Le Tyran Est Il Un Homme Libre

La motivation d’Antigone est la lutte contre l’injustice qui atteint son extrême dans sa propre mort. Mais elle meurt pour un idéal. Alors que Créon qui n’a plus, certes, la facette du tyran comme chez Sophocle, va se limiter, par orgueil ou calcul politique, à la loi, alors qu’il a réellement pitié de sa nièce, Antigone. Anouilh rend hommage à la résistance correspondant à la période de la collaboration en France, durant la

 Que pense-tu de Marianne ? Je pense que Marianne est une femme moderne qui prend des décisions à l'improviste pour prouver qu'elle est libre de ses choix. Sa soudaine décision de prendre un amant est clairement pour contredire, désobéir à son mari qui lui a interdit de fréquenter un homme. Marianne est vierge dans le sens ou elle n'a pas encore aimé, on lui a imposé un mari, elle ne veut pas qu'on lui impose un amant, d'où son refus des avances de Coelio qu'elle ne connaît pas. De plus

Napoléon III. On peut voir dans «Napoléon le petit », le pamphlet d'Hugo écrit en 1852, beaucoup de critiques lié a la manière dont Napoléon gère la France : « Que peut-il ? Tout. Qu'a-t-il fait ? Rien. Avec cette pleine puissance,
en huit mois un homme de génie eût changé la face de la France ». Cependant la vérité est tout autre.Charles Louis Napoléon Bonaparte, ou Napoléon III, est né a Paris le 20 avril 1808 et est mort au Royaume-Uni le 9 janvier 1873. Il est le premier President de la République

Lorsqu’elle était mariée, son premier rôle était de donner une descendance à son époux, et de s’occuper de la maison, sans se mêler de l’éducation des enfants et de la situation économique de la famille. Ainsi, nous pouvons déduire que la femme n’était libre ni de choisir, ni d’agir, elle était sous l’autorité du père jusqu’au mariage, puis sous l’autorité du mari. La femme était à la fois enfermée moralement et physiquement et son éducation était négligée: elle n’avait aucune vie sociale en dehors de

Kant, les Lumières « C’est la sortie de l’homme hors de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable ». Les hommes sont eux-mêmes responsables de leur assujettissement. L’auteur affirme par l’usage de possessif « son », « ton » que chaque homme dispose d’un entendement. C’est un constat partagé avec Descartes, à savoir que tous les hommes ont à disposition la même raison. L’utilisation du vocabulaire de l’absence « incapacité », « manque », indique entre autre que l’homme n’use pas de sa

ce sens qu’il est l’ennemi de la liberté. En effet, celle-ci ne consiste pas simplement dans l’absence de contraintes. Elle repose sur l’autonomie du choix comme Sartre le fait remarquer avec raison dans L’être et le néant. Autrement dit, je suis libre non pas si j’obtiens ce que je désire – car les poux seraient libres en ce sens – mais seulement si c’est moi qui choisis les fins que je poursuis, que je les réalise ou non. Mais qui dit autonomie, dit que chacun se donne à lui-même sa propre

Periclès : Colle 3Périclès, en grec Periklếs (v.495-Athènes 429 av. J.-C.), stratège et homme d’État athénien, de la tribu Acamantide et du dème de Cholargue, membre de la famille des Alcméonides, fils de Xanthippe et d’Agaristè.L’influence de ce personnage sur son époque fut si grande qu’on surnomme généralement cette période "le siècle de Périclès".Il est né en 494 av J.C. et meurt en 429 av. J.C. Sur le plan familial, il épousa une femme dont il eut deux fils : Xanthippe et Paralos. Puis il s’éprit

liberté de tous, son penchant animal à l’égoïsme l’incite toutefois à se réserver, dans toute la mesure du possible, un régime d’exception pour lui-même.» Dans l’état de nature, la liberté se définit comme une liberté de mouvement: c'est à dire que être libre, c’est faire ce que l’on veut, c’est ne rencontrer aucun obstacle ou aucun empêchement à la réalisation de ce qu'on souhaite obtenir. Ainsi, les hommes soumis à la satisfaction de leurs intérêts particuliers auront tendance à «abuser de leur liberté»:

Le livre De Clementia de Sénèque nous décrit Auguste l'empereur dont il est question dans la pièce. Auguste y est décrit comme un homme plein de bonté et de douceur, couvrant ses amis de présents et d'avantages... Mais on y apprend surtout la passé houleux de ce dernier, sans scrupules pour atteindre ses objectifs, traîtres avec ses amis, un homme qui organisa les proscriptions, qui fit nombre d'exécutions : "Lorsqu'il eu vingt ans révolu, déjà il avait plongé le poignard dans le sein de

grec Dareios, en latin Darius). Roi de Perse (522-486) (mort en 486 av. J.-C.). [...] La première guerre médique Se méfiant des Grecs d'Ionie, dont la flotte avait contribué au franchissement du Bosphore et du Danube, Darios fit interner Histiée, tyran de Milet. Ce fut le signal de la révolte de l'Ionie (499-494) et le début de la première guerre médique entre Grecs et Perses, qui vit la prise de Sardes, la destruction de Milet et finalement la défaite perse à Marathon (490), face aux Athéniens,