Lecteur Vorace

Tous abordent la question sous l'angle de la plus stricte nécessité : la nourriture. Gnathon dans les Caractères de La Bruyère est vorace et ne laisse aux autres que les miettes, incarnant par là le plus complet égoïsme : « il se rend maître du plat, et fait son propre de chaque service ». Les hommes qu'évoquent Victor Hugo et Jacques Prévert souffrent au contraire de la faim : le premier est accusé du vol d'un pain, le second souffre en regardant la nourriture exposée et protégée de tout et de

a)L’objectif de ces écrivains réalistes étaient d’éveiller chez les lecteurs la conscience des réalistés sociales. Ils réalisaient ainsi un acte militant qui donnait un sens à leurs écris. C’était d’autant plus important que les “médias traditionnels” c’est à dire la presse écrite, étaient détenus par la bourgeoisie qui n’avait aucun interet à voir figurer dans ses colones la description des difficultés quotidiennes de survie de la “classe laborieuse”. Dans Germinal, les mineurs sont sous les ordres

encore cette comparaison du monstre avec le temps. De plus il utilise la personnification « Horloge, dieu sinistre », « dont le doigt nous menace et nous dit […] » Il considère l'horloge comme une personne puissante (dieu), et cette horloge menace le lecteur en le pointant du doigt. Nous retrouvons le champ lexical de l’horlogerie (= ensemble des instruments crées par l’Homme pour mesurer son temps) : cadran (‘’Horloge’’, ‘’cible’’), son (‘’Mon gosier de métal parle toutes les langues’’, ‘’ sonnera l'heure’’

d’elles » et « on leur avait dit » à la ligne 26.L’unique information que l’on possède sur l’identité de ces personnages concerne leur sexe : ce sont toutes des femmes comme le montrent les marques du féminin (marques du point de vue de l’orthographe) « voraces,pépiantes » et leur appartenance à une catégorie sociale plutôt aisée. Ainsi elles semblent toutes identiques, indissociables et même interchangeables car chacune ne possède pas d’identité propre, elles forment un ensemble, une seule personne comme

Voltaire en 1759, le second est Voyage au bout de la nuit par Louis-Fernand Céline en 1932, le troisième est La mort du roi Tsongor par Laurent Gaudé en 2002 et enfin un tableau de Picasso appelé Guernica. Dans Candide, Voltaire essaye de persuader le lecteur, pour cela il utilise la critique masquée sous l’ironie, comme nous le montre l’expression « boucherie héroïque » où l’on observe un oxymore. Il associe le combat à quelque chose de magnifique avec l'énumération des adjectifs “ beau ”, “ leste ”

L'ipocrisie des personne et sur tout de la famille , la seour est inexistante ainsi que la justice . L'effet du suspence est crée par la 1er phrase (L61) "Et voici comment il mourrut ". Cette phrase montre la tragedie de l'histoire est les lecteurs veulent en savoir plus car ils savent le dénoument de l'histoire , il ne peut échapper à la mort . Les retours a la ligne crée eux aussi du suspence (L67) ,les petits paragraphes nous font retourné à la ligne , cela prend donc plus de

La belle-mère de Gervaise est pourvue d’un « maman » préalable, hypocoristique, qui lui donne sa place parmi les intimes de la famille. Chacun d’entre eux se distingue par son inconvenance à table, certes, mais aussi par la manière goulue, pire vorace, de dévorer la bête offerte en centre de table : « c’est à qui mangeaient de gros morceaux de blanc », « passaient leur rage sur le rôti », « arrachait la viande avec ses deux dernières dents », « s’enfonçait un pilon entier dans la bouche » ou encore

romancier. Il est fortement influencé par le surréalisme, qui exprime fonctionnement de la pensée. Dans son œuvre, il exprime son rejet d’une littérature marqué par le mercantilisme, esprit d’être animé par l’appât du gain. Ce texte décrit la réaction du lecteur passionné. Nous nous demanderons comment Julien Gracq suggère-t-il la conception de la lecture. I) Lecture et sensation A) Première étapes de l’amour : l’amour -champs lexical de l’amour : « aime », « amour », « tête à tête », « émoi » -métaphore

premier lieu « L'Aveugle » est un récit pathétique et tragique qui dépeint l'agonie d'un infirme. On découvre en effet le martyre vécu par une personne atteinte de cécité par le biais d'une nouvelle cherchant à provoquer la pitié et la terreur des lecteurs. Tout d'abord on observe la vulnérabilité et l'impuissance de l'aveugle dû à son infirmité. Il se laisse totalement faire et ne réagit plus, on se rend assez rapidement compte que les autres considèrent que son handicap leur donne

restaient mortes, la cage montait du vide dans le même silence vorace. Extrait du chapitre 3 de la première partie de Germinal - Emile Zola | Annonce des axes de lecture Tout d'abord il va faire une description technique et réaliste puis une description subjective qui traduit les émotions de Lantier. Etude I. Une description réaliste vue par Zola, mais aussi polémique : Utilisation de termes techniques pour renseigner le lecteur, par exemple : « les berlines », « la cage », « moulineurs »