Le Theatre Est Il Factice Et Illusion

figure imposée 6 Était d’être bien né Ici et là, le contraste est saisissant Nous scions l’arbre sur lequel nous sommes assis On fait avec ici et là-bas ils font sans C’est un signe, mais à ce qu’on dit « C'est ainsi » Ici, le rêve d’un Uzi factice sous le sapin Là-bas, de l’acier trempé entre ses petites mains Sous un pied mes racines, sous l’autre le sol vibre J’ai beau tendre les bras, je ne trouve pas l’équilibre [Refrain : 20syl] [Couplet 2 : Oxmo Puccino] Je roule en ambulance

à la fin du XVIIIè siècle. Il y a dans l’Europe des Lumières plus de dialectes oraux que de langues, et dés la fin du XVIIIè siècle celle-ci devient une préoccupation de premier ordre : on modernise ou l’on crée donc une langue nationale que le théâtre et plus tard la télévision se chargeront de vulgariser. La Norvège, longtemps ballottée entre le Danemark et la Suède, entend à l’occasion de son indépendance acquérir sa propre langue. Mais sa construction pose problème : faut- il l’établir à partir

plus grands penseurs et de souligner leurs contradictions. Elles sont légion et peuvent paraître déconcertantes, voire ridicules. Elles sont sans importance, pourvu que resplendisse un foyer central. Ainsi des poètes, des romanciers, des hommes de théâtre, des artistes de toutes disciplines sont au plus haut point qualifiés pour nous proposer, à travers les fantasmagories de leur vie intérieure, des vérités parfois sublimes. Effort pour comprendre, souplesse corrective poussée s’il le faut jusqu’au

ironie du lecteur (=/ moment de bonheur)· · Mouvement 3 : « Malheureux ! » : interjection lyrique -> adresse J ou au 2 ; anticipe dénouement tragique  · « oublia »+ « vains projets » : lexique du vide = idée héroïque J = vides ( rôle factice ) J revient réalité (confirme re dans «  re vint à son rôle naturel ») · « rôle naturel » : oxymore = opposition souhait =/ réel (convient le mieux = narrateur moins moqueur)· « ses reproches » :

éthique de la littérature était déniée par la plupart des théoriciens : il y avait une illusion éthique auprès des autres illusions, biographique, référentielle et expressive. Plus platoniciens qu’aristotéliciens — la Poétique d’Aristote était restreinte à ses considérations formelles —, on se méfiait des arts, qui rendent plus sensibles et non moins sensibles, et on les condamnait comme des manipulations. Le théâtre de Brecht cherchait à empêcher la résolution cathartique des émotions, et la catharsis

le prouve. En fait, cette comedia nous est apparue pour la première fois dans un recueil factice de pièce de théâtres attribués à Lope de Vega et à d’autres dramaturges et rien n’en révèle le véritable auteur. Tirso, d’ailleurs, a dirigé lui-même l’édition des cinq volumes de ses œuvres théâtrales dans lesquelles El Burlador ne figure pas. El Burlador est une comedia qui obéit aux règles générales du théâtre espagnol de l’époque mais elle s’en distingue par certains aspects que nous exposerons après

moraliste) se revendique comme un droit à l’inconscience : “laissez nous dans l’erreur puisque ça nous arrange !”. Pourquoi parler vrai à qui se contente d’illusions ? Le monde n’est plus qu’un théâtre : il s’agit d’y bien jouer, quand perdre la confiance est pire que de connaître certaines vérités. Étrange et factice confiance basée sur le leurre : nous choisissons d’être complices et nous nous compromettons ! Est-ce bien dans ce choix que s’éprouve notre liberté !? Jouer publiquement la comédie n’empêche

que son pouvoir ne pouvait s’établir que contre les Habsbourgs et l’influence espagnole était excessive dans les romans et dans le théâtre. Donc la lutte contre le baroque qui venait de l’Italie et surtout de l’Espagne était envolée de sa lutte politique. Les théoriciens français de 1630 ont trouvé que la comédie espagnole manquait a toutes les règles du théâtre : « ils n’ont point de sens mais de plus ils le méprisent ». « Il n’y avait pas de connaissance, d’histoire, de chronologie, de geografie

choisit comme personnages deux représentants anonymes des partis en lutte. L’impression générale est celle d’une observation minutieuse et d’une notation exacte. Notre Dame de Paris de Victor Hugo sera publié en 1831 et apporte au delà d’un sujet factice, une évocation colorée du Paris moyenâgeux. Car l’intérêt ne va pas vers ces personnages assez rudimentaires, construits sur de puissants contrastes, il va vers cette suite de tableaux qui ressuscitent toute une époque. Ces personnages sont des individus

Gérard de NERVAL Sylvie Texte issu d'une numérisation en "mode image" du site GALLICA (http://gallica.bnf.fr) NUIT PERDUE Je sortais d'un théâtre où, tous les soirs, je paraissais aux avant-scènes en grande tenue de soupirant. Quelquefois, tout était plein ; quelquefois, tout était vide. Peu m'importait d'arrêter mes regards sur un parterre peuplé seulement d'une trentaine d'amateurs forcés, sur des loges garnies de bonnets ou de toilettes surannées, - ou bien de faire partie d'une salle