Le Tir Et Le Cimetière

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ils rencontraient le sénéchal venant de Wurzbourg. Ceux de l’Allgaü, forts à cette heure de vingt-trois mille hommes, s’apprêtaient à affronter cette troupe, qui n’en comptait que onze mille. Le 19 juillet ils se décidèrent et engagèrent un violent tir d’artillerie. Mais le 21, un des chefs de la bande, Georg von Frunsberg, trahit et passa à la Ligue Souabe. Il servit d’entremetteur pour acheter plusieurs autres chefs, qui incendièrent les réserves de poudre. Les paysans tentèrent alors une sortie

pris en Champagne en 1915 sur le front ouest-européen, évoque clairement la guerre de tranchées et la mort de masse qui en découle avec au premier plan des corps disloqués, voire démembrés, et comme inhumés collectivement, sans doute sous l’effet d’un tir d’artillerie ou d’un « nettoyage de tranchée », le tout sur fond d’un paysage désolé et sans végétation. Le cliché de droite (document 2), pris à Verdun en décembre 1916, témoigne lui de la dimension industrielle de la guerre « totale » ou « intégrale

occupe un no man’s land large de quelques centaines à quelques mètres, surveillé par des postes d’observation légèrement en avant de la première ligne. Elles sont reliées par d’autres boyaux, euxmêmes en zigzag pour éviter d’être pris en enfilade par un tir ennemi. À l’arrière, se trouve l’artillerie légère, le poste de commandement et le poste de secours. Le front Est est tout à fait différent, plus ouvert, et la tranchée ne s’y impose pas comme système défensif. Avec l’immobilisation du front, le Nord

occupe un no man’s land large de quelques centaines à quelques mètres, surveillé par des postes d’observation légèrement en avant de la première ligne. Elles sont reliées par d’autres boyaux, euxmêmes en zigzag pour éviter d’être pris en enfilade par un tir ennemi. À l’arrière, se trouve l’artillerie légère, le poste de commandement et le poste de secours. Le front Est est tout à fait différent, plus ouvert, et la tranchée ne s’y impose pas comme système défensif. Avec l’immobilisation du front, le Nord

pensons à Lincoln et demandons-nous: «Que ferait-il à notre place? » Il arrivait à Mark Twain de laisser exploser sa colère dans sa correspondance. Un jour, à quelqu’un qui l’avait exaspéré, il écrivit: «Tout ce qu’il vous faut, c’est une place au cimetière. Vous n’avez qu’un mot à dire et je me charge de vous la réserver. » Une autre fois, parce qu’un correcteur avait tenté d’apporter quelque amélioration « à son orthographe et à sa ponctuation », il s’adressa à la rédaction en ces termes : « Conformez-vous

Aux exécutions sommaires perpétrées par les Versaillais répondirent le massacre d’otages (dont l’archevêque de Paris, Mgr Darboy) et l’incendie des Tuileries et de l’Hôtel de Ville. Les derniers communards, au nombre de 147, furent fusillés au cimetière du Père-Lachaise. La répression avait fait des milliers de morts. Le Second Empire s’achevait non seulement dans la défaite, mais par une véritable guerre civile au « temps des cerises ». Le gouvernement légal d’Adolphe Thiers avait triomphé sous

Maupassant, mais, simplement, envisager quelques-uns des thèmes qu'il a traités et retraités, avec des variations presque infinies. L'un de nos Contes rapporte une stupide provocation en duel, que suit le suicide du héros. Entraîné à l'escrime et au tir (comme à la boxe ou à la lutte), Maupassant méprise le duel : « Le duel est la sauvegarde des suspects. Les douteux, les véreux, les compromis essayent par là de se refaire une virginité d'occasion » (G.B., 8 décembre 81). Ces lignes ne l'empêchent

James entendit fuser les mots mongol et débile. — Mets-moi ça à la poubelle, Charles. Le garçon croqua une dernière fois dans le fruit puis le jeta en direction de la poubelle métallique située derrière le bureau de Mr Shawn. Il manqua son tir, se traîna jusqu’à l’estrade et se baissa pour ramasser le projectile. Alors toute la classe put constater que son pantalon était déchiré aux fesses et admirer son slip vert amande. — T’es trop sexy, Charles ! cria une fille. — La première

et concours La langue française est à la fois belle et précise : « Ma tête dit l’anglais ; mon cœur, le russe ; mon oreille le français. » Vladimir Nabokov (Saint-Pétersbourg 1899 – Montreux 1977) « La langue anglaise est un fusil à plombs : le tir est dispersé. La langue française est un fusil qui tire à balle, de façon précise. » Otto de Habsbourg (né en 1912, chef de la famille de Habsbourg-Lorraine, fils de Charles 1er d’Autriche et de l’impératrice née princesse Zita de Bourbon-Parme). La