Lectorat

accumulation d’informations sur le lectorat, ou par un traitement de plus en plus « raffiné » de ces informations. Tant que le support et ses lecteurs seront conçus comme deux réalités séparées, ces problèmes ne pourront pas être abordées d’une manière satisfaisante : il faut comprendre leur relation, et celle-ci n’est rient d’autre que la lecture, cette pratique sociale qui, jusqu’à maintenant, est restée invisible. » « La relation entre un support et son lectorat repose sur ce que nous appellerons

consommateurs évolue, cependant les magazines-papier persistent. Le sujet que je vais plus particulièrement étudier est la presse féminine. En quelques mots, la presse féminine caractérise les titres de presse écrite, spécifiquement destinés à un lectorat féminin (Elle, Marie-Claire, Biba…)J’ai donc cherché à comprendre les évolutions de ce marché et en suis venu à la problématique suivante :Comment la presse féminine tient-elle compte de l’évolution du comportement des lectrices?Le comportement des

puisse faire, c'est renvoyer les gens à mes livres et les inviter à juger par eux-mêmes.  Nicolas Capt :  Votre roman J'étais derrière toi a remporté un succès qui dépasse les normes habituelles du genre auprès du lectorat masculin. A quoi attribuez-vous ce succès auprès de ce lectorat ?  Nicolas Fargues :  Du fait que j'exprime, je crois, des choses que les hommes en général n'osent pas s'avouer sur eux-mêmes, ou qu'on ne s'avoue qu'entre hommes. Et c'était d'ailleurs tout le projet de ce roman

accessible à la masse.  L’imprimé participe donc à une forme de renforcement des inégalités sociales par sa diversification : en insinuant que tout le monde ne peut pas lire la même chose, il creuse l’écart entre les classes sociales. c) L’évolution du lectorat Au fur et à mesure, de nouvelles catégories de lecteurs émergent : les femmes, les enfants, les ouvriers… Grâce aux lois Ferry, le nombre de lecteurs croît et toutes les formes de l’imprimé s’adaptent à chaque catégorie de lecteurs. Dans l’esprit

marché français depuis Libération en 1973, journal qui à lui seul concentre tous les travers du secteur : faiblesse des ressources publicitaires, inertie rédactionnelle, présence sur Internet déficitaire, diffusion non optimale, perte chronique du lectorat et manque de lucidité. Certes, la PQN française ne peut plus prétendre au rayonnement de jadis, et la concurrence déchaînée des autres médias avec les répercussions sur les recettes publicitaires ne peuvent pas être balayées d'un revers de la

A/ Stratégie : Positionnement : Politique de prix d’écrémage, positionnement haut de gamme. Segmentation : Massif central vise à la fois la presse loisirs que la presse professionnelle. Constitué d’un lectorat local ou natif de la région. Cible : Le lectorat âgés 40 et plus est constitué de restaurateurs, d’artisans mais également de touristes. B/ Marketing Mix : Prix : Prix de vente de 6 €. Mise en place d’une politique de prix d’écrémage justifiée par la qualité des

Communication : CORRIGES INDICATIFS a l i z évotre avis sur ALIZE nous intéresse. Merci de nous retourner ce questionnaire rempli à l'adresse suivante : Dominique Maire – Communication Corporate – 75 quai d’Orsay – 75321 PARIS Cedex 07 Enquête de lectorat Nous souhaiterions connaître votre avis sur notre journal ALIZE afin de lui apporter d'éventuelles améliorations. Merci de consacrer quelques minutes pour répondre à ce questionnaire. 1) Habituellement lorsque vous lisez alizé, vous le lisez

d’indicateurs d’opinion détaillés, reconnus par tous, mesurables dans le temps Identifier les gisements de progrès Mesurer l’impact des actions mises en œuvre et l’adhésion II- Que mesure-t-on? a) Supports; Diffusion et lectorat : modalités de diffusion, taux de lectorat, profil et motivation des lecteurs non lecteurs, habitudes de lecture Complémentarité perçue avec les autres éléments du dispositif de communication interne b) Pratiques : - Performances du relai managérial - Fluidité

la société. Une des fonctions de la littérature est envers son lecteur, elle se doit de lui donner de l’effet lors de sa lecture. En effet, l’auteur doit, avant tout, faire plaisir à son lecteur. Mais comment un auteur peut-il faire plaisir son lectorat ? Eh bien, en premier, nous pouvons dire que la qualité de l’écriture est un des critères pour l’appréciation d’un livre. Ceci parait logique, car l’on ne lit pas un livre d’une qualité médiocre ; car notre société est habitué à l’idéal de qualité

1836, Émile de Girardin lance La Presse, un quotidien dont l’abonnement ne coûte que 40 francs par an, contre 80 francs pour les autres journaux. Pour subventionner l’entreprise, il fait appel à la publicité et aux annonces, et attire surtout un lectorat plus nombreux en publiant des romans en feuilleton. En quelques années, les ventes des quotidiens doublent. En 1848, la IIe République issue de la Révolution libéralise totalement la presse, ce qui conduit à la multiplication des journaux. Cependant