Le Theatre Imite Réalité

du point de vue ou la focalisation. 2)- présence du narrateur: pronoms, modalisateurs. 3)- le discours rapporté: discours direct, discours indirect, discours indirect libre. 2. Le texte descriptif: Il s'efforce par les mots d'évoquer une réalité que le lecteur ne voit pas mais qu'il peut imaginer. Il renseigne, sur un espace, sur un physique (portrait) et peut traduire les impressions ressenties par le descripteur (description subjective). 2.1. Ses caractéristiques: Le temps de la description:

signalé par une ultime accumulation d’adjectifs et de participes attributs : « est vieux, crevassé, pourri, tremblant rongé, manchot, borgne, invalide, expirant ». L’intention qui préside à ce passage est réaliste : il s’agit de donner l’illusion de la réalité, en évoquant les détails, techniques notamment, qui la composent ; cette description prépare l’action, et se charge également d’une fonction symbolique, en indiquant le cadre misérable dans lequel évoluent les personnages. p. 431 (ES/S et Techno)

littéraire. Il aborde les thèmes de la séparation des genres et respecte les trois unités au théâtre (lieu temps action). Le 17e siècle appelé « Grand siècle » associé ay r_ge de Louis XIV « le Roi Soleil » car à l'époque la France rayonne par sa politique, ca culture, son art. Dom Juan aussi appelé le Festin de Pierre est une pièce de théâtre écrite par Molière en 1665 a été jouée pour la première fois au théâtre royale, la même année. La pièce met en scène Dom Juan, un séducteur aux multiples conquêtes

il faut cultiver notre jardin ». Mais ce n’est pas un apologue car ce n’est pas un récit court. Candide est un roman sentimental, un roman d’aventures, un roman d’éducation. Voltaire outrepasse les règles du merveilleux en introduisant des réalités historiques à l’intérieur du conte : plusieurs scènes de Candide évoquent l’Inquisition ou encore le tremblement de terre de Lisbonne. Par ailleurs, il introduit à plusieurs reprises des digressions : l’action reste alors en suspens et, pendant quelques

prétérition (lignes 35-36). La ponctuation et les codes typographiques (parenthèses, italiques, guillemets) marquent continuellement des ruptures, des suspensions. Le point de vue est constamment interne, mais les hésitations du narrateur (rêve ou réalité ; passé ou présent ; souvenir ou oubli) sont traduites par le choix délibéré d’une ambigüité narrative. Il n’y a plus de vision cohérente d’une « psychologie » traditionnelle : le style traduit la dimension chaotique des multiples impressions/souvenirs/états

Qu’elle soit récente ou classique, l’œuvre impose l’avènement d’un ordre en rupture avec l’état existant. Lecteur, auditeur, contemplateur, je me sens instauré, mais aussi nié. Certes la réalité n’est pas étrangère à l’art : mais l’art ne recourt au réel que pour l’abolir, et lui substituer une nouvelle réalité. 3- Balzac : « Quand un artiste a le malheur d’être plein de la passion qu’il veut exprimer, il ne saurait la peindre,car il est la chose même au lieu d’en être l’image. L’art procède du

primaires des artistes nous espérons donner une conclusion nuancée à partir de la question principale: Quel impact les deux guerres mondiales ont-elles eu sur les œuvres littéraires absurdes des écrivains des pièces de théâtre? Nous avons choisi de ne traiter que des pièces de théâtre pour délimiter le sujet tant soit peu. Pour trouver une réponse de cette question principale, nous avons divisé l'essai en trois chapitres. Premièrement la définition de l'absurde, ensuite le lien entre les guerres et

transforme la réalité sans la dédoubler , sans la faire vaciller, il n y a aucun sens indirect. Il n'y a aucun duel, aucune disturbance. Tout est là, rien de plus. Le studium s'y exprime. Les photos de reportage par ex le sont souvent : il n'y a pas de punctum. Il y a peut être du choc mais pas de trouble. Cette photographie unaire peut crier mais pas blesser. Un autre exemple: la photo pornographique, toujours naïve, sans intention et sans calcul. 6. . Dans la préface du Théâtre et son double

s’est achevé sur un long monologue du mendiant tandis qu’Oreste et Electre sont endormis. Le jardinier profite de l’entracte pour venir s’adresser directement aux spectateurs. Sa tirade présente l’originalité de se situer hors de la tragédie, hors du théâtre. Nous analyserons donc le rôle de ce lamento dans la pièce. Ainsi, nous verrons comment il est l’occasion pour le dramaturge de renouer avec la tradition de la parabase (Partie d'une comédie grecque hors de l'action, dans laquelle le coryphée s'adressait

et la vraisemblance), et donc il refuse le merveilleux. Il a recourt à des descriptions. Prévost utilise certains procédés destinés à garantir la réalité de l'histoire : le récit est à la première personne du singulier ce qui installe le lecteur dans un climat de confiance, il s'agit d'une expérience personnelle, l'auteur nous introduit dans la réalité quotidienne de ses personnages ; il multiplie les effets de réels grâce à des repères temporels et géographiques.  Malgré leur caractère romanesque