Lecture

nous essaierons de voir s’il l’est vraiment toujours, dans toutes les situations. Et enfin dans une troisième partie, nous nous questionnerons sur d’autres effets ou fictions possibles des livres. Le livre est un outil de liberté, en effet la lecture permet de se distraire. Cela étant son rôle principal. Mais c’est aussi un bon moyen d’évasion. Il peut nous libérer de la réalité extérieure et nous faire oublier le temps qui passe. Dans L’Enfant, de Jules Vallès, le personnage principal lit Robinson

quelques années, et que j’ai décidé de mettre en place cette année avec vous, amateurs de livres et d’histoires extraordinaires, scénaristes en herbe ou futurs romanciers. Vous savez de quoi je veux parler? D’un Club de Lecture! Mais pas n’importe quel club de lecture, un club de lecture actif attractif et passionnant ou chacun trouvera sa place. En quoi cela consiste exactement ? Et bien, je souhaite créer un espace où touts les personnes qui aiment lire ou qui voudraient se mettre a lire, et même

Modernes et formatrice IUFM Lycée Jean Monnet 15000 AURILLAC Plan de la séquence : 1) Préparer l'entrée dans l’œuvre : séries générales, séries technologiques, toutes séries 2) Etude de l’œuvre : projet de lecture; objectifs culturels, objectifs méthodologiques, vers l'EAF, lectures méthodiques, études d'ensemble, exposés, description de 9 séances en 1ère technologique 3) Prolongements 1. Préparer l’entrée dans l’œuvre :   A) Séries générales Groupement de textes : " Théorie et pratique

lecteurs de théâtre, ne serait-ce que dans le cadre scolaire, nous incitera à montrer que la simple lecture d’une pièce permet d’en imaginer la représentation. Sans doute celle-ci n’est-elle pas à négliger et peut-elle apporter beaucoup, mais au final, il nous semble surtout que lecture et représentation peuvent se compléter et n’ont pas à s’exclure l’une l’autre. I) La simple lecture permet d’imaginer la représentation 1) Le rôle des indications scéniques (ou didascalies) pour « imaginer

Belgique RÉSUMÉ Les I. O. de la Communauté Française de Belgique appellent à la construction des savoirs par le biais d’une approche par les compétences. Ces injonctions demandent l’ajout d’une dimension communicative en aval de l’acte de lecture comme motivation et pour donner du sens aux apprentissages. Notre recherche-action qui prend comme thème de travail « Le Prix des lycéens » démontre que connaissance et proximité ne peuvent être développés par le seul « tête-à-texte » (P. Kuenz)

textes et documents abordés en lecture cursive ne doivent pas être apportés mais vous devez pouvoir en parler lors de l’entretien. Vous n’avez droit à aucun autre document que le texte sur lequel vous êtes interrogé. Vous utilisez exclusivement les feuilles de bouillon remises par le professeur examinateur pour préparer cette épreuve orale. II. Organisation de l’épreuve : Sa durée totale est de 20 mn; elle comprend successivement : 1 . La lecture analytique d’un texte littéraire

réflexion sur son texte et sur la lecture en général. Question possible : Quelle conception paradoxale de la lecture R développe-t-il ici ? Problématique : Paradoxe : combinaison de deux idées à priori cntradictoires. Quels sens contradictoires trouve-t-on dans le G, comment R résout-il cette contradiction ? Quels sont les enjeux véritables de la lecture du G ? Plan possible répondant à la question : I- Un texte contradictoire, qui entraîne des lectures contradictoires 1- opposition

remplit véritablement cette fonction. Nous verrons dans une première partie que le point de vue de l‘auteur se défend certes. Cependant nous verrons dans une seconde partie que l’on peut considérer qu’il existe certaines limites aux bienfaits de la lecture. Tout d’abord, sur le plan personnel, ouvrir un livre signifie s’évader du quotidien, découvrir des paysages, des personnages que l’on n’aura surement jamais l’occasion de croiser… Le succès de la saga d’Harry Potter de JK. Rowling appartenant

d’enseignement-apprentissage de la littérature. Ce faisant, il souligne la rupture historique qu’a constitué le passage d’une didactique axée sur la seule littérature à une didactique davantage centrée sur la lecture, et il distingue trois conceptions trop souvent confondues de la « lecture littéraire » : celle qui se fonde sur la participation psychoaffective du lecteur aux contenus textuels, celle qui privilégie sa distanciation critique, et celle, inspirée de Picard, qui met en évidence le va-et-vient

difficultés. C’est le cas, dans l’enseignement du français, du problème de lecture des œuvres en général chez les jeunes collégiens et lycéens. En effet, les résultats de l’exercice « autour d’un mot » appliqué au mot lecture et aux mots roman, poésie, théâtre, conte effectué par un enseignant sur ses élèves sont alarmants. Sur un échantillon de 30 élèves de la classe de première le premier a produit la suite suivante : lecture – auteur – livre – école.les résultats pour le mot conte ne sont pas meilleurs