Lech Wałęsa

de Nasser contrôle le transport et l’approvisionnement de l’Europe en pétrole. Synthèse. Les pays d’Europe de l’Est abandonnent le régime communiste en 1989-1990. Quelques personnalités ont joué un grand rôle dans ce changement : le Polonais Lech Walesa ; l’écrivain tchécoslovaque Vaclav Havel ; le pape Jean-Paul II et surtout Mikhaïl Gorbatchev. Les anciens pays communistes ont rétabli l’entreprise privée et se sont démocratisés. Les nationalités ont repris leurs droits : - l’Allemagne

en savoir plus sur la décennie 1970 – 1979 Chute du mur de Berlin et réunification de l’Allemagne © CE (Video: 481 Kb - 17 s) Une Europe en pleine mutation – La chute du mur de Berlin Les noms de Solidarność, le syndicat polonais, et de Lech Walesa, son dirigeant, deviennent familiers en Europe et dans le monde à la suite des grèves du chantier naval de Gdansk durant l'été 80. En 1981, la Grèce devient le dixième membre de l'UE, puis vient le tour de l'Espagne et du Portugal cinq ans plus

Karol Wojtyla, Jean Paul II. Désormais, le monde connait le sort de la Pologne, à travers le pape qui multiplie les voyages en Pologne pour soutenir la cause de la population. Un syndicat sans attache politique, « Solidarnosk » et de son meneur Lech Walesa (cf. p. 230-231), est accepté par le régime et rallie toute la population (cf doc 7 p. 229). En 1989, la Pologne organise des élections pluralistes et devient le premier Etat à être dirigé par un non- communiste, W. Jaruleski. L’Allemagne

les ouvriers se révoltent dans les usines et dans les mines. Ce mouvement ouvrier commence à se faire dangereusement entendre. Très vite, apparait un leader charismatique ouvrier qui est très écouté, c’est une forte personnalité, il s’appelle Lech WALESA. Cet homme va mener les manifestations ouvrières et très vite il va créer le 1er syndicat libre de la Pologne mais aussi de toute l’Europe de l’Est. Ce syndicat s’appelle « Solidarité ». Ce leader reçoit l’appui d’un groupe de pression très important

des esprits et la mise en place des régimes totalitaires. Dans la clandestinité, elle aura un rôle pourtant non négligeable et sera une des forces souterraines de l’émancipation des années 80 (cf. son soutien au syndicat libre « Solidarité » de Lech Walesa en Pologne). Ainsi, comme le déclarait Churchill en mars 1946 à Fulton, « un rideau de fer est descendu à travers le continent », et la plupart des pays d’Europe de l’Est sont totalement inféodés à l’URSS. L’exemple le plus achevé

LIBEREE DU POIDS DES RIVALITES EST-OUEST (DEBUT DES ANNEES 1980-1991) 1) Les premiers succès de la dissidence : l'exemple polonais Forte mobilisation dans ce pays communiste privé de liberté et soumis à d'importantes pénuries. Rôle essentiel de Lech Walesa et de son syndicat baptisé "solidarité". Il obtient le prix Nobel de la paix en 1983. Partout à l'Est, l'action des dissidents, permise par les accords d'Helsinki, trouve des échos au niveau international. Ce sont les premières fissures du système

l’élection du cardinal de Cracocie comme pape, sous le nom de Jean-Paul II, galvanise les oppositions au régime. En 1980, une vague de grèves sans précédents débouche sur la création d’un syndicat indépendant du parti, Solidarnosc, dont le leader est Lech Walesa. Ce syndicat va avoir un rôle important dans la déstabilisation des démocraties populaires à la fin des années 1980. Ainsi, entre les années 1953 et 1975, il y a une montée des contestations dans les démocraties populaires. Mais toutes les réformes

de l'URSS représente-t-il une rupture dans les relations internationales? A. L'impossible réforme du système soviétique Documents étudiés en classe: cartes p. 146-147; doc. 4 p. 145, « Gorbatchev s'adresse à Reagan » ; doc.1 p. 148, « Lech Walesa » ; doc. 3 p. 149, « la chute du mur » ; doc. 2 p. 148, « Gorbatchev annonce sa démission ». Questionnement: -Cartes p. 146-147: Montrer que l'Europe est coupée en deux à la fin des années 1980? L' Europe est-elle encore divisée en deux aujourd'hui

régulièrement en grève et résolument contestataire. “Solidarité” est dirigé par Lech Walesa et conteste de plus en plus le pouvoir, soutenu par le nouveau pape, Jean-Paul II. En 1989, l’organisation d’élections législatives libres marque le triomphe de Solidarnosc : pour la 1ère fois depuis 1947, un régime non-communiste voit le jour en Europe de l’Est. La même année, le «rôle dirigeant du Parti» est aboli et un an plus tard, Lech Walesa est élu président de la République. Le mouvement va alors s’étendre au

par l'intermédiaire de Solidarnosc, fondé par Lech Walesa et soutenu par les dissidents polonais (dont Geremek). Des oppositions se forment dès le début des années 1950. Walesa reçoit le prix Nobel de la paix. Même si ce syndicat est interdit, il lutte pendant des années sous le général Jaruzelski. En 1989, Moscou autorise le gouvernement polonais à négocier avec les opposants. Un an après, des élections libres sont organisées, gagnées par Lech Walesa. C'est le premier gouvernement non communiste