Le Voyage Immobile

affectif. Le "vois-tu" et sa familiarité suggèrent une femme aimée. - Le jeu des pronoms "je, tu, m'" tresse un lien affectif, souligné par la certitude de l'amour ; la phrase se termine par un long cri développé par le rythme 3+3+3+3. II) Le voyage - Le voyage prend l'allure d'un pèlerinage, d'une méditation, d'une volonté introspective : "les yeux fixés sur mes pensées". Le poète tourne le dos aux sources mêmes de sa poésie. - On note un rejet des sensations visuelles et auditives qui généralement

défaite qui forment la chute. → Un paysage propice à la contemplation et à la méditation sur la nature humaine et pourtant il contient déjà une idée de mort implicite (noyer) 2) Un Hémisphère dans une chevelure Source du rêve= Femme -voyage immobile → passivité → rêve : les souvenirs remontent par bribes et « Tes cheveux contiennent tout un rêve », « secouer des souvenirs dans l'air » ; passivité : chp lex du repos, moment propice au rêve : chambre, nuit de ta chevelure. -nombreux sens développés

l'ankylose, je déclenche un mouvement réflexe d'étirement qui fait bouger bras et jambes de quelques millimètres. Cela suffit souvent à soulage run memebre endolori. Trêve de dispersion. Il faut surtout que je compose le début des carnets de voyage immobile pour être prêt quand l'envoyé de mon éditeur viendra le prendre en dictée, lettre par lettre. Dans ma tête je malaxe dix fois chaque phrase, retranche des mots, ajoute un adjectif et apprends mon texte par coeur, un paragraphe par l'autre. 7

maison est détruite, il semble qu’il soit le seul survivant d’un village détruit par les flamm es (p. 28 - 29). À partir de ce moment, Fédorine tient un rôle maternel auprès de Brodeck : elle s’en occupe aussi bien enfant, par exemple lors du voyage qui les mène au village et durant lequel « Fédorine chaque jour [ le] nourissait de pain, de pommes et de lard (...) et aussi de mots » , qu’adulte quand il revient du camp puisque’ « elle a nourri [sa] bouche cassée à la cuillère, a pansé [ses]

(le temps, l'amour, la solitude, un accident, la famine...). Inventez un texte de 10,15 lignes qui utilise tout lesprocédés du registre pathétique. Le 02/08/1996, Chère Lisa, Je t'écris cette lettre, aujourd'hui pour te faire part de mon voyage interminable passé dans une métropole du continent noiroù le destin m'installa malgré moi comme spectateur aux premières loges d'une si dramatique représentation de la vie. Arrivée depuis peu dans ce désert, je fus frappée d'étonnement lorsque jevoulue

autre chose qu'au jugement des personnages : La simple découverte à travers la vie des personnages, de modes de vie, de cultures, de valeurs, éloignés de soi donne du plaisir au lecteur : c'est le plaisir de la découverte du monde. Mais ce « voyage immobile » qu'est la lecture réalise surtout un fantasme universel : il comble des désirs impossibles à assouvir dans le réel, désirs de liberté, mais de violence aussi, et cela sans aucun risque puisque c'est virtuel. La lecture est une catharsis : le

se distingue surtout de "ceux qui ont encore la force de vouloir, le désir de voyager ou de s'enrichir"). 2. Un artiste en proie au spleen - Vision pessimiste (cf. négations) : même si elle évoque une certaine alchimie ("merveilleusement", "mystérieux") qui rend la création possible (l'existence de ce poème l'atteste !), il en ressort que le poète ne fait pas partie du voyage, que lui n'a plus le désir de voyager ou de s'enrichir. - Le port est une métaphore de cette ouverture vers un ailleurs

Mme. Loiseau, un homme seul, Cornudet, deux religieuses et une prostituée, Elisabeth Rousset surnommée Boule de Suif. Le voyage est difficile et long pour aller jusqu’à Dieppe, à cause de la neige et du froid. Du coup ils n’arrivent pas à l’heure prévue pour le déjeuner à Tôtes. Les voyageurs ont très faim mais heureusement Boule de Suif a prévu des provisions pour le voyage, qu’elle partage volontiers avec ces compagnons. À ce moment ils oublient tous sa classe sociale, et le fait qu’elle soit

vie, jeunes fille portant au cour leur premier deuil. Guerriers nombreux, blessé par les lances de bronze.», «victimes d’Arès», «ombres consumées», «faibles formes», «âmes», «ombres», «morts privé de sens», «les ombres des défunts», «tristes et immobiles», «quelques héros morts autrefois». - Ulysse voit les morts qui «Criaient tels des oiseaux» x2, «avec d’étrange cris» x2. III. Les personnages morts rencontrées par Ulysse. - Elpènor : compagnon d’Ulysse, ils ont laissé sont corps dans le palais

voler, mais bien être projetées dans les airs par son incroyable force, qui laisse les Beauchemin sans voix. Enfin, l’acharnement au travail permet également d’être découvert par des aspects physiques. L’extrait suivant : « Quand venant se redressa, immobile et bien découpé à la clarté du grand jour […]. À la fois sec et robuste de charpente, droit et portant haut de la tête, pareil à un chène […] » (page 38) dévoile la comparaison du Survenant à « un chène », qui démontre parfaitement le corps musclé