit douloureusement la fuite du temps. Il se rend compte que seule la nature peut conserver la trace des amours vécues, et notamment dans "Le Lac". L’auteur évoque donc le pouvoir de la nature, le pouvoir de conservation des amours perdues. Ce sont tous des poèmes « interprètes » entre Nature et Homme. Dans son poème, "Contre les Bûcherons

l'époque du règne de François 1er. Cette période est appelée la Renaissance. C’est A ce moment la que les artistes Italiens viennent en France, où on commence à manger avec des couverts et on lance les premières expéditions ... Mais C'est aussi le temps des Grands écrivains: comme Rabelais (Gargantua), Montaigne (Les essais), Ronsard (les poèmes). Les courants littéraires de ce siècle se présentent sous 3 mouvements : l’humanisme, la Pléiade et le baroque. Humanisme (1530-1600) L'humanisme

lui-même. Né à Paris le 22 mars 1808 et baptisé le 23, Gérard Labrunie, dit plus tard de Nerval, fut confié, âgé de quelques semaines, à une nourrice qui l’emporta au petit village de Loisy, près de Mortefontaine, dans la belle région du Valois. Peu de temps après, son père, médecin adjoint de l’armée napoléonienne, partit pour le Hanovre accompagné de son épouse, puis rejoignit son régiment en Silésie. Madame Labrunie mourut, âgée seulement de vingt-cinq ans, le 29 novembre 1810, des suites de fièvres

attentif, et la voix qui m’est chère
 20 Laissa tomber ces mots :

« Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
 Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours !
 « Assez de malheureux ici-bas vous implorent, Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux.
 « Mais je demande en vain quelques moments encore, 30 Le temps m’échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l’aurore
Va

Mâcon.fait ses études à Belley chez les jésuites. Il écrit de la poésie chrétienne, et entame un voyage en Italie à l'age de 21 ans (1811-1812) pendant lequel il rencontre une jeune Napolitaine qui sera le modèle de sa Graziella.En 1814 il est quelque temps garde du corps de Louis XVIII une fois ce dernier intronisé : il se réfugie en Suisse au moment des Cent-Jours et finalement démissionne en 1815. Il revient à Milly. , il reçoit en héritage les domaines de ses parents. Sans y être obligé, il s'engage

Ses parents ont capitulés Au grands vents des communicants De tous nos temples les églises N’ont plus le grand des cathédrales Au temps des anarchitectures Et des lance-pierres contre les murs Les sacs de billes ont pris le large Et les amours au coin des grives Toutes ces choses d’autrefois Putain je ne vois plus la rive Puisqu’il faut accepter du temps L’évolution toujours plus bas Au vulgaire des concessionnaires Des libertés pour nos enfants Il sera équipé c’est sûr Pour parler

particulier de Jupiter, il les servait avec un zèle infatigable et sans scrupule, même dans des emplois peu honnêtes. Il participait, comme ministre ou serviteur, à toutes les affaires. On le voit s'occuper de la paix et de la guerre, des querelles et des amours des dieux, de l'intérieur de l'Olympe, des intérêts généraux de monde, au ciel, sur la terre et dans les Enfers. Il se charge de fournir et servir l'ambroisie à la table des Immortels, il préside aux jeux, aux assemblées, écoute les harangues, y répond

demander par la reine Catherine de Médicis de consoler cette belle femme appartenant à sa cour… C’est ainsi que les Sonnets à Hélène succèdent aux œuvres Les Amours de Cassandre et la Continuation des Amours, eux destinés à Marie. Dans ce recueil, l’écrivain – alors âgé de 54 ans - est rongé par l’idée de la mort et de la fuite incontrôlable du temps... Ce sont ces inquiétudes qui le mèneront à l’écriture du poème Quand vous serez bien vieille, dans lequel Pierre Ronsard dresse un tableau déplaisant