Le Voyage Immobile

du 20ième siècle. né à Manosque dans le sud de la France à la fin du 19ième siècle ( cette origine a marqué un grand nombre de ses ouvrages = monde paysan provencal. Giono s'est surnommé « le voyageur immobile ». Son œuvre évoque souvent de longs voyages alors que lui-même n'a presque pas voyagé. a participé à la première guerre mondiale : choqué par l’horreur de la guerre, il deviendra un pacifiste convaincu. mort en 1970. Son oeuvre L'œuvre dense et très variée. Certains romans devenus des

CORPUS : Comment les auteurs construisent-ils leurs personnages ? Dans ce corpus seront traités et analysés quatre extraits de roman : « La princesse de Clèves » écrit par Mme de LaFayette ; « Michel Strogoff » de Jules Verne, parut en 1876 ; « Voyage au bout de la nuit » tout premier roman de Louis-Ferdinant Céline, écrit en 1932 ; et enfin «  le père Goriot ». Il s’agira ici d’étudier et de comparer chacun de ces textes afin de répondre à la problématique principale (qui peut s’écrire ainsi) :

manipulent la parole d'autrui. III. Un monde absurde A. Un meurtre qui n'a pas de sens. B. Des morts qui n'ont pas d'importance pour Meursault. C. Un personnage qui ne comprends pas ce qui lui arrive. Un balcon en forêt, Julien Gracq I. Un homme immobile. A. Un personnage isolé du monde. B. Un récit sans action. II. Un aveuglement volontaire. A. Le plaisir de l'attente B. Un personnage égoïste III. L'insignifiance de la réalité. A. Une réalité qui a peu de sens pour le personnage. B. La résignation

Mozambique 5 10 15 20 25 30 « Le Colonel Barbaque » figure dans le recueil de quatre récits s’appelant Dans la nuit Mozambique. Des récits de voyages? Certainement pas au sens où on l'entend: ici, pas de descriptions exotiques, mais plutôt un voyage au fond de l'âme damnée. Laurent Gaudé a préféré, comme il le fait dans beaucoup de ses romans, décrire la face sombre de l'homme. Ci-dessous, vous trouvez le début du récit « Le Colonel Barbaque

BIGRE Editeur : EDITIONS STOCK Collection : LIVRE DE POCHE Genre : CONTE 2) Expliquez le titre du livre à travers un court résumé de l’histoire. Jeanne, a 10 ans. Elle voyage beaucoup avec son frère Thomas, car leurs parents divorcés vivent de chaque côté de l’Atlantique. Au cours de l’un de ces voyages, le bateau sur lequel ils sont est pris dans une tempête et ils se retrouvent échoués sur une ile inconnue. Mais la tempête leur a aussi enlevé leurs voix : Jeanne et Thomas se retrouvent

verticalité, représentant à la fois l'élévation et l'introspection que nous devons tous chercher à accomplir, lors de notre chemin maçonnique. Le sens sinistrocentrique (sinistrorsum) quant à lui, se rapporte à la position de l'étoile polaire, qui semble immobile dans le ciel et autour de laquelle semblent tourner les autres étoiles en la gardant sur leur gauche. Ce sens est donc défini comme le sens "polaire". Cette giration se rencontre notamment dans la tradition islamique ou par ailleurs on écrit également

même ». Il est à demi dissimulé derrière une tombe, les enfants, le mari, la famille ne peuvent pas, ne doivent pas le voir, leur relation n’était pas connue. Légèrement en contrebas, entre les ifs verticaux et les pierres horizontales, une foule immobile, groupée autour du trou béant. Il se souvient de cette année folle dans une ville de province. C’était il y a huit ans. Une ville de province comme il y en a tant, un port militaire remplis de bateaux gris, de quais sans fins, un immeuble

Homme - entre 1927 et 1928 Sculpture assez petite, dont le nom peut nous laisser perplexe si l’on cherche a associé un homme au marbre. Femme IV – 1960 Sculpture assez différente de la précédente car en effet on distingue le corps d’une femme immobile grâce a la poitrine ou aux hanches. Le corps semble calciné et est rachitique ce qui peut créer un effet de dégout. L’Homme qui marche I - 1961 Giacometti modèle un personnage fragile pour symboliser l’homme : une peau fine qui couvre les

l'amour, la solitude, un accident, la famine...). Inventez un texte de 10,15 lignes qui utilise tout les procédés du registre pathétique. Le 02/08/1996, Chère Lisa, Je t'écris cette lettre, aujourd'hui pour te faire part de mon voyage interminable passé dans une métropole du continent noir où le destin m'installa malgré moi comme spectateur aux premières loges d'une si dramatique représentation de la vie. Arrivée depuis peu dans ce désert, je fus frappée d'étonnement lorsque

testament. Puis, je me rappelle les bruits et la cacophonie instrumentale de mes voyages. Je me souviens de l’apaisement lorsque la musique devint agréable (Mozart, surement!). Je me suis alors laissée portée par mon oreille. Si la pratique de la musique m’a permis de développer l’écoute, pourquoi ne l’utiliserai-je pas en Loge ? C’est à ce moment là qu’à débuter mon voyage, un voyage intérieur, un voyage immobile en moi. Je sais désormais qu’on ne peut pas parler de silence sans appréhender notre