Le Théâtre Source De Distraction

peut se répercuter « à l’infini » - c’est, tout d’abord, qu’il exclut celui dont on rit (l’infini moins un) ; c’est ensuite, parce qu’on ne rit pas avec tous, mais seulement avec ceux avec qui s’est établi une forme de lien (celui d’une salle de théâtre ou de classe, de marcheurs dans la rue, etc.) : « notre rire est toujours le rire d’un groupe », écrit Bergson (cf. deux exemples issus de Ridicule de Patrice Leconte et du Goût des autres d’Agnès Jaoui). De là le fait qu’à l’extérieur de ce groupe

Ningyo Joruri Bunraku Théâtre de Marionnettes Japonais J’ai choisie ce sujet car je m’intéresse de près à la culture japonaise et j’ai appris que le théâtre était très présent au Japon. Les différents styles que j’ai pu découvrir sont le Kabuki, théâtre épique et populaire ; le nô, définit comme du drame lyrique ; le Kyôgen, théâtre de farce ; Et enfin le Bunraku, ou plutôt Ningyo Joruri Bunraku : le théâtre de marionnettes. J’ai été séduite par ce dernier genre car j’ai trouvé les techniques

aucune demande particulière émergée d’une population apparemment satisfaite ou, du moins, résignée. Un centre de loisirs très actif et novateur hébergeait des associations proposant des cours de dessin et un atelier théâtre pour les jeunes, tandis qu’une dynamique compagnie de théâtre amateur montait annuellement, de façon très professionnelle, une pièce du répertoire classique, réservé à un public éclairé. Bref, en terme de culture, en ce milieu rural, tout semblait indiquer qu’on s’y entendait plus

bien parlé, les gens faisait attention à leur langage sans être dans l’excès, il faut être poli, ne pas dire de gros mots, de grossièretés. L’art de la conversation était surtout parlé dans les salons, à la cour. Les salons sont des lieux de distraction, de rencontre où des personnes importantes de la haute société se rencontrent pour parler de leurs œuvres, de la politique, de leurs vies… On y développe l’art de la conversation, les conversations doivent être honnêtes. Bienséance : parler bien

Raymond Devos dans « Matière à rire » imagine la naissance du rire. Il décrit avec humour la libération corporelle qu'il déclenche et explique que les zygomatiques sont les muscles qui entrent en action quand on rit. Le rire est également une source de bien être pour le corps humain et facteur d’énergie positive. Dans les années 90, Clémentine Dunne (ancienne comédienne) l’a bien compris et utilise le rire comme outil de bien être lors de réunions de rire informel entre copains. Aujourd’hui

Nous verrons que jouer peut-être source de plaisir intense, mais également de plaisir nocif. Enfin, nous verrons que le jeu est présent dans la nature même de l’homme. JOUER SOURCE DE PLAISIR INTENSE Dérivé du latin placare (« apaiser »), le plaisir est quelque chose qui satisfait un besoin ou un désir. La recherche du plaisir est souvent critiquée par

les hommes en les divertissant ». Jean Baptiste Poquelin, connu sous le nom de Molière, fut un grand dramaturge du XVIIe siècle et écrit de nombreuses pièces de théâtre comme Le Malade Imaginaire . Cette dernière est une comédie-ballet représentée pour la première fois sur scène le 10 février 1673 sur le théâtre de la salle du Palais-Royal. Cette pièce se veut un grand spectacle en l’honneur du roi Louis XIV, revenu de la Guerre de Hollande. Il est ainsi intéressant de se

constitue une scène d’exposition puis nous analyserons sa dimension métapoétique.  I – Un prologue qui fait fonction d’exposition  A – Un prologue original : Ce prologue semble s’ouvrir sur des coulisses et non sur le plateau : EFFET de THEATRE dans le THEATRE. Nous sommes bien sur le plateau pourtant, le rideau est levé puisque le discours didascale évoque « le décor neutre » à « depuis que ce rideau s’est levé ». Les acteurs sont bien sur scène : « tous les personnages sont en scène ». Toutefois

comme indécis, un amour à demi-né, dont ils se doutent sans en être bien sûrs et qu'ils épient au-dedans d'eux-mêmes avant de lui laisser prendre l'essor. » MARIVAUX, texte cité par D'ALEMBERT dans son Éloge de Marivaux. Reprenant une tradition du théâtre italien qui fait de l'amour le seul motif de l'argument, Marivaux concentre l'intérêt de l'action sur la prise de conscience du sentiment. Tantôt il s'insinue dans le cœur des deux antagonistes, et il suffit de laisser aller l'intrigue sans aucun

était calme ici, un peu trop froide. Le bruit de la ville grondait au loin comme une bête immonde. En bas de la butte, la nuit était vivante. Il percevait de vagues effluves citadines. Il devinait les noctambules en quête d’amusements et de distractions. Tout cela lui était bien étranger. Sur un vieux mur délabré en face de lui, quelques tags griffonnés sans goût, et une inscription plus explicite citait : –l’imagination au pouvoir- Il ne connaissait plus cette rhétorique : son divorce avec