Le Théâtre S Inspire T Il De La Réalité Ou C Est Qu Une Illusion

plus prolifiques d’information sur Balzac, grâce à leur correspondance. Une autre sœur, Laurence, née en 1802, fera un mariage malheureux et mourra précocement, en 1827. Un quatrième enfant, Henry, né en décembre 1807, le préféré de sa mère, est en réalité le fils d’un ami de la famille, dont Balzac d’ailleurs restera proche. FICHE N◦ 2 17 Vue d’ensemble de La Cousine Bette 1 L’intrigue L’intrigue semble d’abord être celle de la façon dont Lisbeth Fischer, dite Bette, recherche la destruction

narrative dans l’amante anglaise Il en va tout autrement dans L’Amante anglaise, où les dialogues (mais peut-on encore parler de dialogues ?) se déroulent entre des interlocuteurs dont le rôle est institutionnellement prédéfini. L’argument est inspiré d’un fait-divers criminel authentique, que Duras présente ainsi dans un préambule à la dernière version (1991) : Le crime évoqué dans L’Amante anglaise s’est produit dans la région de l’Essonne, à Savigny-sur-Orge, dans le quartier dit de « La Montagne

arts et métiers et d’un artiste, les tentures, imprimées et peintes le plus souvent en exemplaire unique, servent surtout de tissus d'habillement et sont parfois réalisées pour d'autres maisons, dont à nouveau la firme Atuyer-Bianchini-Férier . En réalité, « Le bois gravé, pratiquement identique à la planche à imprimer sur tissu, permit à l’artiste de se familiariser avec l’une des contraintes du décor pour étoffe : l’harmonie entre les pleins et les vides, ainsi que les problèmes d’encrage, tout à

histoire va lui être raconter. Ce passage suscite des attentes et des interrogations= incipit. En même temps qu’il présente les caractéristiques d’un incipit, le texte attire l’attention sur le rôle que va jouer le lieu de l’action. II) Paris = le théâtre des passions : Paris est présenté comme le lieu ou naissent et se développent toute sortes de passions et ou on observe les caractères les plus variés, les plus opposés. Le passage qui commence p 22 « Les particularité de cette scène…. Marche glorieuse

plan le cheminement du chevalier vers la purification et les actes accomplis en vue de rétablir un ordre agréable à bien et qui a été troublé », L’aventure chevaleresque. Idéal et réalité dans le roman courtois, Köhlec. Miguel de Cervantès, Don Quichotte (1605-1615). On a un chevalier qui s’est trompé d’époque et de réalité. Il y a des réflexions sur l’idée d’aventure dans ce roman. Le héros est caractérisé comme « fou » car il veut partir à l’aventure comme elle est décrite dans les romans. Il a lu

vie » à « c'est assez, je t'aime ! » C'est Christine qui parle. « Voyons » montre sa force de parole. On a une opposition des termes avec « la vie » et « ton cauchemar » : la vie = la réalité, ce qui les entoure ton cauchemar = la réalité de Claude Et aussi avec « vivons ensemble » = Christine de Claude dans la réalité. On a aussi une phrase interrogative mais qui ne demande pas de réponse. Ce n'est pas vraiment un échange entre les deux personnages. Ici Christine parle toute seule. La familiarité

tuer ce frère en duel. Eugène refuse avec indignation. Après avoir appris du père Goriot que Delphine de Nucingen irait le lundi suivant au bal de la duchesse de Carigliano, Eugène dîne chez madame de Beauséant, qu’il accompagne ensuite au Théâtre-Italien. Il y est présenté à madame de Nucingen et il commence à la courtiser : sur les conseils de sa cousine, il a décidé d’en faire sa maîtresse. De retour à la pension, il rend compte de sa soirée au père Goriot. Le lendemain, des idées

qu’est le réalisme ? Le roman réaliste a pour mission d’exprimer le plus fidèlement possible la réalité, de peindre le réel. Les histoires réelles (vécues) sont privilégiées, les personnages ont des sentiments vraisemblables et le milieu ainsi que le physique des personnages sont évoqués avec minutie et objectivité (importance de la documentation). En théorie, ces deux courants se sont succédés mais en réalité ils s’entremêlent. Les romans de Flaubert se développent en fait selon deux veines d’inspiration

étant précisé qu’on lit de la même manière un poème ou un monument, une physionomie ou un paysage. La pensée du lecteur devance toujours l’analyse. Elle ne s’arrête pas aux détails dont elle n’a que vaguement conscience. Elle est en quête d’une réalité, d’une entité qu’aucune définition ne circonscrit. La lecture ne porte jamais que sur des signes et chaque objet déchiffré se réduit en effet à son chiffre. Autant dire qu’il est devenu pour l’observateur une combinaison de l’image et de l’idée (ce

opposition récit/discours 2. Fiction et diction : le statut ontologique de l’événement 2.1. Séparation histoire/récit 2.2. Noyaux de cerises et événementialité 3. Les impasses du réalisme genettien 3.1. Le récit de fiction comme réduplication d’une réalité antécédente 3.2. Copie vs récit : vérité vs approximation Gérard Genette s’attache, dans un chapitre fameux de Figures II, à reconnaître les « frontières du récit » (1969 : 49-69) ; il en explore scrupuleusement les contours et termine son enquête