Le Theatre Imite Réalité

littératures du Midi et celles du Nord. La poésie des Antiques est, selon Mme de Staël, une poésie des objets extérieurs, tandis que la poésie moderne peint les mouvements de l’âme. Les littératures du Midi, solaires, issues de la lucidité, de la raison et imitées d’après l’Antique, sont mises sous le signe du classicisme. Celles du Nord, brumeuses et mélancoliques, se rattachent au romantisme.Mme de Staël introduit dans la critique le sens du relatif et de l’historique. De l’Allemagne s’attache à imposer aux

création du langage 6.2 − La versification 6.3 − Des mètres variables 6.4 − Comment compte−t−on les syllabes 6.5 − Les strophes 6.6 − Les rimes 6.7 − Les formes poétiques 6.8 − Les nouvelles formes de poésie 7.− LE THÉÂTRE 7.1 − Introduction 7.2 − Les règles classiques au nouveau théâtre 7.3 − Les règles classiques 7.4 − Les genres théâtraux 7.5 − La composition d'une pièce théâtrale 7.5.1 − Fonction 7.5.2 − Didascalie 7.5.3 − Formes du dialogue 7.5.4 − Parties de la pièce 7.5.5 − L'action 7.5.6 −

Conclusion……………………………………………………………27 6) Mes sources…………………………………………………………...28 Quelques définitions de l’humour… L'humour est une forme d'esprit railleuse « qui s'attache à souligner le caractère comique, ridicule, absurde ou insolite de certains aspects de la réalité ». L'humour est distingué par plusieurs concepts : c’est un langage, mais aussi un moyen d’expression. Il joue un rôle essentiel dans l’équilibre de la personne, il libère les tensions et préserve notre santé. L’humour peut être employé dans différents

montre état d’esprit Julien ( sombre effrayé, en décalage avec ce qu’on attendrait de lui ) · « Le plus pénible » + « Il n’avait plus songé » = superlatif + forme négative -> décalage pensées lecteur (impatience retrouvailles ; excitation ) / réalité (émotions négatives ; humiliation) = renversement topos nuit amour· « Si mal reçue ! » = exclamation + intensif -> effet insistance refus M de R = décalage topos N d’A ( J renonce = respect M de R =/ immoralité+ inconscience J )· « Je lui ai dit

de l’année. INTRODUCTION Le roman du XIX en France constitue un ensemble généralement honoré par la littérature. Il constitue une norme à partir de laquelle on va évaluer les romans ultérieurs. Le roman au XIX est comparable à ce qu’était le théâtre pour le XVII ou encore la poésie pour la seconde moitié du XIX. La conception du genre se fait en lien avec la période concernée. L’étiquette « réaliste » collée aux romans du XIX rassemblerait les œuvres de Stendhal, Balzac, Flaubert et Zola. Ces

Dès le milieu du XIIe siècle se développent des romans[9] courtois[10] qui s’adressent à une aristocratie plus raffinée. Ce sont des aventures d’amours et de chevaleries. C’est l’élargissement du genre épique. 1. Les romans antiques : Imité de Virgile ; Le roman de Troie Le roman de Thèbes ( Béotie (Œdipe (Antigone, Polynice et Etéocle Le roman d’énéas ( Énée Le roman d’Alexandre( Alexandre le Grand (écrit-en vers de 12 syllabes d’où le nom alexandrins)

manière tyrannique qui déborde l'absurde. Commentaire : Albert CAMUS, Caligula, acte II, scène 5, 1944. Pièce en quatre actes et en prose d’Albert Camus (1913-1960), Caligula fut publiée à Paris chez Gallimard en 1944, et créée à Paris au théâtre Hébertot le 26 septembre 1945. Camus avait tracé dès janvier 1937, dans ses Carnets, le plan d’une pièce qu’il envisageait d’intituler Caligula ou le Sens de la mort. L’argument s’inspire de l’Histoire des douze Césars de Suétone, mais aussi des préoccupations

en questionnement sur lui-même, car il a connu l'Amour, mais ne pouvait le conjuguer avec le désir puisqu'il le trouvait chez un homme. ------------------------------------------------- En littérature En 1665, Molière écrit la célèbre pièce de théâtre qui relate en l'actualisant au Grand Siècle français l'histoire de Don Juan ; son succès fera rester dans l'ombre la pièce Le Festin de Pierre de Thomas Corneille de 1677 ; Le Barbier de Séville ou la Précaution inutile est une comédie en quatre

mais avant tout, arrivées sur l’île, une épidémie de fièvre jaune affecte la mère en provoquant sa mort le 24 mai 1802. Après le décès, Marceline retourne chez son père à Douai et elle devient comédienne dès l’âge de seize ans en travaillant près le théâtre de Douai, Lille et Rouen. En 1806 elle est enceinte de Louis Lacour qu’elle avait connu avant son départ aux Antilles qui l’avait abandonnée. Elle retourne auprès de ses sœurs à Rouen où le 9 septembre 1806 elle met au monde la petite Louisa qui meurt

qu’historien au travers du débat qui oppose une historiographie prônant la mort des salons après 1789, et a contrario, celle exhortant leur survie, bien que quelque peu chaotique. Aussi n’est-il pas étonnant de voir à peine mentionnée (chapitre premier) la réalité des salons post-révolutionnaires, et la continuité de certains salons comme ceux de la Duchesse de Polignac, de Madame Helvétius, ou de Madame Condorcet. Malgré ce point négatif, peut-on dire que l’objectif de Lilti n’est pas atteint ? A mon sens