Le Travail Des Enfants Produit La Richesse En Créant La Misère

C’est avec réalisme que le poète nous décrit l’état physique des enfants. Il insiste sur : - leur mauvaise santé : «que la fièvre maigrit» ; - leur fatigue : «bien las» ; - leur manque de vitalité. Les couleur qu’il évoque sont pâles : «quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue». Ces enfants sont victime des adultes qui les emploient pour le profit. Victor Hugo insiste sur leur conditions de travail : «ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules» . Il nous plonge dans le monde

Victor Hugo écrit un texte pour dénoncer l’exploitation des enfants dans les usines. Victor Hugo est un écrivain Français engagé au cours du XIX ème siècle, il écrit Melancholia en 1838. C’est donc pour cela que nous nous demanderons comment Victor Hugo arrive à dénoncer le travail des enfants à travers cette poésie. Une première partie se concentrera sur la dénonciation du travail, et une deuxième partie sur le portrait qu’il fait des enfants. Victor Hugo compare les usines à des prisons comme au

Melancholia (extrait) Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est

pathétique. Hugo parle ici du travail à l'usine et en particulier celui des jeunes enfants. Dans ce commentaire nous étudierons en premier lieu l'image que Victor Hugo donne du monde de l'usine, dans un second temps, comment Hugo exprime ses sentiments à travers ce poème puis nous conclurons sur le message que Hugo veut faire passer aux hommes dans ce poème. Victor Hugo, dans ce poème dénonce le travail des enfants dans les usines non adaptées pour eux, et le travail trop tôt et trop dur. Le poète

Depuis l’Antiquité, le Travail des enfants existe ; à l’époque la faible espérance de vie obligeait les enfants à participer aux tâches domestiques et agricoles. Leur lieu principal de travail était leur cercle familial. A partir du Moyen Age, les enfants sortent du milieu familial pour effectuer de la main d’œuvre et permettre aux familles de survivre. Guillaumin (1904) décrit le travail d’un enfant qui commence à garder un troupeau de moutons à l’âge de 7 ans étant donné que sa sœur, qui le

2011/2012 Devoir de synthèse N°1  Niveau : 4ème lettres 1/2 Durée : 2heures Prof : M.Salem Lamourou Le texte : 5 10 15 20 25 Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs, que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous les meules(1); Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre

alexandrins tous en rimes plates Victor Hugo défends et dénonce le travail des enfants car en effet avec la révolution industrielle les enfants furent mis au travail dans les mines ou beaucoup dans les usines textiles. tout d'abord on peut distinguer plusieurs parties dans ce poème d'abord l'auteur décrit les conditions de travail des enfants ce qui correspondrais aux 12 premiers vers puis du vers 13 au vers 22 l' auteur parle à la place des enfants pour amener sa seconde partie qui constitue un réquisitoire

série de peinture sur le thème de la corrida. Cette peinture provient du site officiel dédié à Pablo Picasso : www.picasso.fr Melancholia (extrait) Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre,

Description du travail des enfants I) DESCRIPTION REALISTE A) Jeunesse, fragilité, (innocence ?) des enfants Vers 1 : antithèse « tous ces enfants dot as un seul ne rit »  mettre en avant qu’ils devraient rire du fait de leur jeunesse et leur innocence - insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! », due à leur fragilité - anaphore vers 2 et 3 - « doux êtres pensifs » B) aspect répétitif du travail - « travailler quinze heures

Melancholia Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ?Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ;Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellementDans la même prison le même mouvement.Accroupis sous les dents d'une machine sombre,Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre,Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer