Le ça Le Moi Et Le Surmoi

définir. Ça Le ‘’Ça’’ est propre à l’inconscient. Le ‘’Ça’’ fait l’objet d’un refoulement. Une instance dynamique cherchant sans cesse à se satisfaire. Elle obéit au principe du plaisir. Le Ça va dire de manger tout de même à 6h00 Moi Freud le pense comme un être de surface. C’est la modification du ça au contact de la réalité extérieure. Il obéit au principe de la réalité. Élément déclencheur de la censure du surmoi. Est la décision finale Surmoi L’influence parentale et sociale. Le surmoi est une

ASPECTS DE LA PSYCHANALYSE A LA PSYCHOLOGIE 1. Rôle des conflits : ça, moi, surmoi La psychanalyse a révélé l’importance déterminant des conflits psychiques. Avec Freud, l’inconscient s’avère non un défaut de synthèse mentale mais le résultat d’un conflit. En effet, Freud représente le psychisme comme un bâtiment à 3 niveaux : le ça, le moi et le surmoi. Le ça désigne le « chaos » des diverses pulsion de l’organisme Le ça ne connait ni bien ni mal, c’est le principe de plaisir. Le moi désigne

Expliquez en quoi le Surmoi est l'instance psychique la plus éloignée du Ça Le Surmoi est le censeur du Moi, il est fait des interdits parentaux, sociaux, religieux et de la morale. Il est un idéal du Moi. Le Ça, à l'inverse est le réservoir des pulsions sans aucune censure. EX : Si on passe devant un étal où il y a de jolies pommes rouges qui nous font envie, on est tenté d'en prendre une en passant mais on ne le fait pas, on peut dire que c'est grâce (ou à cause) du Surmoi qui sait qu'on ne

                                                                                                                  ii.        La deuxième topique      Dans sa deuxième topique, FREUD va exposer trois instances qui composent le psychisme : le ça, le moi, le surmoi.      Le ça est en même temps le lieu de naissance des pulsions ou tendances (forces inconscientes d’origine biologique douées de charge énergétique et orientant l’individu vers un objet qui lui donnera satisfaction) et de conservation des désirs

refoulements. Dans une deuxième « topique », tout en gardant ces nuances du psychisme en trois instances, le ça, pôle pulsionnel inconscient, le moi, il cherche à satisfaire les pulsions du ça et le surmoi, on pourrait le définir comme l'intériorisation des interdits moraux, c'est la conscience morale. Le surmoi comprend les interdits parentaux et sociaux. Le moi se situe entre le ça et le surmoi. Tout comme avec Nietzsche, la découverte de l'inconscient remet en cause la parfait maîtrise de l'homme

le ça : considérée comme partie inconsciente du psychisme. C’est le lieu primitif des pulsions et le produit du refoulement. La deuxième partie est le surmoi : considérée également comme partie inconsciente du psychisme mais à l’inverse du ça, le surmoi représente les interdits, des règles à suivre, des normes à respecter, donc l’aspiration vers le perfectionnement. La dernière partie est le moi et correspond tout simplement à la conscience soumise aux pulsions du ça, la sévérité du surmoi et le

inconscient pour qualifier le ça mais aussi pour le moi et le surmoi. Le ça est totalement inconscient, il réagi par le seul principe de plaisir. Le ça ne connait ni la négation, ni le temps, ni la mort. Il ignore l’opposition du Bien et du Mal propre à la morale. Le moi a pour fonction de se défendre entre les pulsions du ça ou de les adapter aux conditions imposées par le monde extérieur. C’est le moi qui est chargé de satisfaire ou de résister aux pulsions. Enfin le surmoi est la conscience morale

intérieures un peu comme des couches. La première est la couche consciente, qu’il appelle aussi le Moi, la deuxième est le préconscient aussi baptisée le Surmoi et pour finir, il y a l’inconscient que Freud nomme le Ça. Cette dernière est la partie la plus étudiée par Freud, car elle est, selon lui, la clef vers la guérison de nos problèmes. Il décrit le Ça comme le nid de nos deux pulsions, soit celles d’Éros (la pulsion sexuelle) et celle de Tanatos (la pulsion destructrice). Pour Freud, toutes nos actions

le psychisme est constitué par : • Le ça : instance des pulsions qui sont deux ordres, éros (amour séxualisé) et thanatos (mort) • Le surmoi : instance des interdits moraux et religieux. C’est une instance variable dans le temps, dans le lieu et même dans l’individualisation le plus stricte. • Le moi Nous ne savons pas ce qu’est le véritable moi. En effet, compte tenu de la présence non réductible du ça, bien qu’occulté par le surmoi, les manifestations de résurgence au niveau

distingue le Ça, pôle pulsionnel inconscient de la personnalité, le Moi et le Surmoi. Le Moi doit assurer une adaptation à la réalité, là où le Ça ne se préoccupe pas des contraintes extérieures. Mais, le Moi est aussi le responsable de nombreuses « défenses » pathologiques. Le Surmoi est l'intériorisation de l'interdit parental - Freud voyait l'émergence du Surmoi comme tardive, mais des psychanalystes comme Melanie Klein ont pensé le Surmoi comme existant très précocement chez l'enfant. Le Surmoi se constitue