Le Théatre Est Il Le Miroir De L Homme

Tenezakis 1ES2 Dissertation de français On a pu dire que le théâtre était parmi les genres littéraires, le plus conventionnel. Après avoir précisé quelles sont les conventions essentielles que le théâtre impose, vous chercherez les raisons pour lesquelles, selon vous, le spectateur se soumet volontiers à ces conventions et accepte sur scène les fantaisies les plus débridées qu’il refuserait dans la vie réelle. I. Le théâtre présente des conventions essentielles à son fonctionnement.

POESIE "La poésie est le miroir brouillé de notre société. Et chaque poète souffle sur ce miroir : son haleine différemment l’embue." Louis Aragon (1897-1982) "La poésie demande un génie particulier, qui ne s’accommode pas trop avec le bon sens. Tantôt, c’est le langage des dieux, tantôt c’est le langage des fous, rarement celui d’un honnête homme." Charles de Saint-Évremond (1614-1703) "A-t-on remarqué que l’enfant commence toujours à jouer à la littérature par la poésie, c’est-à-dire

 CITATIONS THEATRE "Le théâtre n’est fait que pour être vu." Molière (1622-1673) "Une mise en scène n’est jamais neutre. Toujours, il s’agit d’un choix." Antoine Vitez (1930-1990) "Rien de plus futile, de plus faux, de plus vain, rien de plus nécessaire que le théâtre." Louis Jouvet (1887-1951) "L’action tragique n’a jamais consisté, depuis la naissance de la tragédie, qu’à projeter la fatalité sur un être choisi." Jean Giraudoux (1882-1944) "Que me font à moi, sujet

justifier cette affirmation de circonstance. En vérité, il ne pense qu’à nous faire rire. Le théâtre n’est pas un moyen, c’est un but. La comédie n’a pas sa fin hors d’elle-même, dans une moralisation par le rire à laquelle personne ne peut ajouter foi […] : elle est une création autonome qui se justifie par sa seule existence, par la force avec laquelle elle s’impose au spectateur ». (Molière, homme de théâtre, Paris, Mercure de France, 1992) L'idée est celle d’un rire gratuit chez Molière

Théâtre Le théâtre est-il la représentation de la réalité ? Le théâtre est le miroir de la réalité Le théâtre, contrairement au roman ou à la poésie qui se lisent, n’existe que dans la représentation concrète, physique, dans l’incarnation des voix dans des corps en mouvement qui évoluent dans un décor, ont des vêtements, tiennent des objets, s’assoient, se lèvent... Nous sommes donc face à de vraies personnes en chair et en os, qui évoluent dans un espace concret, ce qui le rend bien plus

trilogie théâtrale. Le passage étudié est au début de la pièce et s’organise autour de la parole prédominale de Molière: c’est une scène d’exposition sur les enjeux du théâtre, le jeu de l’acteur et les rapports entre comédiens/personnages/rôles qui nous amènent à réfléchir sur la question de la fiction et de la réalité dans le théâtre.      1. Un texte théâtral        Notre extrait s’ouvre sur une réplique de Molière (citations l.12) elle montre les comédiens qu’il y a à voir comme le prouve

effet à travers 2 personnages stéréotypés que souligne par ailleurs le motif du miroir lié au procédé de la mise en abyme. Introduction : présentation de l'auteur – contexte historique et littéraire – présentation du texte - problématique – plan Plan I : I - Une dimension caricaturale : A / Du rapport dominant / dominé : autorité / soumission B / Du langage et des attitudes II - la mise en abyme par le biais du miroir Plan II : Problématique : Comment la mise en scène des deux sœurs met-elle

le rend artificiel en le comparant a des acteurs ou à un personnage de théâtre comme si Georges Duroy jouait un rôle tout le long du roman. (L18 « Alors il s’étudia comme font les acteurs pour apprendre leur rôle » Comparaison avec les acteurs)(Champs Lexical du théâtre L20 « l’étonnement, le plaisir, l’approbation »)(L34 « Voilà une belle invention ») 2) Il le féminise en le comparant aux femmes qui se regarde dans le miroir pour se recoiffer ou se maquiller. (L23 « Il eut peur d’être surpris et

intentions de ce dernier et reste persuadée de la sincérité du jeune homme. Elle plaide ainsi sa cause auprès de Polonius: Il a confirmé son langage par presque tous les serments sacrés du ciel. Ophélie est différente. Elle ne ressemble pas à ces héroïnes dont Shakespeare nous a fait coutume. Elle ne se bat pas. Elle prend. Subit. Accepte. Tombe à genoux. Ne se relève pas. Elle est une femme de cette société. Elle leur appartient. Miroir d'une condition féminine.

le roi Béranger et Alexandre sont vieux et malades et donc condamnés à disparaître. Face à cette échéance, ils traduisent leur désespoir en exprimant leurs émotions : la peur pour Caligula et le roi : « j'ai peur », confesse le premier devant le miroir qui permet cette introspection, « au secours » s'écrie le second à la fenêtre en appelant son peuple à l'aide, puis « j'ai peur ». Mais tandis que Caligula ressent aussitôt du « dégoût » devant cette « lâcheté » et se ressaisit en défiant les patriciens