Le Vallon

au maire et aux nobles du village, de céder aux pauvres paysans, leurs terres inoccupées du vallon d'Eden. Simeon Torrès, l'un des plus riches propriétaires de la ville le contredit d'un coup. Francisco fut troublé par la conférence tenue par son père : Simeon soutenait le coup d'état du Général Franco. Malgré les menaces et le désaccord de Simeon, les villageois décidèrent de cultiver les plaines du vallon; mais un jour, les villageois Ramon, José et Santiago furent interpellés par cinq policiers

que la mort va fermer pour jamais ! Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie, Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui, Je me retourne encore, et d'un regard d'envie Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui ! Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ; L'air est si parfumé ! la lumière est si pure ! Aux regards d'un mourant le soleil est si beau ! Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie Ce calice mêlé de nectar

libre. Ensuite avec "trop longs" arrive la vitesse d'avancer, d'arriver; la Liberté c'est maintenant, faut pas traîner.   J'ai franchi d'âpres monts, d'insidieux vallons. Il ne choisit pas des chemins faciles, il donne encore un sentiment négatif (âpres, insidieux) et encore cette impression de vitesse car il ne passe pas les vallons, il les franchit!   Ma trace avant longtemps n'y sera pas suivie. Il est bien le seul à passer par là. Il rappelle les vers où il dit « déjà frayés » Son chemin

plus les morts. De coIline en colline en vain portant ma vue, Du sud à l’aquilon, de l'aurore au couchant, Je parcours tous les points de l'immense étendue, Et je dis : Nulle part le bonheur ne m'attend. 25 Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé ! Que le tour du soleil ou commence ou s'achève, 30 D'un

sentiers en désordre semés, Montrent leur toit de chaume et leurs murs enfumés, Où le vieillard, assis au seuil de sa demeure, Dans son berceau de jonc endort l'enfant qui pleure ; Enfin un sol sans ombre et des cieux sans couleur, Et des vallons sans onde! - Et c'est là qu'est mon cœur ! Ce sont là les séjours, les sites, les rivages Dont mon âme attendrie évoque les images, Et dont pendant les nuits mes songes les plus beaux Pour enchanter mes yeux composent leurs tableaux ! Là

Cauchemar J'ai vu passer dans mon rêve -Tel l'ouragan sur la grève,- D'une main tenant un glaive Et de l'autre un sablier,           Ce cavalier Des ballades d'Allemagne Qu'à travers ville et campagne, Et du fleuve à la montagne, Et des forêts au vallon,           Un étalon Rouge-flamme et noir d'ébène, Sans bride, ni mors, ni rêne, Ni hop! ni cravache, entraîne Parmi des râlements sourds           Toujours! Toujours! Un grand feutre à longue plume Ombrait son oeil qui s'allume Et s'éteint

secondaire du mur d’enceinte, et chargeait la caisse sur un camion. 5 Il n’eut pas le temps de le rattraper avant son départ. Alors, il le suivit en auto. Et le camion roula longtemps, jusqu’à l’extrême périphérie de la ville, et s’arrêta au bord d’un vallon. Kazirra descendit de voiture et alla voir. L’inconnu déchargea la caisse et, après quelques pas, la lança dans le ravin, qui était plein de milliers et de milliers d’autres caisses identiques. 10 Il s’approcha de l’homme et lui demanda : « Je t’ai

recueillement ; en s’y arrêtant, on oublie la société et toute trace de vie mondaine. Il est d’ailleurs inhérent à l’esprit romantique de se confier plus aisément à la nature qu’à un ami en chair et en os. Par exemple, la nature est un motif récurrent dans Le Vallon de Lamartine ; un lieu de repos et de paix loin de l’agitation des hommes et qui se traduit par les images de l’asile et la nécessité de protéger la nature [4]. De même, Nima, dans L’histoire pâle [5], fuit la corruption des villes (la religion, la

bords de l'horizon. Il n'est rien de commun entre la terre et moi.Cependant, s'élançant de la flèche gothique, Quand là feuille des bois tombe dans la prairie,Un son religieux se répand dans les airs : Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ;Le voyageur s'arrête, et la cloche rustique Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie :Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts. Emportez-moi comme elle, orageux aquilons ! Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente N'éprouve

gentilshommes, mousquetaires du roi, Athos (comte de la Fère), Porthos (du Vallon) et Aramis (Chevalier d'Herblay). Une vieille rivalité oppose les mousquetaires du roi aux gardes du Cardinal de Richelieu. Le quatuor se constitue d'ailleurs, à la suite d'un combat victorieux contre les gardes du Cardinal. Athos, le comte de la Fère, a été ruiné par un tragique mariage avec une aventurière; Porthos, un géant, dont le véritable nom est du Vallon, est un compagnon plutôt débonnaire ; Aramis, chevalier d'Herblay