Le Travail Déshumanise T Il L Homme

toute la violence de la guerre : la dentition précise, et la décapitation sont les signes de la brutalité. 4.2 Description – Dénotation : 4.2.1 Au premier plan : De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. Les expressions sont fortes

aux œuvres sur la Shoah ..............................................................................11 F. I. Comment peut-on infliger ça à l’Homme ? ............................................................................11 II. Le travail dans les camps ....................................................................................................... 12 III. La sélection ......................................................................................................

feu  : ponctuation / phrases courtes / pronoms personnels « on » donne l’impression de déshumanisation : chaque homme a perdu son identité, c’est un homme qui va mourir / personnification (flammes acharnées) / superlatifs (si épaisse que…) Lettre de poilus  : champ lexical de la mort / passages descriptifs / caractérisation (triste travail) / écriture du moment · Quelles valeurs historiques ont ces documents ? Bilan· Plusieurs façons de témoigner : lettres

les superstructures – bâtiments) - Population mobile (mortalité et renouvellement) → Comment a-t-on pensé la relation homme/ville ? Encyclopédie Universalis et P. Zumthor. ● Un modèle classique et positif de la ville Urbs, Civitas, Polis (politesse, urbanité, Civilité) véhicule des valeurs positives Ville, élément positif, où l'on se comporte correctement → opposition entre homme des villes/ des champs ● Nouveau modèle lié à l'industrialisation Violence, solitude, mendicité → modèle négatif → en

monde du travail en littérature Objet de ce cours : réfléchir à la notion du travail et à sa représentation. Pour étayer cette réflexion, nous nous appuierons sur une série de textes narratifs, pour la plupart des romans, depuis la deuxième moitié du XIXème siècle jusqu’à nos jours. A travers ce panorama, nous essayerons de nous faire une idée à la fois analytique et synthétique sur le monde du travail. Le contrôle : une dizaine de questions sur les textes. Introduction : Le travail a toujours

résultat du libéralisme économique, il faut un État fort, mais pas d’assistanat ni d’égalité matérielle non plus ; égalité de droit compatible avec une distinction selon les mérites, critère déterminant du travail). La dialectique de la maîtrise et de la servitude montre quel est le rôle du travail dans ce processus de libération. Étapes : - Les deux positions (les deux consciences) « se reconnaissent comme se reconnaissant mutuellement ». Chacun affirme que sa propre position découle de la

misérable des gens, décrit les taudis dans lesquels ils vivent avec une précision effroyable. Rien n’est beau dans leur quartier. Il donne de ce milieu ouvrier une vision cruellement pessimiste. Les ouvriers maîtrisent leur métier, sont acharnés au travail mais l’auteur montre l’impuissance de la classe ouvrière à sortir de la misère, comme s’il n’y avait pas d’issue favorable, que telle était leur destinée. On nait de parents ouvriers, on reste ouvriers. Ainsi Zola mêle à la vie de la classe ouvrière

de créer un réseau de distribution qui leur procure le service qu’ils désirent. De plus, lorsqu’on a une part sociale dans l’entreprise, quel que soit le montant de l’apport du sociétaire, la prise de décision respecte la règle démocratique un homme = une voix. C’est une grande différence avec les sociétés capitalistes où le nombre de voix par personne dépend de l’apport en capital. En outre, il y a la règle de la porte ouverte : liberté d’entrée ou de sortie. On ne force pas les salariés

de poésie p.39 : «Dans la ville, bâtie en escargot sur son plateau.» -la ville est construite en tournant le dos à cette mer : enfermement devant la liberté, la ville se trouve repliée sur elle-même -cycle qui revient tout le temps, lieu un peu deshumanisé (on achète les fleurs sur le marché) -quand la peste vient : les Oranais vont falloir se poser à la peste et se poser des questions sur l’être, la peste va s’imposer à eux 2.L’apparition des rats p.16-30 -De l’insolite au désarroi7 p.16 : «La

................................................ Page 41 VII) CONCLUSION .............................................................................. Page 42 VIII) BIBLIOGRAPHIE 2 I. INTRODUCTION A l’issue de notre formation, un travail de fin d’études personnel et d’intérêt professionnel nous est demandé en vue de l’obtention du diplôme d’état infirmier. Ce dernier constitue le support d’une initiation à la démarche de recherche conformément aux unités d’enseignement 3.4 et 5