Lectorat

texte que nous allons étudier est un sonnet francais, qui vise le poète lyrique et son lectorat, il les critique en les comparant à un spectacle de foire. C’est pour cela qu’il sera intéressant de voir en quoi Leconte de Lisle se sert de la figure du saltimbanque pour livrer sa conception de la poésie ? Pour cela nous verrons tout d’abord l’image du poète lyrique : un vil saltimbanque puis l’image de son lectorat et pour finir la position de Leconte de Lisle. Nous pouvons voir que le poète lyrique

de censure que la France n’aura pas eu de quotidien plus tôt. Enfin, la presse d’annonce apparaît, ce sont des journaux d’annonces et de publicités que l’on retrouve dans toutes les villes de France. Le tirage de ces affiches est faible car leur lectorat est faible (quelques centaines d’exemplaires), limité à la région  et plutôt destinés aux bourgeois I. La presse d’information politique A. Les gazettes Les gazettes en français sont toujours très lues en France et en Europe, et connaissent une

et convaincu de l’innocence de Dreyfus prend position dans le Figaro en 1897. Cependant, le Figaro, journal fondé en 1826, est obligé de cesser sa collaboration avec Emile Zola du fait de la réaction hostile tant de ses actionnaires que de son lectorat composé essentiellement d’aristocrates et de bourgeois conservateurs et antidreyfusards. C’est dans ce contexte qu’Emile Zola adresse une lettre ouverte au Président de la République dans l’édition du journal « l’Aurore » du 13 janvier 1898, où

Les Chansons de Guillaume IX Duc d’Aquitaine, éd. et trad. A. Jeanroy, Paris, Champion, 1913, http://www.archive.org/details/leschansonsdegui00willuoft 5. Les vies des troubadours, éd. et trad. M. EGAN, Paris, Union Générale d’Editions, 1985 (lectorat). 6. Les Chansons de Jaufré Rudel, éd. et trad. A. JEANROY, Paris, Champion, 1915, http://www.archive.org/details/leschansonsdeja00jeangoog 7. Poems of Bernart de Ventadorn, éd. et trad.J. H. Donalson, Brindin Press, 2004, http://colecizj

attire un lectorat désirant s’informer autrement. Comme le mentionne Audrey Côté, rédactrice en chef de l’Itinéraire, le seul journal de rue à Montréal : « Nous avons un tirage de 20 000 copies qui confirme que les gens sont intéressés à s’informer de façon différente. Ils veulent lire l’actualité avec un regard social ». L’Itinéraire a d’ailleurs demandé, en 1997, aux chercheurs de l’UQAM d’effectuer une étude démographique pour connaître les caractéristiques principales de leur lectorat. Les résultats

monde du "buzz" dans lequel on vit, on pourrait se faire une place plus importante dans l’information numérique. Et le faite de montrer que nous avons de l’autodérision sur la communauté que nous incarnons nous permettrait sûrement de toucher un lectorat plus large voire plus laïque. DANIEL : Je sais que tu es tout nouveau dans le journal, c’est pour cela que je vais me permettre de te rappeler la base fondamentale sur laquelle j’ai construit ce journal. Je me permets de paraphraser notre cher

adaptation difficile à la concurrence des autres médias. (TV, Radio)  Une reprise en main en 2009 par Alexandre POUGATCHEV et une nouvelle offre en 2010 : le nouveau France Soir La PQN, tendances de fond  Une crise du secteur due à la baisse du lectorat  Le choix de la politique éditoriale partage forcément la cible  Les français ont une certaine désaffection pour la PQN et lisent surtout des Magazines spécialisés  Le manque de points de distribution, et le nombre réduit de Kiosques à journaux

Distribué dans 5 départements – C : Diffusion chez les actifs, A : Ce sont eux les décisionnaires , P : 66,1% du lectorat font partie de CSP + et - - C : Visibilité dans le département, A : Se faire connaître, P : 50% de la population du département est touchée des 3 insertions. - C : Mixité des lecteurs, A : Toucher aussi bien la clientèle masculine que féminine , P : lectorat 51,6% de femmes et 48,4% d’hommes 2) Semaine du … au …. Appels RDV RDV suivant Devis Commande CA Lundi Mardi

conséquent l'éditeur est obligé de réaliser de fortes dépenses marketing pour rendre son information plus attirante que celle de la concurrence. Le secteur de la presse doit donc faire face à des soucis de visibilité de son information auprès du lectorat qu'il vise. Ajoutons à cela la composante de non-rivalité de l'information, qui conduit comme nous allons le voir à un coût marginal nul. Car si l'information peut être lu par tout un ensemble d'agents sans que cette lecture ne prive un autre lecteur

audience c’est-à-dire ses lecteurs, dont la valeur est fixée par des études d’audience comme l’AEPM (Audience et Etudes de la Presse Magazine) qui étudient de façon qualitative et quantitative le lectorat. Ici, le chiffre d’affaires du journal provient donc de deux sources différentes que sont le lectorat et les annonceurs, et c’est à partir de ces deux formes de revenus que l’éditeur fixe le prix de vente du journal au lecteur, qui est donc inférieur au prix de revient final du journal. La présence