Lecture Suivie La Reine De Beauté

Madame de. op.cit. p. 35 31 Dufour-Maître, M., Milhit, J. op. cit. p. 43 32 cf. Lafayette, Madame de. op. cit. p. 269 33 Dufour-Maître, M., Milhit, J. op. cit. p. 6 34 Dufour-Maître, M., Milhit, J. op. cit. p. 8 35 cf. Laugaa, M. 1971. Lectures de Madame de Lafayette. Paris : Armand Colin, p. 14-15 36 Lafayette, Madame de. op. cit. p. 265 37 Ibid. 38 Laugaa, M. op. cit. p. 16 39 Laugaa, M. op. cit. p. 14 40 Haussonville, Le Comte d’. op. cit. p. 192 41 Lafayette, Madame de.

sont différents de ceux qui servent de cadre à la vie de notre race, partout où les hommes nous paraissent être moins verger natal. nos semblables ; mais il est surtout dans le décor des floraisons luxuriantes, dans la beauté épa- (1) Ernest Babut, Cahiers indochinois (cinquième cahier). LES ORIGINES 17 nouie du ciel miraculeux, parmi heureuses. la douceur par- fumée des « îles Car, nous gardons au fond de nous une nosdilection

récente qui en transmet et renouvelle les modèles – de Chrétien de Troyes à Jean Echenoz, comme de Marguerite de Navarre à Marie NDiaye. À l’écrit comme à l’oral, les notes qui sont attribuées font l’objet de procédures d’harmonisation et d’un suivi des modalités de l’évaluation rigoureux visant à 1 Sont éliminés les candidats qui sont absents à une épreuve, ont remis une copie blanche ou ont obtenu une copie notée 0. 006 assurer l’équité entre les groupes de correcteurs ou entre

illustrent des faits stylistiques comme le tétramètre qui immortalise la passion de Phèdre pour Hippolyte : « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. » Elles résument pour nous une intrigue : « Rodrigue, as-tu du cœur ? » Elles contribuent par leur beauté mystérieuse à fonder notre sensibilité comme ce « Soleil noir de la Mélan- © Groupe Eyrolles 7 colie » qui affecte et illumine Nerval. Elles sont, avouons-le, parfois tout ce qui nous reste d’un auteur ou d’une œuvre, mais n’est-ce pas dire

imprimeurs, distribuant des privilèges et des monopoles pour protéger les nouveaux artisans. Les réformateurs, plaçant au centre de leur réflexion la question du salut, dénonce la vente des indulgences par l’Église. Avec les humanistes qui préconisent la lecture des textes antiques, ils écrivent la Bible en langue vernaculaire, comme Martin Luther en 1534. Cependant, ces traductions ne mentionnent pas les saints, ni le culte de la Vierge ou le Purgatoire, ils s’opposent ainsi à l’Église catholique. Grâce

de Marivaux (cf. manuel, pp. 288-289) ; • Six personnages en quête d’auteur (1921), de L. Pirandello (cf. manuel, pp. 290-291). III/ Le héros romantique : • Ruy Blas (1838), de V. Hugo, Acte I, scène 3 (v. 275-325) —> cf. Textes 1, Lectures analytiques. • Hernani (1830), de V. Hugo, Acte III, scène 4 (v. 973-1008), p. 344 du manuel ; • Lorenzaccio (1834), d’A. de Musset, Acte III, scène 7, p. 345 du manuel. Les combats de la poésie I/ Aspects de la poésie : De triste

être jouées. - Molière se situe ensuite au XVIIème dans cette mouvance : cf la préface de l’Amour médecin : « Les pièces ne sont faites que pour être jouées et je ne conseille de lire celle-ci qu’aux personnes qui ont des yeux pour découvrir dans la lecture tout le jeu du théâtre ». (Molière, la préface de L’amour Médecin) - tant que le texte n’a pas passé l’épreuve de la scène il demeure incomplet. D’ailleurs à l’époque les pièces ne sont pas publiées avant d’être jouées. La fin du XVIIème voit la création

literatura, p. 50/dans: Z dziejów form artystycznych w literaturze polskiej, vol. 84: Stereotypy w literaturze (i tuż obok), W. Bolecki et G. Gazda, (éd.), Warszawa, Instytut Badań Literackich PAN, 2003, T. de l’auteur 38 J. Dufays, Stéréotype et lecture, Liège, Mardaga, 1996, p. 227 39 ibidem, p. 228 40 ibidem, p. 228 37 16 pour qui l’un des devoirs du poète est réhabiliter les lieux communs, en les utilisant comme s’ils n’étaient jamais devenus des vielliards officiels.41 Ensuite, il analyse

personnage de roman au fil des siècles ? Quelles valeurs l’auteur transmet-il au lecteur ? Séquence I : La construction du personnage de roman Problématique : Comment se construit le personnage d’un roman ? Séance 1 : Le portrait de l’héroïne Lecture en classe du chapitre 1 de Un Cœur simple, de G.Flaubert Questions de compréhension A – Le cadre du récit 1. Où et quand se passe l’action ? Quels sont les personnages présents ? 2. Délimitez trois parties dans ce chapitre et donnez leur un titre

sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité[2]. Comme le suggère le titre de son recueil, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur fugitif et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), mais aussi entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère ») et même entre les artistes à travers les âges (Les Phares[3])