Le Triomphe

 I. Le Triomphe de l’homme sur la peste… A. Un Triomphe brusque Grande rapidité dans le changement des événements et des mentalités Rythme rapide, une description hâtive mais détaillée La délivrance fait de cette ville un endroit chaleureux la ou, si peu de temps avant l’odeur de la mort prédominait. Mais pas seulement B. Une réjouissance qui tend vers l’exhibition Le peuple ne ce soucie plus de la pudeur : « … de nombreux couples enlacés qui ne craignaient pas de se donner en spectacle

l’assouvissement de ses passions à tout prix, et l’autre veut rester pure et honnête. Contrairement à ce que l’on pourrait attendre, c’est la mé- chante qui triomphe dans la société et la jeune fille innocente, victime répétée d’injustices jamais compensées, connaît une mort misérable. On a donc l’idée d’une contre-morale qui fait triompher le méchant capable de prendre son destin en main, quel que soit le prix qu’il fasse payer aux autres. • Attention : la formule est du marquis de Sade, mais

     Diderot par la voie d'un vieillard, dénonce ici une société colonisatrice, injuste, immorale, violente face à un monde libre, simple, et tolérant aux autres.      Ce texte s'appuie sur toutes les ressources de l'art oratoire pour faire triompher son point de vue, celui de l'esprit des lumières, c'est à dire le combat pour la liberté, la tolérance et l'égalité.      Diderot propose à Rousseau une morale sociale et réhabilite l'idée que ce qui est naturel est spontanément vertueux. Cette

monde qu’offrent ses propres fables est marquée par le pessimisme : on y voit que « l’amour n’est jamais partagé » 2) Les fables consacrent le triomphe de la duplicité, de l’hypocrisie et de la force -Et quand il ne s’agit plus de simple tableau du monde et de la destinée, mais des rapports sociaux, les fables consacrent le plus souvent le triomphe de la duplicité, de l’hypocrisie, et de la force. - Chacun y est berné par les plus malins. Exemples : Le renard, « vieux routier et bon politique »

Vigarello vont dans le même sens, en opposant le sport moderne aux jeux plus traditionnels. D’après ces deux auteurs, le sport moderne prétend faire abstraction de la société : son but serait d’offrir à chaque individu les mêmes chances de triompher. Ils notent cependant que le sport est, en fait, une activité éminemment sociale. Christian Pociello n’est pas loin de partager cette opinion : dans l’article qu’il a rédigé pour l’Encyclopaedia Universalis, il explique que le sport est une

1945 (2 h) ? ? ? De la société industrielle à la société de communication (6 h). 1. Le triomphe de la société industrielle : les Trente Glorieuses (1945-1973). ? ? ? ? ? ? ? ? Idées essentielles et notions Un traumatisme sans précédent (humain, économique, moral). Une nouvelle hiérarchie des Etats (2 superpuissances). L’ espoir d’ monde meilleur (ONU) un Croissance exceptionnelle dans pays développés Triomphe du Fordisme et de la 2ème révolution industrielle Naissance d’ société de consommation et

seulement sur les territoires de l’Empire proprement dits ; elle étend son contrôle sur la majorité des Etats italiens et sur la Confédération germanique en y instaurant un régime autoritaire. Partout où règne l’influence de l’Autriche, l’absolutisme triomphe. Toutefois, si le régime a peu à craindre, à l’interne, d’une opposition libérale sans racines réelles dans la société, il doit néanmoins faire face à l’aspiration des peuples divers qui composent l’Empire à affirmer leur identité. Le principe des

souligne Charles-François Mathis, « cette vision du monde n'était pas partagée par tous, mais par une forte majorité de la population [britannique], toute prête à défendre ce qui vient de propulser le pays à l'avant-garde de la civilisation »7. Le triomphe industriel britannique éclata à tout point de vue alors, le fait que plus de la moitié des exposants soient britanniques accréditant l'image d'une Grande-Bretagne « atelier du monde »7. Parmi ces plus de 7000 exposants britanniques, on doit souligner

provenant de l’extérieur, alors que le terme français privilégie le fait que les Lumières viennent de soi-même. De manière très générale, sur le plan scientifique et philosophique, les Lumières voient le triomphe de la raison sur la foi et la croyance ; sur le plan politique et économique, le triomphe de la bourgeoisie sur la noblesse et le clergé.

ailleurs sujet au somnambulisme. De fait, l’onirisme est au cœur de ce poème, et infléchit ainsi considérablement le topos lyrique traditionnel. Comment ce poème d’amour paradoxal organise-t-il l’effacement progressif de la femme réelle, pour faire triompher le sujet rêvant, et le rêve sur la vie ? Le poème est d’abord structuré par un mouvement de désincarnation progressif. Le poète fait petit à petit gagner l’onirisme sur la rencontre réelle avec la femme. Enfin, cette rencontre de l’onirisme et