Lecteur Vorace

pour empêcher un autre poisson de s’en emparer? Toujours est-il que vous aurez su faire naître le désir en lui, il s’approchera de votre mouche. C’est vrai qu’au début, il n’y aura que de petites touches! le poisson est prudent jusqu’au moment ou … vorace, il se précipitera sur le leurre en croyant avoir fait la bonne affaire! 4) C’est le moment pour vous de ferrer car c’est le nom que prend l’Action à la pêche à la ligne. Après les petites touches où le poisson à montré son désir pour le leurre, c’est

créatures dont une seule coûte souvent plus de la valeur de cent chapons » et « appellent cela […]se mortifier »_. On ne saurait s’empêcher de sourire à la lecture de ces propos, quand on comprend que Voltaire veut faire passer les hommes pour de voraces créatures affamées de viande, pour qui le seul fait de s’en priver devient une véritable torture ! D’autant plus que cette loi, qui veut leur faire manger des « habitants des eaux », est issue de la religion ou de l’_« infâme » _que le philosophe

saisie dans son déroulement, comme « au ralenti » ; à partir de la l.37 retour au passé simple qui précipite l'action vers la mort du héros. II) La construction d'un héros symbolique a) Un héros admirable Gavroche force l'admiration du lecteur par son courage, son insouciance face au danger et l'insolence légère de ses provocations : réplique de la ligne 6 (« Voilà qu'on me tue mes morts. »), insolence de l'attitude face aux soldats (l.9 « Il se dressa tout droit, debout, les cheveux au

aussi dans les actes anarchistes comme l’explosion de la mine par Souvarine .Germinal prend aussi une dimension fantastique dès le début du livre quand le Voreux nous est présenté à travers les yeux de Etienne . La métaphore de Voreux comme un monstre vorace mangeur de l’homme . On peut trouver cette métaphore filé tout au long du texte car cela nous montre l’exploitation des miniers et le fait que leur travail est en train de dévorer leurs âmes et détruire leur corps . L’enfer est évoque plusieurs fois

mots-clés reviennent plusieurs fois. C’est le cas des noms « table » et « plat » qui témoignent de la volonté de l’auteur d’insister sur la quantité des plats présentés. Gnathon, qui signifie « mâchoire » en grec se présente ainsi comme un individu vorace et goulu. On note également une accumulation d’actions rapides et désordonnées : « il roule les yeux en mangeant ; la table est pour lui un râtelier ; il écure ses dents, et il continue de manger ». Les phrases courtes donnent un rythme rapide qui

créatures dont une seule coûte souvent plus de la valeur de cent chapons » et « appellent cela […]se mortifier ». On ne saurait s’empêcher de sourire à la lecture de ces propos, quand on comprend que Voltaire veut faire passer les hommes pour de voraces créatures affamées de viande, pour qui le seul fait de s’en priver devient une véritable torture ! D’autant plus que cette loi, qui veut leur faire manger des « habitants des eaux », est issue de la religion ou de l’« infâme » que le philosophe veut

Jean de La Bruyère, « De l'homme », Les caractères, (1688-1696); un passage du livre Choses Vues (1846) de Victor Hugo et un poème de Jacques Prévert, « La Grasse Matinée » extrait des Paroles (1949). Suite à la lecture de ces trois textes, le lecteur relève un caractère dénonciateur qui s'appuie sur les inégalités sociales et les injustices au delà d'une référence à la nourriture également présente dans ce groupement. En effet, dans le texte de Jean de La Bruyère, il est question d'un homme nommé

pleurs salés nagera

 Comme un vaisseau qui prend le large,
 Et dans mon coeur qu'ils soûleront 
 Tes chers sanglots retentiront 
 Comme un tambour qui bat la charge !

 Ne suis-je pas un faux accord 
 Dans la divine symphonie, Grâce à la vorace Ironie 
 Qui me secoue et qui me mord ?

 Elle est dans ma voix, la criarde ! 
 C'est tout mon sang, ce poison noir ! 
 Je suis le sinistre miroir 
 Où la mégère se regarde.

 Je suis la plaie et le couteau !
 Je suis le soufflet et la

gradation   des   verbes   d'action   qui   commence   avec   une   variation   sur   le     verbe   manier   et   va   aller   jusqu'à   décrire   Gnathon   comme   un   animal   vorace   et   méme   comme   un   prédateur  qui  déchire  sa  victime  :  dans  ce  cas  la   nourriture.   La   seconde   partie   da   la   phrase   suggère    encore  une

ne cesse d’argumenter contre Raphaël. Cependant ce n’est pas simplement pour montrer son affection à ce personnage que More à décider de l’utiliser, c’est aussi pour rendre son récit plus réaliste. Effectivement c’est une manière de prouver au lecteur que cette conversation entre ces trois personnages a réellement existé, mais aussi pour rejeter la responsabilité des propos sur Raphaël. Ce portugais est extérieur à toute politique européenne comme il le dit lui-même p91 : « Je vis aujourd’hui à