Le Thyrse

pensons que “c’est un grand malheur de prétendre s’approcher de Dieu non par désir de la lumière mais par goût de l’obscur” et nous aimons à nous rappeler l’avertissement de Platon, qui vise précisément les fidèles de Dionysos : “Beaucoup portent le thyrse, mais il y a peu de vrais bacchants.” » Cette analyse de Lubac est intéressante en ce qu’elle permet d’opérer deux discernements. Tout d’abord, on comprend que le rejet d’un monde rationalisé au point d’être privé de toute vie, d’un monde du pur savoir

L'amertume des pleurs au tremblement du rire. En marche, maintenant ; et puissent mes leçons Éclairer pour toi l'ombre où nous nous enfonçons ! Il faudra, je le sais, disputer la victoire. Mais, frappant ma poitrine, un grand espoir de gloire De son thyrse magique a fait vibrer mon cœur. Fort du suave amour des Muses, sans terreur J'entre en ces régions que nul pied n'a foulées, Fier de boire vos eaux, sources inviolées, Heureux de vous cueillir, fleurs vierges qu'à mon front, Je le sens, je le veux

 de charbon de Peuplier et de  Quinquina gris. Magie et Sorcellerie: • • • •  Genre:  Masculin   Planète:  Mercure   Élément:  Feu   Déités:  Prométhée, Dionysos.  Propriétés Magiques: Les anciens Grecs utilisaient les tiges de Fenouil pour fabriquer le thyrse sacré, ou bâton de Dionysos,  qui était utilisé lors des rites de fertilité. Si vous voulez augmenter vos chances de concevoir un bébé,  mangez une tige entière de Fenouil, ainsi que ses graines. Le Fenouil protège la maison autour de laquelle il est planté

comment déTous les feux dont mon sein se remplit à la fois ? Ma langue se glaça, je demeurais sans voix, Et ma tremblante main laissa tomber ma lyre ! Non : jamais aux regards de l’ingrate Daphné Tu ne parus plus beau, divin fils de Latone ; Jamais le thyrse en main, de pampres couronné, Le jeune dieu de l’Inde, en triomphe traîné, N’apparut plus brillant aux regards d’Érigone. Tout sortit… de lui seul je me souvins, hélas ! Sans rougir de ma flamme, en tout temps, à toute heure, J’errais seule et pensive

qu'A. Pizzorusso (Seidici commenti a Baudelaire, 1976), propose d'interpréter à la lumière des poèmes "lesbiens" de Baudelaire: cf. Femmes damnées (Delphine et Hippolyte), v. 78-79, 90-91, du poème III des "Épaves". 252. Cf. la pièce suivante, et Le Thyrse (Le Spleen de Paris, XXXII, Pl. I, p. 335). Voir aussi les remarques sur la danse dans La Fanfarlo (Pl. I, p. 573-574). 253. Cf. Le Chat (poème LI), et Les Chats (poème LXVI). 254. Cette stérilité pourrait être celle de Lesbos (dans Femmes damnées

grandes buires d'électrum, des amphores de verre bleu, des cuillères d'écaille et des petits pains ronds se pressaient dans la double série des assiettes à bordures de perles ; des grappes de raisin avec leurs feuilles étaient enroulées comme des thyrses à des ceps d'ivoire ; des blocs de neige se fondaient sur des plateaux d'ébène, et des limons, des grenades, des 177 Salammbô courges et des pastèques faisaient des monticules sous les hautes argenteries ; des sangliers, la gueule ouverte, se

grandes buires d'électrum, des amphores de verre bleu, des cuillères d'écaille et des petits pains ronds se pressaient dans la double série des assiettes à bordures de perles ; des grappes de raisin avec leurs feuilles étaient enroulées comme des thyrses à des ceps d'ivoire ; des blocs de neige se fondaient sur des plateaux d'ébène, et des limons, des grenades, des courges et des pastèques faisaient des monticules sous les hautes argenteries ; des sangliers, la gueule ouverte, se vautraient dans

fils de Jupiter et de Sémélé. ; Bacchus naît dans l’embrasement du palais de Sémélé qui meurt / Jupiter fait retirer Bacchus des flammes par Vulcain. Devenu grand il fait la conquête des Indes avec une troupe d’hommes et de femmes portant armes, thyrses et des tambours; Il passe en Egypte où il enseigne l’agriculture et l’art d’extraire le miel ; plante une vigne et est adoré comme le dieu du vin. Persécuté sans cesse par Junon jalouse, il triomphe de ses ennemis. Il est associé aux premières représentations

cérémonies de l'Église porte l'encensoir et la navette où est l'encens. Fig. Flatteur, louangeur. Thurifère : (tu-ri-fê-r'), adj. Se dit des arbres qui donnent une résine analogue à l'encens. Thyade : (ti-a-d'), n. f. Nom donné aux bacchantes. Thyrse : (tir-s'), n. m. Javelot environné de pampre et de lierre, et terminé par une extrémité en forme de pomme de pin. Tierçage : (tièr-sa-j'), n. m. Terme d'ancienne coutume. Tiers des biens d'un défunt, que le curé de la paroisse avait droit de prendre

après, comme son identité risquant d’être découverte, il s’enfuit vers Jérusalem et, de là, à Constantinople, où il remit en paix son âme à Dieu dans son ancienne demeure. D D D Mémoire de la sainte martyre ANNE de ROME. Mémoire des saints martyrs THYRSE et AGNÈS. Mémoire du très pieux empereur LÉON Ier le THRACE. Souverain pieux et pacifique, Léon Ier, dont le règne (457-474) avait été prédit par une apparition de la Mère de Dieu, s’efforça avec beaucoup de zèle de soutenir la foi orthodoxe et