Le Vieillard Et La Mort

avec un vrai sens du pathétique les atrocités que subissent des innocents tels que les vieillards, les femmes, les enfants. Ils subissent la mort par le feu (le village voisin est en cendres; «　des bulgares avaient brulé　» l.16 «　d’autres a demi brulées criaient qu’on achevât de leur donner la mort　» l.21); par ailleurs la figure de style de l’accumulation, «　des tas de morts et de mourants　» (l.15), «　des vieillards criblés de coups　» (l.17), «　femmes égorgées　» (l.18), «　mamelles sanglantes　» (l.19)

(l.7 : naturelles leur ordonnent) + Ils sont tous issus de la même famille (l.8 : frères, enfants …) + Hiérarchie Naturelle les plus vieux ont le plus de pouvoir car ils sont plus sages. + 3 classes dans la même phrase (l8-9 : frères, enfants, vieillard) + Discourt indirecte libre ; aspect communautaire (l.8 : Ils s’entr’appellent) + Les sauvages ne sortent pas du cadre de la nature pas besoin de superflu + Les montagnes sont des limites si ils les dépassent ils seront exposés au danger 2)

la santé de l'âme. Or celui qui dit que l'heure de philosopher n'est pas encore arrivée ou est passée pour lui, ressemble à un homme qui dirait que l'heure d'être heureux n'est pas encore venue pour lui ou qu'elle n'est plus. Le jeune homme et le vieillard doivent donc philosopher l'un et l'autre, celui-ci pour rajeunir au contact du bien, en se remémorant les jours agréables du passé; celui-là afin d'être, quoique jeune, tranquille comme un ancien en face de l'avenir. Par conséquent il faut méditer

de l’âme. Or celui qui dit que l’heure de philosopher n’est pas encore arrivée ou est passée pour lui, ressemble à un homme qui dirait que l’heure d’être heureux n’est pas encore venue pour lui ou qu’elle n’est plus Le jeune homme et le vieillard doivent donc philosopher l’un et l’autre, celui-ci pour rajeunir au contact du bien, en se remémorant les jours agréables du passé ; celui-là afin d’être, quoique jeune, tranquille comme un ancien en face de l’avenir. Par conséquent il faut méditer

déportation « Fratergekeime » p49 "[...] chacun regardait vers l'est, tendait l'oreille pour écouter les bruits de bottes que pouvaient bien faire les « Fratergekeime » qui restaient invisibles- c'est ainsi qu'on appelle ceux qui sont venus répandre ici la mort et la cendre, des hommes qui m'ont fait devenir animal, des hommes qui nous ressemblent [...]" Philipe Claudel raconte aussi, par l’intermédiaire de brodeck, la sortie de wagons p73 "Ils nous sortaient des convois à coups de trique, dans les hurlements

et celui fait par Abraham. Le Christianisme idéalise le martyre et n'oublions pas que le sacrifice matériel reste une valeur bien Chrétienne. Selon le nouveau testament J-C se serait sacrifié pour sauvé le genre humain en prédisant sa mort. Celui-ci va donc changer la perception du dit ''bouc émissaire'' comme coupable à celle d'innocent accuser à tort, en se définissant lui-même de boucs émissaire, ce qui est très important ! ("Et Caïphe était celui qui avait donné ce conseil

relevant du théâtre. Le discours direct occupe la majeure partie de la scène et se caractérise avec un échange de répliques : le jeu de questions réponses entre les deux personnages sous la forme de paroles rapportées crédibilisent. Les répliques du vieillard deviennent peu à peu des tirades, qui se font de plus en plus longues. Beaucoup de verbes de paroles sont présents et concourent à rendre la scène spontanée : « demande » (l.3), « ajouta-t-il » (l.30), « répliqua » (l.9) … Léry a recours à la méthode

malfaisants » : âge intermédiaire qui symbolise le statut même du poète. « tord » renvoie à la souffrance du poète (cf. « L’Albatros ») - « l’œil sanglant » : l’œil symbolise la conscience. Avec la mention de « rouge » et de « sanglant », ça évoque la mort. « la lampe et du jour » : combat entre des notions contraires : le jour et la nuit. Le poète est la victime de ce combat. - « un visage en pleurs » - « l’homme est las d’écrire » car il écrit la nuit. Le poète ne connaît jamais le bonheur d’aimer

société - Le pouvoir corrupteur de l'argent. Année 1819, maison Vauquer, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires de caractères différents : - Vautrin, un sombre individu plein de roueries, prêt à tout pour de l'argent, - le père Goriot, un vieillard démuni, qui a fait fortune sous la Révolution dans la fabrication et le commerce de vermicelles, Victorine Taillefer, une fille ruinée après le décès de sa mère, car son père lui préfère son frère et l'a déshéritée, qui vit avec une parente, Mme

Les camps d’extermination nazis étaient des centres de mise à mort à grande échelle, dont « les opérations s'apparentaient par certains égards aux méthodes de production complexes d'une usine moderne »[1]. Ils firent près de 3 000 000 de victimes[1], juives dans leur énorme majorité, assassinées au moyen de chambres à gaz. Maillon essentiel de la Shoah, ils prirent le relais des fusillades de masse pratiquées par les Einsarzgruppen. « [Ils] n'avaient aucun précédent. Jamais, dans toute l'histoire