Le Theatre Imite Réalité

En même temps, elle adoucit l’ironie ; elle enlève à la parole railleuse ce qu’elle a toujours d’un peu sec ; elle enrichit le spectacle de tout le luxe mondain des danses et des sons. Elle fait du théâtre le reflet de la vie, mais d’une vie joyeuse et élégante, ornée de tout ce que la réalité a de parure pour les sens, et où le ridicule, la maladie, la mort même, ne sont que jeux plaisants, propres à donner à l’homme le rire fort et saint » (Romain Rolland, Histoire de l’opéra en France,

“Voltaire” Son vrai nom est François Marie Arouet (1694-1778) Il est considéré comme un philosophe français mais il n’a jamais édifié de théorie philosophique. Voltaire est un écrivain versé dans de nombreux genres littéraires comme le roman, le théâtre, la poésie mais c’est dans l’écriture des contes philosophiques comme “Zadig” “Candide” qu’il excelle. Voltaire appartient au mouvement des Lumières. Il s’est opposé au pouvoir royal (Louis XV) pendant quelques années et s’exile en Angleterre. Voltaire

SYLVIE I.- NUIT PERDUE. Tous les soirs depuis un an, le narrateur va au théâtre, indifférent au spectacle de la salle et de la scène, pour voir une actrice qui joue un rôle secondaire, puisqu’elle n’apparaît souvent qu’à la deuxième ou troisième scène  d’une pièce médiocre. Il ne sait pas grand chose  d’elle et ne prête guère attention aux rumeurs d’autant qu’un de ses oncles l’a prévenu contre les actrices. En cette période troublée, il trouve refuge auprès des poètes, ivres de poésie et d’amour

– on peut le penser –, sera de tenter de percevoir et d’identifier ce qui est poésie, spécifiquement, dans la complexité et l’ambiguïté d’un texte : celui-ci poème souvent mais aussi bien récit ou même, comme dans le cas de Shakespeare, pièce de théâtre. Reconnaître le poétique là où il est dans ces créations de diverses sortes, soit en le retrouvant comme leur motivation, soit par ses effets, directs ou indirects, sur leur élaboration par leur auteur ou d’autres poursuites de ce poète, soit même

Pléiade pour la 2ème partie du siècle. Le peuple a des dons, c’est un être exceptionnel. · La Pléiade est contestée. Un art arrive, l’art baroque est un art complexe, plus chargé ? A partir de là, le poète va perdre son statut. Au XVIIème siècle, le théâtre est l’art CLE. Le poète devient un peu un clown… Il y a deux milieux poétiques : · Cours de France de François Ier. · Cours de Margueritte de Navarre, établie à Lyon. Il y a un très grand raffinement. Elle ouvre son cercle aux femmes (Objets

fosse répands des tasses, Répands du brit et des flacons, Des cervelas et des jambons. » — Ronsard Ces vers pourraient aujourd'hui paraître au pire injurieux, au mieux incongrus de la plume du poète Ronsard, mais cette épitaphe serait imitée de quelques petits poèmes de l'anthologie grecque, consacrés à la mémoire d'Anacréon, et donc du point de vue de Ronsard un honneur pour Rabelais. Épitaphe de Baïf Un autre poète de la Pléiade, Jean-Antoine de Baïf, compose pour Rabelais une épigramme

texte. Il y a une série de conventions à respecter sous peine de frustrer voire de perdre le lecteur quand on s’inscrit dans un genre. Ces règles sont implicites, attendues de la part du lecteur. Il y a des circonstances particulières : le genre (théâtre, reportage, …), le contexte spatio-temporel (influences culturelles), … Le lecteur a une série d’attente et se sentir frustrer dans ses attentes provoque le fait que le lecteur se sente bête. L’écrivain ne doit pas trop écrire pour lui-même, il écrit

d’une lettre, c’est cpdre la transposition de cette écriture réelle ds la fiction romanesque, différente de toute autre, la lettre présente une spécificité, c’est un acte de communication à distance, daté et circonstancié qui, à sa manière, recrée la réalité. Quelques définitions Lettre, Epître, Billet - Lettre « écrit qu’on envoie à un absent pour lui faire entendre sa pensée » littera au +riel : « toute espèce d’écrit » au sens large cum respondere : double référence à l’autre « répondre

LE THEATRE DE L'ABSURDE Le théâtre de l'absurde Au xxe siècle, le théâtre de l'absurde (terme formulé par l'écrivain et critique Martin Esslin en 1962) est un type de théâtre apparu dans les années 1940, se caractérisant par une rupture totale par rapport aux genres plus classiques, tels que le drame ou la comédie. Il s’agit d’un genre traitant fréquemment de l’absurdité de l’Homme et de la vie en général, celle-ci menant très souvent à la mort. L’origine de cette pensée étant

Langues. Objectifs : -en lien avec le programme d’histoire faire prendre conscience aux élèves des différentes façons de provoquer le rire dans différents genres littéraires . -revoir les différentes sortes de comique au théâtre et dans les autres genres littéraires. Comiques de geste, de mot, de situation, de répétition, parodie etc... -réfléchir sur la cruauté au bout du compte de certaines situations comiques.II -Travailler sur la