Le Vieillard Et La Mort

conversations ; pour achever d'étourdir cette foule enivrée par tout ce que le monde peut offrir de séductions, une vapeur de parfums et l'ivresse générale agissaient sur les imaginations affolées. Ainsi à ma droite la sombre et silencieuse image de la mort ; à ma gauche, les décentes bacchanales de la vie : ici, la nature froide, morne, en deuil ; là, les hommes en joie. Moi, sur la frontière de ces deux tableaux si disparates, qui, mille fois répétés de diverses manières, rendent Paris la ville la plus

éblouissait comme un soleil ardent. (17) A sa vue je tombai à ses pieds en pamoisson; mais il posa sur moi sa droite et dit : «Ne crains point; je suis le Premier et le Dernier, et le Vivant; (18) car j'ai été mort et me voici vivant pour les siècles des siècles, et je détiens les clefs de la mort et du séjour des morts. (19) Ecris donc ta vision, tant sur la situation actuelle que sur l'avenir. (20) Quant au symbolisme des sept étoiles que tu as vues sur ma main droite et des sept chandeliers d'or :

serviteur de Laïus -La catastrophe : mort de Jocaste, Œdipe se crève les yeux Structure de l'œuvre 4 parties : -Act I : Apparition du fantôme de Laius aux gardes de Thèbes -Acte II : Œdipe et le Sphinx, Le Sphinx amoureux d'Œdipe veut sauver ce dernier, mais la fatalité doit s'appliquer -Acte III : Nuit de noces qui voit la concrétisation de l'inceste retardée par les rêves des 2 époux Acte IV : 17 ans après, la peste, la révélation du messager de Corinthe, mort de Jocaste, Oedipe se crève les

Diderot, est conçue comme un dialogue opposant deux façons de penser, de vivre. Elle soulève également le problème du colonialisme et célèbre la vie sauvage par rapport à l'homme civilisé, ici dénigré. Dans cet extrait, Denis Diderot met en scène un vieillard qui se présente comme étant indifférent au départ des blancs. Au moment de ce départ, il prononce un discours violent divisé en deux parties : dans la première, il s'adresse tout d'abord aux Tahitiens puis dans la deuxième, il s'adresse directement

Si là-bas, dans les flots, son homme, le marin, A comme elle entendu les coups du grave airain, Et si, malgré la lame affreuse qui grommelle, Il s’est bien souvenu de se signer comme elle. Ayant sonné la cloche et dit les oraisons, Les deux vieillards allaient regagner leurs maisons Et se disaient adieu sur le seuil de l’église, Quand ils virent, gisant sur une pierre grise, Quelque chose de blanc qu’on avait laissé là ; Et, s’étant approchés tous deux, il leur sembla Que cela remuait vaguement

la santé de l’âme. Or celui qui dit que l’heure de philosopher n’est pas encore arrivée ou est passée pour lui, ressemble à un homme qui dirait que l’heure d’être heureux n’est pas encore venue pour lui ou qu’elle n’est plus. Le jeune homme et le vieillard doivent donc philosopher l’un et l’autre, celui-ci pour rajeunir au contact du bien, en se remémorant les jours agréables du passé ; celui-là afin d’être, quoique jeune, tranquille comme un ancien en face de l’avenir. Par conséquent il faut méditer

concerne les rimes. La Fontaine ne s'en tient pas aux systèmes traditionnels des rimes plates croisées et embrassées; il lui arrive même de redoubler les rimes, faisant rimer ensemble trois vers ou davantage par exemple dans les fables: Le Curé et le Mort ou Le Rat et l'Éléphant. Mais ses vers riment toujours, en plus il respecte, pas tout le temps les règles d’alternances. Pour celui qui ne sait pas ce que c’est les règles d’alternances c’est par exemple que dans une rime, il faut toujours avoir une

Doña Sol ? Longtemps, Par pitié pour votre âge et pour vos soixante ans, J’ai fait la fille douce, innocente, et timide, Mais voyez-vous cet oeil de pleurs de rage humide ? Elle tire un poignard de son sein . Voyez-vous ce poignard ? - Ah ! vieillard insensé, Craignez-vous pas le fer quand l’oeil a menacé Prenez garde, don Ruy ! je suis de la famille, Mon oncle ! - Ecoutez-moi. Fussé-je votre fille, Malheur si vous portez la main sur mon époux ! Elle jette le poignard, et tombe à genoux

| |[pic][pic][pic][pic][pic][pic][pic][pic][pic][pic] | |«EN AFRIQUE UN VIEILLARD QUI MEURT EST UNE BIBLIOTHÈQUE QUI BRÛLE» | |Ahmadou   HAMPATHE   BA

vieillesse ? Vous pouvez ensuite approfondir vos connaissances si vous le souhaitez avec les articles déposées sur moodle dans la section 9Les Grecs à travers l’exemple de Tithonos définissent la vieillesse comme un contraste avec la Mort et seuls les Dieux sont à l’abri de la mort et de la vieillesse à l’exception de quelques mortels qui pourront y échapper.Cependant même si le processus de vieillissement qui ne s’arrête pas est caractérisé par une étape de souffrance et d’épreuves, la vieillesse est aussi