Le Voyage du pèlerin

et leur efficacité sur le destinataire. Séquence 1 : Utopie et contre-utopie Des apologues Texte 1 : Candide ou l’optimisme de Voltaire, 1759, Chapitre XVIII, L’Eldorado, « Ils entrèrent dans une maison fort simple … Il est certain qu’il faut voyager » - Texte 2 : Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, 1975 chapitre 12 « Il y aurait, là-bas, à l’autre bout du monde, une île (…) comment il a façonné au plus profond les relations sociales et les aspirations individuelles. » Texte 3 : 1984 de

toutes les villes et pays dont il est passé, les voisins des Beauchemin aiment bien venir chez eux pour l’entendre raconter toute sorte d’histoires, un soir: « [...]. Il était ivre, ivre de distances, ivre de départ. Une fois de plus, l’inlassable pèlerin voyait rutiler dans la coupe d’or le vin illusoire de la route, [...] , des lointains inconnus» (p. 191). Son départ approchait. Par une écriture poétique l’auteure utilise adroitement des métaphores et de la personnification sur des éléments de la

protection. Pape : Chef de l’Eglise. Les laïcs est le nom donné aux croyant, ils appartiennent aux mortels et forment la base de l’Eglise. II°) Le rôle de l’Eglise dans la société européenne 1) Sainte Foy de Conques Un pèlerinage est un voyage vers un lieu saint souvent pour remercier Dieu ou pour ce faire pardonner ses péchés. La ville de conques ce situes sur le chemin de St Jaques de Compostelle, en Espagne. Au XIe siècle cette ville construit une nouvelle église, Ste Foy de Conques

Saint Siège (la papauté) s'inquiète de la multiplication des attaques des Turcs musulmans contre les pèlerins qui se rendent à Jérusalem, sur le tombeau du Christ. La destruction de ce tombeau et, pire encore, la défaite écrasante des chrétiens byzantins face aux Turcs, amènent les chrétiens d'Occident à craindre pour leur propre sécurité. En 1095, le pape Urbain II saisit l'occasion d'un voyage à Clermont, en France, pour appeler les chevaliers et les souverains à secourir leurs coreligionnaires

la population « des gens du voyage ». En effet, « nous sommes différents d’eux et eux sont tous pareils ». Telle est la manière de concevoir le groupe social auquel nous n’appartenons pas par opposition à celui dont on fait partie. C’est ainsi que l’on considère les gens du voyage. Il m’est apparu difficile de résumer le livre en entier, celui-ci étudiant plusieurs notions, telles que la forme d’itinérance, le nomadisme, les schémas d’accueil des gens du voyage, la médiation, les camions-écoles

du Tiers Livre que Rabelais signera de son propre nom. La Sorbonne condamne l'ouvrage pour hérésie*. Rabelais est nommé médecin de la ville de Metz. - 1547 : F. Rabelais revient à Paris en tant que médecin du cardinal, qu'il accompagne dans ses voyages. - 1548 : Onze chapitres du Quart Livre sont publiés, il faudra attendre 1552 pour la parution de la version intégrale. - 1550 : Rabelais obtient du roi (Henri II le successeur de François Ier) un privilège d'édition pour toutes ses œuvres, avec

Canards », il met en scène le voyage insolite et dramatique d’une tortue : avide de voir du pays elle est enlevée dans les airs par deux canard. Usant de toutes les ressources poétiques, le fabuliste annonce notamment la curiosité et la vanité. Comment le récit prépare t-il progressivement par l’action plusieurs enseignement, nous étudierons d’abord un récit plaisant d’un voyage insolit, tragique et fatal puis nous verrons une triple dénonciation. I- Un récit plaisant d’un voyage insolite, tragique et

nocturnes évoquées dans son poème « North-West Passage »9 ainsi que dans son texte « Un chapitre sur les rêves »10. Et c'est encore elle qui le distrait pendant les longues journées où il reste cloué au lit, en lui faisant la lecture : la Bible, le Voyage du pèlerin de Bunyan, la biographie du pasteur McCheyne, les écrits covenantaires comme ceux de Wodrow ou Peden ; ou encore en lui racontant l'histoire de l'Écosse et particulièrement celle des persécutions subies par les Covenanters durant le Killing Time

éclairées par un soleil au zénith. Mais j’étais encore à ce moment là en apprentissage, dans le jardin de ma Loge, entouré des mes sœurs et de mes frères. Puis un jour mes aînés, me jugeant apte à sortir du périmètre de la Loge, m’ont confié un bâton de pèlerin, au bout duquel était ficelé un faible balluchon, bourré de mes certitudes, de mes acquis, de mes expériences, en un mot tout le contenu de mon SAVOIR. Et me voilà parti, confiant. Mais le « cheminant » que je suis, va vite se heurter à des écueils

de pèlerinage pour Jérusalem, ont institutionnalisé les premiers connaissements. Au travers de toutes les commanderies templières établies au Moyen Orient et dans le bassin méditerranéen de l’époque, il était possible aux pèlerins et aux marchands de voyager sans emmener avec eux trop d’argent et ainsi éviter de se faire détrousser par les pillards, autres bandits et pirates ». (²) En se présentant, et sous réserve d’être le détenteur ou le mandataire des documents, ils se voyaient