Lecteur Vorace

L ‘apologue est un discours narratif, souvent allégorique, en vers ou en prose. Il a une fonction démonstrative et une visée argumentative renfermant des enseignements dont le lecteur tire une morale ; elle est souvent explicite et parfois implicite. L’apologue a une dimension ludique qui pourrait nous laisser penser que ce n’est qu’un genre mineur réservé aux enfants ; est ce aussi simple ? Nous verrons cela à travers trois axes principaux ; tout d’abord, l’apologue, un genre qui s’adresse aux

elle dans sa perte. Mais on peut aussi croire que ce géant est un monstre. Zola utilise le champ lexical de la voracité : « engloutir », « dévorer », « boyau », « vorace ». Ce monstre engloutissait de la chair humaine. Lors de la destruction cette horrible bête souffre le martyre ou du moins c'est l'effet que Zola veut donner aux lecteurs. On dit qu'elle s'enfonça d'un bloc, mais elle avait lutté contre la mort : elle détendait son énorme bielle pour ce lever, mais elle expirait, elle étaient entièrement

Pour produire chez son lecteur des réactions passionnées semblables à celles que demandait La Défense et Illustration de la langue française, Du Bellay construit une situation de dialogue : des adresses explicites (sonnet 78), des interrogations posées à tel ou tel (sonnets 14 et 33), ou même la fiction d’une prise de parole par le destinataire (sonnets 18 et 75). La poésie permet la maitrise des passions du destinateur parce qu’elle en assure pleinement l’énonciation; elle peut ainsi « enchanter

puisque c’est un technicisme caractéristique du monde de la mine et sa répétition fait que le lecteur se sent dans cet univers. Cette idée est renforcée par le champ lexical des mineurs qui est présent tout le long du texte comme le montre les citations suivantes : « moulineurs » (ligne 6), « paliers » (ligne 7) ; « bois de taille » (ligne 8) et « accrochages » (ligne 15), tout ces noms font que le lecteur ce croit dans ce monde quand il lit ce texte. Ainsi la répétition de technicismes relatives à

Il considère cela comme quelque chose de normal. Il y a un quiproquo entre les deux amants : lui pense que c'est un jeu, elle un viol. 5) Le narrateur insiste sur les attouchements brutaux qu'il lui fait ainsi que ses baisers voraces dans l'intention de choquer le lecteur par l'attitude du jeune homme. 6) Les oxymores qui expriment la désillusion de Jeanne sont : « désillusions d'une ivresse rêvée, attente détruite, félicité crevée ». Les tapisseries symbolisent ironiquement cette désillusion car

Lecteur vorace dès son plus jeune âge, Alexandre Pouchkine étonne son entourage par son aisance à improviser comme à répéter par cœur des vers innombrables. Il s'alimente aux classiques français (Molière, Voltaire, Parny) et anglais (Byron, Shakespeare). Sa profonde connaissance de la culture française lui vaut d'ailleurs le surnom de Frantsouz ("Le Français") auprès de ses camarades de lycée. Dès 1814 son talent poétique lui vaut une première publication dans la revue Le Messager de l'Europe

Comme le souligne Alain Robbe-Grillet dans son œuvre Pour un nouveau roman, le personnage principal tient une place importante dans un roman, tant pour le lecteur que pour l’auteur même si le personnage n’est qu’un « être de papier ». Depuis les débuts du roman, notamment avec Gargantua de Rabelais, jusqu’à aujourd’hui, avec par exemple Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson, la notion de héros a beaucoup évolué. Actuellement on ne parle plus vraiment d’un héros, mais

|  | |Ne suis-je pas un faux accord | |Dans la divine symphonie, | |Grâce à la vorace Ironie | |Qui me secoue et qui me mord ? | |  | |Elle est dans ma voix, la criarde 

afin de nous faire prendre conscience de la beauté du monde A/ Le langage poétique La poésie à pour objectif de réveiller le poète qui est en nous grâce à sa forme poétique. Son langage est un chant et sa depuis l'antiquité. La poésie charme le lecteur c'est un véritable enchantement. Nous pouvons l'observer avec le mythe d'Orphée. Orphée représente à lui seul, le lyrisme. C'est chansons provoquaient une émotion immense. Au Moyen – Age les chevaliers chantés aussi leurs amours souvent inaccessibles

légitime d’affirmer que l’apologue se révèle efficace lorsqu’il s’agit pour un écrivain de défendre une cause ou de mettre en œuvre une dénonciation. En effet, l’apologue peut compter sur son indéniable diversité pour séduire plusieurs types de lecteurs et remplir maints objectifs. Genre protéiforme, pluriel, il offre aux écrivains diverses formes parmi lesquelles ils choisissent, sélectionnent celle qui leur paraît la plus propre et la plus propice à obéir à leur projet. Ainsi, après avoir recouru