Le Théâtre Distrait

de remarquable. Elevé par des maîtres d'école de village, son instruction fut très négligée, et ne fut guère perfectionnée à Reims, où quelques-uns veulent qu'il ait encore étudié. Cette circonstance, et peut-être aussi le caractère de son esprit, distrait, insouciant, paresseux, expliquent le phénomène d'un grand poète arrivé à l'âge de vingt-deux ans sans avoir laissé d'entrevoir aucune étincelle de son rare et heureux génie. Le talent de la poésie, surtout lorsqu'il est porté à un haut degré, est

- ELMIRE Noémie Rosenblatt - MARIANNE Catherine Epars - MME PERNELLE <Scénographie> Emmanuel Clolus <Lumière> Philippe Berthomé <Son> Marc Bretonnière <Costumes> Marguerite Bordat <Régie générale> Joël L’Hopitalier <Production> Théâtre Vidy-Lausanne <Coproduction> Théâtre National de Bretagne - Rennes ; Les Gémeaux - Scène Nationale de Sceaux ; Cie Lacascade La Cie Lacascade bénéfice du soutien de : Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Rhône-Alpes, et du Conseil Général de l’Ardèche

Scénographie:études du dispositif scènique Sociologie du théâtre: du comportement du public, des usages dans les salles de théâtre. Les salles de théâtre parisienne (17e tout se fait à Paris) Seule ville de france à avoir un théâtre permanent, une salle ou on ne fait que jouer du théâtre.C'est l'hotel de bourgogne. Situé dans le quartier des halles. C'est un théâtre qui est tenu par des religieux, les confrères de la passion, ils louent leur salle au plus offrant, ayant le monopole, ils louent

de caractère et souvent malade. Il grandit dans un milieu mondain où l’on a le goût des arts. Son père dessine et, très jeune, il l’imitera. Son grand-père est collectionneur et mélomane – il organise chez lui des séances musicales. Fasciné par le théâtre, Jean dévore les magazines spécialisés qu’il trouve chez lui ; il assiste aussi à quelques spectacles pour enfants. 1898 Le 5 avril, pour des raisons restées mystérieuses, son père se tue d’une balle dans la tête. C’est seulement en 1963, année

performance, en cinq actes, de Maurice Maeterlinck, cette dernière est jouée pour la première fois au Théâtre des Bouffes-Parisiens, le 17 mai 1893. La pièce se caractérise comme étant un drame éternel, plein de légende: des personnages, sans histoire, apparaissent, et leur passé, nous reste, en tant que spectateur, inconnu. C’est au fil des scènes que les personnages s’ouvrent et se décrivent. Cette pièce de théâtre se base sur une histoire d'amour et de jalousie entre trois personnes : Mélisande, Golaud et

Sommaire I. Le théâtre athénien et le théâtre sophocléen. A. Qu’est-ce que le théâtre à Athènes ? page 1 B. Qu’est-ce que le mythe ? page 3 3. Comment est perçu le théâtre de Sophocle? page 5 II. Le retour d’Antigone au XXème siècle. A. Qu’est-ce que le théâtre au XXe siècle ? page 11 B. Le mythe a-t-il le même sens ? page

mouvement s'apaise, ce chaos se débrouille, chaque chose vient se mettre à sa place, mais lentement, et après une longue et confuse agitation. N'avez- vous point vu quelquefois l'opéra en Italie? Dans les changements de scènes il règne sur ces grands théâtres un désordre désagréable et qui dure assez longtemps; toutes les décorations sont entremêlées; on voit de toutes parts un tiraillement qui fait peine , on croit que tout va renverser : cependant peu à peu tout s'arrange, rien ne manque, et l'on est

c’est-à-dire être riche sans travailler, être libre sans avoir le courage de partir, comme il le dit « tout en moi me retenait de lui tenir tête ». Il se laisse agir et se brime lui-même. Loin d’être acteur de sa vie, il en est un spectateur distant et distrait. Alors que Laurence s’agace de la réussite de sa mélodie, celui-ci l’excuse: elle préfèrerait un « pianiste célèbre » dit-il et n’a qu’un auteur de variétés. La situation se voit renversée et l’est notamment à cause de Vincent car il n’a pas « l’habitude

pendant trois siècles règne la paix romaine, les conquêtes sont consolidées, en particulier sous Trajan (98-117), où l'on peut parler d'apogée de l'Empire. Rome est une capitale de plus d'un million d'habitants, dont la population est nourrie et distraite gratuitement par l'Empereur ("panem et circenses"). [pic]  La société est hiérarchisée : au sommet, les sénateurs et les chevaliers, qui constituent l'aristocratie, au dessous les hommes libres, puis les affranchis et les esclaves, prises de

d'elle inaperçu,  Toujours à ses côtés et pourtant solitaire ;  Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre,  N'osant rien demander et n'ayant rien reçu.  Pour elle, quoique Dieu l'ait faite douce et tendre,  Elle suit son chemin, distraite et sans entendre  Ce murmure d'amour élevé sur ses pas.  A l'austère devoir pieusement fidèle,  Elle dira, lisant ces vers tout remplis d'elle :  " Quelle est donc cette femme ? " Et ne comprendra pas ! Félix Arvers (1806 - 1850)