Le Theatre Est Le Lieu De La Liberte

vie:Besançon, Paris. Il a visité la Belgique, la Normandie, la Somme8Les personnes/personnages liés à sa vie:Chateaubriand, Balzac, Vigny, Dumas, Lamartine, les frères Goncourt et Théophile Gautier9Typologie d'oeuvre (roman, récit, poésie, théâtre, etc):Roman, poésie, théâtre: drame romantique10Liste pointée des titres des ouvrages reconnus comme principaux (avec date de publication et synthèse des caractéristiques principales):Romans: · Notre Dame

· On s'oppose aux règles du théâtre classique: Dont les principes ont été imposés par Aristote: 1. L’exigence de vraisemblance, il faut que le spectateur puisse s’identifier avec l’acteur. 2. Il doit respecter la bienséance (il fait éviter tout ce qui soit violent, bien se tenir, une pièce ne peut pas présenter des scènes qui transgressent cette bienséance, quelque chose d’ordonné). Il propose aussi la règle des trois unités

I – Lire le théâtre Accéder à une œuvre théâtrale par la lecture de son texte nous garantit de façon évidente la jouissance intime de son contenu et la liberté de son interprétation. A – Le théâtre, c'est d'abord un texte, une œuvre poétique ou polémique, qu'il s'agisse de Jean Racine, de Bertolt Brecht ou de Bernard-Marie Koltès. La lecture permet de s'approprier le texte. Livre en main, on peut en prendre possession par des relectures, des retours en arrière, des notes personnelles...

quitte son rôle d'esclave et expose la nouvelle situation dans laquelle le maître, Iphicrate, va subir l'épreuve de l'esclavage.     Dans une première partie, nous étudierons la réaction entre les deux personnages et enfin une reconnaissance du théâtre chez Marivaux.  Lecture du texte IPHICRATE : Esclave insolent ! ARLEQUIN, riant : Ah ! ah ! vous parlez la langue d'Athènes ; mauvais jargon que je n'entends plus. IPHICRATE : Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? ARLEQUIN, se reculant

La tragédie classique doit comporter 5 actes. L’acte I est celui de l’exposition, les actes II, III et IV servent l’action ; l’acte V est le dénouement. La règle des 3 unités : l’unité de temps (l’action se déroule en 24h) ; l’unité de lieu (en un seul lieu) et l’unité d’action (une seule intrigue principale). A. Le registre tragique : Le tragique renvoie aussi à une situation violente que l’homme ne peut changer. Le tragique est lié à la mort et au temps qui passe. Le tragique s’exprime

de lieu et d'action. L'auteur doit donc se concentrer à une seule action afin de ne pas entraver la règle. Et de par cela découle le temps et le lieu. La tragédie au 18ème siècle s'est essoufflée. On recherche un genre plus léger tel les comédies, mais la recherche tend plus à la comédie moralisatrice et politique comme Marivaud. D'après Lessing dans La dramaturgie de Hambourg, 1767, les Français jouent avec la règle de l'unité de temps : « au lieu d'un lieu unique, ils introduisent un lieu indéterminé

Spécificités de l'écriture dans le théâtre de Sartre   I/ La mise en situation : un habile procédé     Le théâtre de Sartre est un théâtre dit « de situations », c'est-à-dire qu'il place ses personnages dans des situations précises –l'expression « théâtre de situations » étant empruntée à l'oeuvre critique de Sartre. On peut préjuger de l'efficacité de l'entreprise, quand on sait que par nature, le théâtre est le lieu de l'affrontement des personnages et de la parole. Ce théâtre présente l'avantage de

différentes pièces de théâtre. Le premier : La Précaution inutile (1775), de Beaumarchais, est contemporain du Siècle des Lumière, le second : Lorrenzacio (1834) est extrait d'un drame romantique de Musset, le troisième : Rhinocéros (1959) de Ionesco, correspond au théâtre de l'absurde. L'examen portera sur les fonctions attribuées aux lieux, objets et sons présents dans les scènes. D'abord, l'on distingue une fonction réaliste, revêtie par des objets propres à une époque ou à un lieu. En effet, la jalousie

hasard, comme tout le monde », aucune information apportée, pas d’identité non-plus : « Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ? », seule connaissance par le titre du livre et les répliques « Le Maître », « Jacques ». 2) sur le lieu : « D’où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ? », origine et destination des personnages inconnues, comme s’ils étaient nulle part 3) sur l’intrigue : « Que disaient-ils ? Le maître ne disait rien.. », pas d’informations

de Cromwell selon des principes de liberté littéraires. En opposition au théâtre classique, régi par des règles comme les trois unités, ou des règles de versification strictes, il propose un théâtre centré sur l'action et sur le message qu'il veut livrer, mettant au centre une dimension spectaculaire tenant presque de l'opéra, et proposant un écriture poétique transgressant les codes. On sait d'ailleurs que les premières représentations d'Hernani donnèrent lieu à de véritables « batailles » opposant