Le Tombeau Des Regrets

de cour, il se met à rechercher l'essence de la musique, sa substance intrinsèque et ce pour quoi elle composée. Chapitres 1 à 7 Au printemps 1650, Mme de Sainte Colombe meurt. Inconsolable, son mari compose à cette à cette occasion Le Tombeau des regrets et fait bâtir une cabane où il perfectionne l'art de la viole. Très tôt, il enseigne la musique à ses deux filles, Madeleine et Toinette. Rapidement, ils font des concerts à trois violes où se rendent les seigneurs. Un jour, M. Caignet, joueur

viole , il veut etre dans le noir ( peut etre atmosphere de la cabane ou il a appris ) il mentionne ( semble t-il st colombe ) il le qualifie " lui c'était la musique" et a l'air de regretter c'est actes il n'est pas " aller au bout de son reves " ( st colombe ) on raconte l'histoire de st colombe " le tombeau des regrets " -> composé pour sa femme decédé le viole connait une diffuion a londre et a paris st colombe -> maitre reputé et janséniste on voit que l'enseiignement de la musique et important

pouvons prendre comme exemple l’enfant de Madeleine qui était mort né (Chapitre 19). La mort peu également être représentée a-travers la musique au cours du roman et du livre, en effet c’est la mort qui semble nourrir cette musique, comme le Tombeau des regrets (p9) écrit par Monsieur de Sainte Colombe pour sa défunte épouse. C’est également grâce à la musique que nous pouvons établir un lien entre le monde vivant et l’au delà. En effet Madame de Sainte Colombe fera ses apparitions funestes. Les

mis en avant par le fait que, après chaque visite de sa femme, M. de Sainte-Colombe note « les thèmes que ses entretiens ou que ses rêveries lui avaient inspirés » chapitre VII. Elle inspire donc les morceaux à son mari, comme par exemple le Tombeau des Regrets qu’il avait composé pour elle. En plus d’inspirer la musique, Mme de Sainte-Colombe est liée et est musique. En effet, la femme est continuellement liée à des objets musicaux, « Elle s’assit sur le coffre de musique » chapitre VI, « il posait

-M. de Sainte Colombe a) Passé « Monsieur de Sainte Colombe ne se consola pas de la mort de son épouse. » (p. 9) « Il ne pouvait contenir le regret de ne pas avoir été présent quand sa femme avait rendu l'âme » (p. 11) « Il avait été présenté au feu roi dans sa jeunesse et de ce jour, sans qu'on sût pourquoi, n'avait plus mis les pieds au Louvre ni au château-vieux de Saint-Germain. » (p. 15) b) Comportement « Le caractère de Monsieur de Sainte Colombe et son peu de disposition au langage le

mort, et pour terminer la punition. Ce poème ce compose uniquement de deux phrases, dont une longue de 13 vers, qui montre la femme dans le tombeau par un enchaînement d'élément temporel tout au long du texte « lorsque »V1; « et lorsque » V3, « quand » V5 « durant » V11 qui impose une vision douloureuse .Les verbes sont au futur. « Dormiras » V1. Le « tombeau » est quand même le sujet principal V9. L'objet de la vision est une représentation physique de la femme. Il y a une reprise en parallélisme:

l’écriture baroque.  Enfin, nous étudierons la construction de ce sonnet. Première partie : la mort et la vie a) La mort La lecture du sonnet « sur un tombeau » montre deux notions qui sont rattachées à deux êtres avec la mort de l’amant et de la femme et la vie de l’amant et de la femme. La mort est suggérée par le titre « Sur un tombeau » dont le titre est l’épitaphe). La mort se révèle sous différents termes :  vers 1 « la dépouille »,  vers 1 « ce marbre »,  vers 3 « elle y dort

la vie, Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui, Je me retourne encore, et d'un regard d'envie Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui ! Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ; L'air est si parfumé ! la lumière est si pure ! Aux regards d'un mourant le soleil est si beau ! Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie Ce calice mêlé de nectar et de fiel ! Au fond de cette coupe où je buvais la vie, Peut-être

Celle-ci par ses cris mettait tout en alarme ; Celle-ci faisait un vacarme, Un bruit, et des regrets à percer tous les coeurs ; Bien qu'on sache qu'en ces malheurs De quelque désespoir qu'une âme soit atteinte, La douleur est toujours moins forte que la plainte, Toujours un peu de faste entre parmi les pleurs. Chacun fit son devoir de dire à l'affligée Que tout a sa mesure, et que de tels regrets Pourraient pécher par leur excès : Chacun rendit par là sa douleur rengrégée. Enfin ne

larmes que soulève un coeur encor blessé ! Ne les essuyez pas, laissez sur mes paupières Ce voile du passé ! Je ne viens point jeter un regret inutile Dans l'écho de ces bois témoins de mon bonheur. Fière est cette forêt dans sa beauté tranquille, Et fier aussi mon coeur. Que celui-là se livre à des plaintes amères, Qui s'agenouille et prie au tombeau d'un ami. Tout respire en ces lieux ; les fleurs des cimetières Ne poussent point ici. Voyez ! la lune monte à travers ces ombrages.