Le ça Le Moi Et Le Surmoi

freudienne expliquerait le phénomène de la chirurgie plastique chez les immigrants occidentaux, par le fait que le "ça" exige la transformation chirurgicale par des pulsions, le "surmoi" tente de l'en empêcher, et le "moi", quant à lui, met des stratégies au point pour satisfaire le "ça", tout en préservant le mieux possible l'être humain, ce qui satisfait par le fait même, le "surmoi". Cette tentation est probablement souvent refoulée. En se fiant au système de pensées freudien, si cette pulsion de

la satisfaction, sont contenues dans le ça. C'est la conscience, premier secteur de l'appareil psychique, qui exerce leur refoulement (ou sens dynamique de l'inconscient) déclenché par la censure (ou sens physique de l'inconscient) émanant du surmoi. Il résulte de cette interprétation de notre appareil psychique que le moi est sans cesse partagé entre la marmite bouillonnante du ça obéissant au principe du plaisir et à l'ensemble des règles morales du surmoi obéissant au principe du déplaisir. Le

ouvrage Au-delà du principe de plaisir. Il introduisit dans sa conception la notion de «pulsion de vie», qu'il appela Eros et la «pulsion de mort», qu'il nomma Thanatos. Dès lors, le ça, le moi et le surmoi constituaient les trois instances de la personne. Cette conception nouvelle se révéla opératoire dans les ouvrages tels que le Moi et le Ça (1923) et Inhibition, Symptôme et Angoisse (1926). Freud multiplia également les tentatives pour expliquer et populariser la psychanalyse, notamment dans Ma vie et la psychanalyse (1925)

est divisé en trois instances à savoir le ça, le moi et le surmoi. Le ça, est le lieu où se trouvent tous nos désirs, inconsciemment refoulés car ils ne sont pas conformes aux exigences morales et sociales intériorisées par le sujet(le surmoi). Le terme « ça », montre le caractère impersonnel que donne Freud à cette instance. Le moi, est le lieu où de manière inconsciente se déroule le refoulement, le médiateur entre le ça et le surmoi. Enfin, le surmoi reflète l’influence parentale et sociale en

l’appareil psychique : Inconscient 3 instances : * Le ca : expression des instincts de l’homme, instincts involontaire, inconscient. Se compose des pulsions (mort, vie, sexuelle), ne connais pas la négation * Le surmoi : Issue du rapport de l’enfant aux parents. (surtout complexe œdipe). Autorité extérieure des parents et des éducateurs est intériorisée, il est acquis et diffère d’une personne a une autre. Forme la censure du Ca, s’il les juges inconvenantes, immorales. Il est associes a

de l’identité sexuelle (identification au parent du même sexe) - est conscient du rôle qu’il occupe dans la famille (investissement libinal narcisssique) Résolution négative : -égocentrisme excessif (se considérer comme le centre du monde) -surmoi excessif (juge trop les comportements & pensées avec valeurs rigides) Problèmes de fixations : -problèmes de personnalité Problèmes de résidus : -exhibitionnisme / voyeurisme -égocentrisme -attitudes inadéquates face aux hommes/femmes

consciente d’elle-même A- Grandeur et misère de l’homme On est conscient au sens éveillé, attentif. Conscience immédiate, spontané, on a pas besoins de réfléchir, différent de conscience réfléchie, qui implique une réflexion, prendre conscience. Ça désigne la capacité qu’a la sujet a s’examiner (ex: le miroir, on peut se dédoubler). L’homme est conscient d’être conscient. L’homme est soumis aux effets naturels (ex: il tombe dans l’eau, il se noie). L’homme se sait mortelle même s’il ignore

definissent et non pas tout. Selon Freud, notre esprit est divise en trois parties, le ca, le surmoi et le moi. Le ca est la partie inconsciente, la source de nos desir qui sont pour la plupart refoule par le surmoi. Et enfin le moi represente le domaine de la conscience. Le moi ne peut prendre des decisions sans etre influence par le ca, par ses desirs. Mais il doit aussi prendre compte des interdits du surmoi. Cette modelisation de notre esprit explique certain des “actes manques” qui ne pouvait

l’appareil psychique : Freud a donné deux représentations (topiques) successives du système psychique : « conscient – préconscient – inconscient » puis  « ça – moi – surmoi ». Dans la première l’inconscient est une entité, dans la seconde c’est un adjectif qui qualifie intégralement le ça mais pour une part aussi le moi et le surmoi. L’inconscient (le ça) est le lieu des représentations refoulées, des fantasmes, des pulsions. Il est rebelle à la logique, à l’ordre, à la réalité et vise une satisfaction

«  Freud dirait le « ça », lieu des pulsions qui ne cherchent qu’à se faire plaisir). L’éducation à la politesse, aux bonnes manières est une contrainte et met du temps. Freud parlera d’intériorisation des interdits parentaux (« surmoi  ») vers 7 ans. Freud parlera d’un conflit entre le « ça » et le « surmoi », la morale contre les pulsions qui ne cherchent qu’à se faire