Le Vallon

viennent adoucir l’air vers le milieu du jour » -la terre est aussi source de vie, on remarque une personnification du paysage (« dans les vallons et dans les campagnes unies ») ainsi qu’une métaphore filée de la fertilité : « ainsi toute l’année n’est qu’un heureux hymen du printemps et de l’automne, qui semblent se donner la main. La terre, dans les vallons et dans les campagnes unies, y porte chaque année une double moisson ». -l’univers y est hors du temps, mythique et placé sous le signe d’un

Ru ne lo up e Hés us R. S t-L uc Rue Ch. Colomb M oll Bd Ga st o 60 d an R. Ve rdi M ll c ria au R ain on . nc m Ro Bd l Bd A Bd Cla u de C S te Stade Vélodrome Rue du Vallon Montebello R. u ta ba a R Bd Parc M Chanot é t-L R. S Rue d ol op m. he -M ar de is Cass e t e hel gu eri t Hôpital Ste-Marguerite 35 Av. la Panouse courriel : itep-ime@serena.asso

lèvres que la mort va fermer pour jamais. Ainsi, prêt à quitter l’horizon de la vie, Pleurant de mes longs jours l’espoir évanoui, Je me retourne encore, et d’un regard d’envie Je contemple ses biens dont je n’ai pas joui. Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ! L’air est si parfumé ! la lumière est si pure ! Aux regards d’un mourant le soleil est si beau ! Je voudrais maintenant vider jusqu’à la lie Ce calice mêlé de nectar

Manuel (1871) Issu du recueil « Pendant la guerre » J'ai vu, dans un rêve attristé,  Deux chaumières presque pareilles,  Et deux voix dans l'obscurité,  Plaintives, qui frappaient mes oreilles.  Chaque maison était cachée  Dans un de ces vallons prospère  D'où la guerre avait arraché  Bien des enfants et bien des pères ...   La neige posait lentement  Ses flocons sur les branches mortes ;  La bise au long gémissement  Pleurait par les fentes des portes Les deux foyers se ressemblaient

Il est à préciser qu’Auxerre dispose d’un aéroport où il est possible d’atterrir par avion privé. Principalement composé de prairies etde plateaux, le département de l’Yonne abrite également une part du Parc Régional du Morvan et de son relief vallonné. Terre propice au tourisme vert et aux activités sportives et de plein-air,l’Yonne est également sinuée de cours d’eau qui invitent à la navigation de plaisance. Célèbre pour ses vignobles, notamment en pays chablisien, l’Yonne et la Bourgogne en

De ce recueil sont issus les sept livres d'« Isis » et des poèmes d'« Anankê » en 1995 et de « la Fatalité » en 2000. ○ Etienne Faure • Né en 1960 en Normandie, Etienne Faure est un poète qui vit et travaille à Paris. Il est édité dans « Champ Vallon » et publie quelques revues, certaines influentes comme : la NRF, Conférence, Théodore Balmoral, Rehauts, Europe, Le Mâche-Laurier, Pleine Marge. En 2007, il publie le recueil « Légèrement frôlée », en 2009 « Vues prenables », en 2011 « Horizon du

Naturel Régional du Vercors et la Vallée du Buëch font partie de son relief. Le site classé du vallon de la Jarjatte recèle les 10 plus hauts sommets de la Drôme. Ils sont constitués de roche calcaire datant de la préhistoire. L’altitude varie de 980 m au village de Glacières à 2453 m au sommet du Rocher rond, le point culminant du département. Hydrographie La rivière Buëch sculpte le paysage du vallon de la Jarjatte. Le réseau hydrographique est formé des rivières à tresses de plus en plus rares

bois loin des sentiers battus Semble avoir fait des violettes Jeanne avec toutes tes vertus L'aurore ressemble à ton âge Jeanne il existe sous les cieux On ne sait quel doux voisinage Avec des bons cœurs et des beaux lieux Tout ce vallon est une fête Qui t'offre son humble bonheur C'est un nimbe autour de ta tête C'est un Eden en ton honneur. Tout ce qui t'approche désirent Se faire regarder par toi Sachant que ta chanson, ton rire Et ton front, sont de bonne foie

plaît, charmante Comme un sein nu. […] Je m’appelle solitude, Je m’appelle inquiétude, Et mon roulis Couvre à jamais des navires, Des voix, des chansons, des rires, Ensevelis. Je suis funeste et salubre. Je suis le fileur lugubre Des noirs vallons Que l’orage sans fin mouille, Et qui file à sa quenouille Les aquilons. Je suis dans l’écume en poudre, Le combattant de la foudre, L’hydre Titan. Je suis sans forme et sans nombre. Venez, les vents, l’horreur, l’ombre. Homme, va-t’en. […]

spécifiques tout en tenant compte également des particularités topographiques du site bruxellois : d’une part, la dénivellation importante de près de 40 m de hauteur entre le niveau de la Senne et celui de la colline du Coudenberg et, d’autre part, les vallons très profonds qui entaillent le versant oriental de la vallée de la Senne (Coperbeek, Ruysbroek, Rollebeek). En l’absence de sources historiques ou archéologiques probantes et détaillées, la datation de ce monument est difficile à fixer avec précision