Le Torrent

métaphores ou bien les conditions d'écriture du très long texte que par facétie ou encore autodérision je pourrais être tenté de rebaptiser très long texte interrompu et l'adjectif interrompu ici au milieu de la ligne interrompt mes songes interrompt le torrent de sornettes lance d'autres tirades propose peut-être d'autres charades mais pour mieux me ramener vers le rivage bourbeux où je ne cesse de me lancer ces reproches à la figure velléitaire velléitaire et me voici encore à ne pas même essayer de me

métaphores ou bien les conditions d'écriture du très long texte que par facétie ou encore autodérision je pourrais être tenté de rebaptiser très long texte interrompu et l'adjectifinterrompu ici au milieu de la ligne interrompt mes songes interrompt le torrent de sornettes lance d'autres tirades propose peut-être d'autres charades mais pour mieux me ramener vers le rivage bourbeux où je ne cesse de me lancer ces reproches à la figure velléitaire velléitaire et me voici encore à ne pas même essayer de me

strophe Séquence 5 : dire, lire et écrire autour des Fables de La Fontaine Séance 3Séance 3Séance 3Séance 3 : : : : «««« le Torrent et la Rle Torrent et la Rle Torrent et la Rle Torrent et la Rivièreivièreivièreivière »»»» de La Fontainede La Fontainede La Fontainede La Fontaine Etude de texte Avec grand bruit et grand fracas Un Torrent tombait des montagnes : Tout fuyait devant lui ; l'horreur suivait ses pas ; Il faisait trembler les campagnes. Nul voyageur

furent découplés. Lorsqu'elle se trouva tout à fait seule, elle regarda le ciel qui se couvrait et entra dans le bois. Elle marcha d'abord sans faire de bruit, dans la partie de haute futaie, puis, lorsqu'elle atteignit la pente qui descend vers le torrent, elle commença à éprouver du mal. Les ronces s'accrochaient à sa manche, les épines faisaient saigner ses mains. Mais elle marchait, droit devant elle vers les fusils qu'elle savait en contrebas. Voilà, c'était fini, le champ s'était peu à peu

c’est une suite de métaphore que l’on retrouve en filigrane (tout au long) dans le texte, sur le même thème. Exemple : « Adolphe essaie de cacher l'ennui que lui donne ce torrent de paroles, qui commence à moitié chemin de son domicile et qui ne trouve pas de mer où se jeter ». Remarque : La métaphore filée fondée sur le torrent de paroles (association du débit de l'eau avec celui des paroles) et finissant son image sur le terme de mer s'étend ici sur une phrase seule. Métonymie : consiste à désigner

12), « il y a de l’orage dans l’air » (v 14 avec un jeu sens propre / sens figuré), « éventré » (vers 20) –          Violence qui se retrouve dans l’écriture (on parle alors d’harmonie imitative) : « Ton trottoiréventré sur les tuyaux du gaz, « Un torrent de cailloux roulent dans ton accent » » -> consonnes agressives. –          Impression que Toulouse est pareille à une femme passionnée. On songe notamment à l’image archétypale de la femme du sud, au sang chaud, fougueuse et passionnée… –         

métaphores ou bien les conditions d'écriture du très long texte que par facétie ou encore autodérision je pourrais être tenté de rebaptiser très long texte interrompu et l'adjectif interrompu ici au milieu de la ligne interrompt mes songes interrompt le torrent de sornettes lance d'autres tirades propose peut-être d'autres charades mais pour mieux me ramener vers le rivage bourbeux où je ne cesse de me lancer ces reproches à la figure velléitaire velléitaire et me voici encore à ne pas même essayer de me

le genêt qui croit le long de l'aride colline de sable, m'indiquaient cette vie intérieure, mystérieuse, toujours active, toute-puissante, qui anime la nature !... comme je faisais entrer tout cela dans mon cœur ! Je me sentais comme déifié par ce torrent qui me traversait, et les majestueuses formes du monde infini vivaient et se mouvaient dans mon âme. Je me voyais environné d'énormes montagnes ; des précipices étaient devant moi, et des rivières d'orage s'y plongeaient ; des fleuves coulaient sous

1 3. – La cour du Lion Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 7 4. – Les obsèques de la Lionne Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VIII – Fable 14 5. – Le Torrent et la Rivière Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VIII – Fable 23 La Cour du Lion 1 Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître De quelles nations

murmurer : ‘’Le temps est venu. Tu dois la laisser. L’oiseau a été enfermé trop longtemps. Il faut que tu la laisses s’envoler, Et que tu reprennes la mer - Voyage.’’ Le vieillard gardait la photographie en main, pourtant. L’eau coulait par torrent, là-bas. L’orage. La pluie. Le vent. Le tonnerre. La foudre. La tornade. L’ouragan. Il - la - tenait pourtant. Les fleurs se fermèrent - arrachées par le souffle glacial. Le jaune avait terni. Pars, lui criait-on. Là, un trait d’or brûla les