Le Texte La Fourmi Et La Cigale

l’H qui veut obtenir ce qu’il veut de la nature. Ce récit du péché originel est connu de tous et est présent dans notre inconscient. L’H est un être déchu. LE MYTHE DE PROMETHEE ET EPIMETHEE, Platon, Protagoras Dans l’antiquité, il n’y a pas de texte de référence, chaque auteur réinvente l’histoire en fonction de l’enseignement qu’il veut en tirer. Un mythe est une histoire inventée qui a pour but de transmettre un enseignement vrai. = remonte au fondement des origines perdues. Le mythe répond

d’origine grecque signifie « regarder ». On a généralement un texte conçu pour une représentation devant un auditoire. Les Fables sont un corpus de textes qui ne sont pas destinés à être dans un souci de spectacle. Pour continuer dans le genre dramaturgique, on a des acteurs qui jouent des personnages, interprétant le texte littéraire. Ici, rien de tout cela, on n’est pas du tout dans un dialogue direct et si c’est le cas, le texte à la différence d’une pièce de théâtre, précise sans didascalie

personnage malhonnête (cela est vrai de Dom Juan, du musicien de Diderot et partiellement dans le cas de renard… se souvenir à cet égard que J.J. Rousseau souligne le caractère totalement immoral de La Fontaine : ‘Le corbeau et le renard’, La cigale et la fourmi’). La conclusion est donc une sorte de constat navré et plus ou moins désabusé de la malignité de l’homme et de la société. - forme : les trois textes font une grande place au discours rapporté (La Fontaine) ou au dialogue (Molière évidemment

frappant est « La cigale et la fourmi » car si la morale condamne l’insecte chanteur, le fabuliste est manifestement de son côté. L'auteur de « Le loup, la louve et le louveteaux » affirme ainsi une modification des principes de la fable. L'auteur par le biais de personnages qui ne sont pas manichéens puisqu'ils peuvent tour à tour être bon et cruel s'attaque à l'univers du conte, autre registre de l'apologue. Il serait également intéressant de remarquer qu'Anouilh utilise dans ce texte une figure humaine

comme les essais, les traités, le dialogue ou discours pour prendre part aux débats de l'époque. La Fontaine quant à lui écrit qu'  « Une morale nue apporte de l'ennuie » alors que « Le conte fait passer le précepte avec lui » c'est à dire qu'un texte purement argumentatif ou moralisateur est ennuyeux alors qu'un conte ou une fable permet d' « instruire et plaire » à la fois. Quelle est donc la place de ces formes indirectes d'argumentation dans le débat d'idées ? Sont-elles plus appropriées à

ean de la Fontaine,né en 1621 et mort en 1695, est un poète français de la période classique. Devenu célèbre grâce à ses fables publiés au cours du XVIIe siècle comme « La Cigale et la Fourmi » ou « Le Lièvre et la Tortue », il a également écrit des poèmes, des pièces de théâtre, et des livrets d'opéra. Les Fables de La Fontaine regroupent douze livres. « Le Lion et le Moucheron » constitue une fable du livre II, cette fable raconte le mépris du lion pour le moucheron, ainsi le moucheron lui déclare

=> débouche sur la littérature épique (poèmes d’aventure guerrière, des chevaliers,…) Il y a 2 objectifs : - glorifier la loyauté - glorification de la religion Ex : La chanson de Roland est le texte épique par excellence. Du 12ème au 15ème siècle la Féodalité va reculer pour donner place aux communes et aux villes. Il y a l’apparition d’une nouvelle classe ; la bourgeoisie. Les mentalités évoluent, on voit apparaitre un certain gout du luxe

un parchemin ancien dont l’inscription a été grattée par un copiste afin d’être réutilisée pour un autre texte. L’ancienne écriture se donne à voir parfois sous le grattage. Gérard Genette utilise la métaphore pour tout texte qui se donne à lire à travers un autre, caché ou détérioré, mais aussi emprunté ou travesti. Il s’attache à « l’architextualité ». L’objet n’est pas la singularité du texte, mais sa transtextualité,  définie comme sa transcendance, «Tout ce qui le met en relation manifeste ou

qu’il amorce une carrière de poète par la publication d’un premier texte, une comédie en cinq actes adaptée de Térence, L’Eunuque, en 1654, qui passe totalement inaperçue. Au service de Fouquet (1658-1663) En 1658, il entre au service de Fouquet, Surintendant des Finances, auquel, outre une série de poèmes de circonstances prévus par contrat - une « pension poétique » - il dédie le poème épique Adonis tiré d’Ovide et élabore un texte composite à la gloire du domaine de son patron, le Songe de Vaux

Exemple : Quelle histoire incroyable ! Comme tu es intelligent ! d) La phrase emphatique C’est souvent par le terme d’ « emphase » ou d’ « insistance » que l’on décrit les procédés de mise en relief de tel ou tel élément dans un texte. À l’écrit et plus encore à l’oral, deux procédés sont très couramment employés : - les reprises (on détache un élément de la phrase et on le reprend par un pronom : Ma sœur, je l’adore !). On appelle parfois ce procédé dislocation