Légat

Dominique) et cathares (Benoît de termes) Pendant le Pontificat d’Innocent III (1198-1216), le pape nomme des légats qui lui réfèrent directement sans passer par le clergé local jugé trop timoré. Des pouvoirs spéciaux sont accordés à Pierre de Castelnau, légat du pape et plus tard aux Dominicains, dans le cadre de la tristement célèbre Inquisition. En 1209, suite à l’assassinat du légat Pierre de Castelnau l’année précédente, Innocent III décrète la première croisade à se dérouler en territoire

 Raymond de Saint-Gilles, rassemble, quant à lui, avec le légat du pape Adhémar de Monteil, la plus grande des armées des croisés, qui traverse laDalmatie, non sans difficultés, durant l'hiver et parvient à Thessalonique début avril 1097 et à Constantinople le 21 du même mois. Formée de contingents féodaux cheminant isolément, encombrée de non combattants, la croisade ne répond pas au désir du pape qui l’aurait voulu unie sous la direction d’un légat et d’un chef laïc. Elle répond encore moins aux vœux

post-conquête normande à n'avoir jamais été moine. Alors qu'il est archevêque, Guillaume se trouve impliqué dans une dispute avec Thurstan, l'archevêque d'York, quant à la primauté de Cantorbéry. Le pape décide, comme solution temporaire, de nommer Guillaume légat du pape en Angleterre, ce qui lui octroie des pouvoirs supérieurs à ceux d'York. Guillaume porte une grande attention à la morale du clergé, et préside trois conciles légatins qui, entre autres, condamnent la recherche du profit ou du sacerdoce et

défenseur des indiens, en présence d’un cardinal, légat du Pape. Dans cet extrait, le légat a fait venir dans le couvent des bouffons et acrobates de la cour d’Espagne pour voir si les amérindiens sont capables de rire. Sepùlveda ne détache pas son œil attentif des Indiens, lesquels ne rient pas et considèrent tout ce qui se passe avec une sorte d’effarement, qui a succédé à leur indifférence. Même l’acrobate paraît maintenant stupéfait. Quant au légat, vers qui se tournent à tout moment les regards

Indiens considérés comme créatures de Dieu → Ils sont de véritables hommes Wikipédia Au xvie siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat du Pape, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? De la réponse doit découler l'arrêt ou non de l’esclavage dont ils sont alors les

s’affronter maintenant le roi de France. Philippe a fait arrêter, en 1302, l’évêque de Pamiers qui n’a pas admis que, pour financer ses guerres, Philippe saisit les revenus de l’Eglise. Pour marquer son autorité, Philippe fait encore emprisonner le légat du pape. Une bulle Ausculta Filii somme le roi de libérer les prélats emprisonnés. Philippe veut que le royaume soit juge. Pour la première fois, il convoque les Etats généraux à Paris. Ceux-ci donnent raison au roi. Ses envoyés insultent le souverain

FICHE DE LECTURE La controverse de Valladolid I Argumentation principale du livre Au printemps 1550, le légat du Pape organise dans un couvent à Valladolid, capitale espagnole, un débat crucial alors que l’Amérique a été découverte depuis plus de 50 ans : les Indiens d’Amérique appartiennent-ils ou non à l’espèce humaine, c'est-à-dire sont-ils des créature de Dieu ? C’est une controverse, c'est-à-dire un dialogue entre Bartolomé de Las Casas et Gines de Sépulvéda. Ces deux hommes s’affrontent

chanson » l.13.. Elles traduisent son émotion. Des questions oratoires (l.56-57). « Les indiens sont des sous hommes, des esclaves né » :::> la thèse de Sépulvéda « Les indiens sont des hommes à l'égal des européens » :::> la thèse de Las Casas Le légat du pape, « cardinale », il est arbitre du débat et il représente l'enjeu du débat car les espagnols s'en remettent à la décision du pape pour savoir s'il faut ou non réduire les indiens à l'esclavage. Les 2 autres locuteurs doivent le convaincre et

Domitilla l’Aînée de 38 à 69 et Caenis de 69 à 74. Avant de devenir empereur il fut préteur (est un magistrat de la Rome antique) sous Caligula, consul en 51, proconsul = gouverneur dans le monde d aujourd’hui, d’Afrique en 61. Par la suite il devient légat (qui signifie « envoyer avec une mission », « nommer comme lieutenant ») de Judée et il mate la révolte juive début 66. Il finit par être proclamé empereur en 69 à Alexandrie par les légions d’Orient sous l’impulsion de Tiberius Julius Alexander, le

Valladolid en Espagne afin de juger si oui ou non Dieu avait doté les Indiens d’une âme et s’ils pouvaient être considérés égaux aux Espagnols.Ainsi, deux personnages aux points de vue totalement différents vont défendre leurs idées, supervisés par le légat du Pape. Tout d’abord nous avons le philosophe Juan Ginès de Sépulvéda qui se tient en faveur de l’esclavage et de la colonisation et affirme que les indiens appartiennent à une sous-catégorie “né pour servir et être dominé” (2e post it jaune).En face