Le Torrent

vécu : Une avalanche de cadeaux : Mourir de rire : Va, je ne te hais point : Il n’est pas inintelligent : Cette obscure clarté : Ce n’est pas sérieux : Je te l’ai répété mille fois : Les demandeurs d’emploi : C’est du joli ! Verser des torrents de larmes : Les pays en voie de développement : Vous n’ avez pas tort : Le charmant animal planta ses crocs dans mon mollet : Monter sur les planches : Faire de la voile : Boire un verre sur le zinc : Enfiler un ciré : Etre à la une d’un

les nuages rouler au ciel, couché sur le dos en fermant à demi les yeux. C'est tout ce que je veux. " Cela ne l’empêche pas de rédiger Novembre. * 1844 : Pression études de droit. Crise nerveuses. " Je me suis senti tout à coup emporté par un torrent de flammes.". Arrêt des études. * 19 septembre 1951 : Début de l’écriture Madame Bovary. 56 mois. * Ecriture très importante pour lui. « Quand j'écrivais l'empoisonnement de Madame Bovary j'avais si bien le goût de l'arsenic dans la bouche

s'est pas créé lui-même, et par ailleurs cependant libre, parce qu'une fois jeté dans le monde, il est responsable de tout ce qu'il fait. L'existentialisme ne croit pas à la puissance de la passion. Il ne pensera jamais qu'une belle passion est un torrent dévastateur qui conduit fatalement l'homme à certains actes, et qui, par conséquent, est une excuse. Il pense que l'homme est responsable de sa passion. L'existentialisme ne pensera pas non plus que l'homme peut trouver un secours dans un signe donné

y a ceux qui "parlent pour ne rien dire". Il y en a d’autres qui "s’écoutent parler" avec un évident plaisir. Certains "prennent la parole" pour ne plus la lâcher et vous noient sous un torrent de mots. D’autres encore n’écoutent rien du tout, ne perçoivent rien et poursuivent inlassablement leur discours autocentré. Vous, Marie-Hélène, dites que « vous écoutez, vous comprenez tout, même ce que les autres ne perçoivent pas. » Si vous ne « dites jamais rien », cela ne signifie évidemment pas que

j’ai soulevé la pointe de mon épée à sa poitrine. Il a frappé le premier et a envoyé mon épée voler jusqu’aux cieux. J’ai ramassé mon épée pour attaquer. Un coup puissant visé sur son coeur. J’étais à genoux. Je regardais par terre. Il y avait un torrent de sang qui coulait. Le sang était le mien. Je regardais la flaque d’eau proche de moi, j’y voyais mon ennemi. Mon visage était en sang et mes yeux, rouges. Mon ennemi, c’était moi.

"[...] bout d'un corridor [...] vitres en losanges " (v.2) qui, encore une fois, nous donne des informations sur la luminositée car le bout d'un corridor est forcément sombre, seul les vitres en losanges laisse passer un faisceau de lumière. "un torrent de soleil [...] entre des branches" qui éclaire partiellement cette rue qui pour l'instant était sombre. C'est donc un endroit harmonieux et calme que le poète nous décrit dans ce poème. II - Le décor. On remarque aussi que le poète insiste beaucoup

-Vous frissonez ! Réfléchissez encor. Me suivre dans les bois, dans les monts, sur les grèves, Chez des hommes pareils aux démont de vos rêves, Soupçonner tout, les yeux, les voix, les pas, le bruit, Dormir sur l'herbe, boire au torrent, et la nuit Entendre, en allaitant quelque enfant qui s'éveille, Les balles des mousquets siffler à votre oreille, Etre errante avec moi, proscrite et s'il le faut Me suivre ou je suivrai mon père, -à l'échafaud. Dona Sol

songe de veaux", le jardin rempli de merveilles fait penser à un monde imaginaire, la nature est une source d'inspiration, les hyperboles "Je donne au liquide cristal/plus de cent formes différentes" et "le ciel armé de vents/arrêtait le cours des torrents" montrent que ce n'est qu'un songe où tous les éléments ont des pouvoirs. Verlaine est mélancolique face à cette nature qui ne change pas, comme le prouve l'adverbe "toujours" ou encore "comme avant", elle représente l'infini, ce qui est éternel

tort, dit−il, de me dire que mon voyage serait malheureux. Il monte sur le plus beau chameau, les trois autres suivent; il rejoint sa caravane, et se voit dans le chemin de son bonheur. A peine a−t−il marché quatre parasanges qu'il est arrêté par un torrent profond, large, et impétueux, qui roulait des rochers blanchis d'écume. Les deux rivages étaient des précipices affreux qui éblouissaient la vue et glaçaient le courage; nul moyen de passer, nul d'aller à droite ou à gauche. Je commence à craindre

vers le village donne un espoir à Victorine pour monter au pâturage. Cependant, les malheurs continuent. Victorine s’est mise en tête de rejoindre Joseph mais on retrouve son corps trois ou quatre jours après son départ, porté par le courant du torrent. On suppose qu’elle est tombée à la renverse. A l’alpage, ils ont enterré la dixième bête et les hommes sont de plus en plus envahis par les doutes, alors que Clou est presque fasciné par ce qui se passe. Les bêtes sentent la proximité de la