Lecteur de nouvelles

d'un roman, d'une nouvelle. Sa fonction habituelle est de donner au lecteur des informations nécessaires pour comprendre la suite du récit : le lieu, l'époque, le personnage principal, les personnages secondaires ; au-delà de son fonction informative, l'incipit doit susciter l'intérêt, la curiosité du lecteur, créer un effet de suspense, lui donner envie de continuer à lire le roman, la nouvelle (fonction de divertissement) ; l'incipit a donc pour fonction d'informer le lecteur, de l'intéresser,

personne ou d'une idée). Depuis l'antiquité, ce genre a beaucoup évolué : il est devenu une notion générale recouvrant beaucoup d'autres formes narratives comme : la fable, la parabole, l'allégorie, le conte, la nouvelle, le conte (merveilleux, fantastique, philosophique), la nouvelle, l'utopie... Ces formes possèdent toutes, à des degrés divers, les caractéristiques suivantes : UN DISCOURS NARRATIF En prose ou en vers, voire sous forme d'image - comme l'emblème, certains tableaux au sens allégorique

vivait son premier jour dans cette classe puisque le Proviseur le présenta ainsi au maître d'études :« voici un élève que je vous recommande » (l.5). Cela signifie donc que le Proviseur lui-même ne connaissait pas ce nouvel élève. Comme chaque nouvel élève arrivant dans sa nouvelle classe, il était timide car il était « Resté dans l'angle, derrière la porte » (l.8) comme pour se cacher des autres encore un peu. Ayant poser le cadre spatio-temporel et introduit un personnage clé du roman, on peut

ferait pas autorité. Après la pu-blication, le texte est remis au lecteur tel un « appareil » dont il peut se servir comme bon lui semble. En effet, chaque lecteur peut appréhender le texte sous différents angles de vue, un texte dispose de plusieurs sens qui dépendent du point de vue où l’on se place. Pour Valéry, l’auteur perdrait alors son pouvoir de s’imposer à autrui, de se faire obéir, pour laisser l’autorité aux lecteurs qui donneront le sens qu’ils veulent au texte. Ainsi, à travers notre

va provoquer le lecteur pour qu’il puisse se poser les bonnes questions. Dans un second temps nous allons aborder la véritable thèse de l’auteur, qu’il nous met sous forme d’antithèse. Enfin nous nous demanderons ce qu’est alors le libre arbitre. On peut supposer avec « Aussi longtemps »l.1 que pour l’homme il est évident qu’il sera Indépendant pendant encore très longtemps. Nietzsche dans la première phrase de son texte utilise le pronom personnel « nous » qui inclut le lecteur, lui-même et l’homme

 Que pensez-vous de cette fin de nouvelle ? Relève-t-elle du registre fantastique ou réaliste ? La nouvelle de Horatio QUIROGA intitulée « L'oreiller de plumes » extraite de Contes d'amour de folie et de mort nous raconte l'histoire d'un couple de jeune marié tout juste installé dans leur demeure. Après lecture de ce texte, la question que nous nous posons est, cette nouvelle relève-t-elle du registre fantastique ou réaliste ? Pour répondre à cela, nous analyserons le déroulement

qu’il y a une modernité indéniable dans Alcools. Pour, nous allons nous pencher sur la présence de la tradition. Et enfin, nous verrons que la modernité et la tradition s’associent surtout pour créer un nouvel univers poétique. Apollinaire renouvelle la poésie en traitant de choses nouvelles et en faisant usage de formes jusque là encore jamais vues. Baudelaire avait dit : “Donnez-moi de la boue et j’en ferais de l’or”. Apollinaire, dans Alcools, suit le même exemple et fait de ce qui

de généricité et de sa définition par rapport à la question plus générale de la stéréotypie. Sensible aux manifestations d’une rupture de l’horizon d’attente générique, Baroni démontre – en exemplifiant son propos par l’analyse d’un fragment d’une nouvelle de Marcel Aymé – qu’un détournement de la régularité attendue, bien que ressortissant à une relation du texte à un architexte, c’est-à-dire à une régularité instituée au sein de l’interdiscours, relève moins de la généricité que de la stéréotypie

compare avec la belle Hélène , héroïne de la guerre de Troie . Il résulte d’une telle définition du » grand auteur » une difficulté dans la conception du rapport entre l’auteur, l’œuvre et le lecteur : en effet, si l’on s’intéresse à un auteur mort, il n’est plus là, il n’existe plus, par définition : il ne reste donc de lui que sa voix qui continue à nous parler à travers ses œuvres. C’est la conception notamment mise en scène dans les deux quatrains

JOURNALISTE Intervention de Dominique Gerbaud Rédacteur en chef au journal " la Croix " Mercredi 12 janvier 2005 Courte présentation : Dominique Gerbaud a été journaliste à " la Croix " dans les années 70 puis à l’Express. Il a travaillé ensuite à la Nouvelle République puis à la Vie. Actuellement il est rédacteur en chef à " la Croix ", ancien président de la presse présidentielle et un des responsables de Reporters sans frontières. Parler du métier de journaliste, de ce qui le motive, le guide, voilà