Légende

principaux ; les contes, les mythes et les légendes. Le conte se caractérise par son aspect fictif. Il a souvent été utilisé pour divertir les enfants et le peuple ignorant, il sert de prévention sociale. En revanche le mythe, lui, est un récit qui relate des péripéties plutôt divines ou héroïques, expliquant par ces créatures ce que l’homme n’est pas en mesure de comprendre par la science. Ce sont des récits déclarés véridiques par le peuple. Quant à la légende, elle se caractérise par le merveilleux

autobiographique et mythologique est tel que l’auteur parvient à élever son propre discours au rang de mythe ou de légende comme le suggère le critique Caroline Lepage : « Le roman ne part pas du mythe pour retrouver la réalité, mais opère le mouvement inverse : il s’agit de partir de la réalité [...] faite d’anecdotes personnelles, pour la hisser au niveau des mythes et construire ainsi une légende familiale ». L’essence universelle du mythe autorise, dés lors, la réflexion ontologique que propose García

Dom Juan, héros légendaire de nombreux contes populaires et archétype du libertin impie. La légende de Dom Juan remonte au Moyen Âge. Elle apparaît pour la première fois en littérature dans la pièce el Burlador de Sevilla (1630) attribuée à Tirso de Molina. Dans cette œuvre, le libertin Dom Juan séduit la fille de Don Gonzalo, commandeur de Séville. Après l'avoir tué lors d'un duel, Dom Juan se rend sur sa tombe et cyniquement invite à une fête la statue funéraire de la victime. La statue s'anime

est un poète normand du XIIe siècle, auteur d'une version archaïque de Tristan et Iseut. Béroul est le nom que l'on donne par convention à l'auteur d'une version en vers de la légende de Tristan et Iseut, écrite dans un dialecte normand, ce roman nous a été transmis par un unique manuscrit. Tristan et Yseult est une légende mythique bretonne qui vas etre écrite par Béroule au 12ème sicèle, le serment ambigu retrouvé en plusieurs parties mais texte incomplet. Pbk → Comment l'auteur parvient il à mettre

LA LEGENDE DE LA LICORNE En grec ancien, la licorne est désignée par le mot « monokeros » qui signifie « avec une seule corne ». Le mot « licorne » nous vient de l'italien « alicorno », lui-même tiré du latin chrétien « unicornis », dont la signification est la même que pour le mot grec. On nomme parfois la licorne d' « unicorne ». Les premières licornes représentées ressemblaient à toutes sortes d'animaux, mais rarement à un cheval blanc tel qu'on la décrit aujourd'hui. Au moyen-âge, les licornes

Loreley » daté de 1902, appartient à la section « Rhénanes » d’Alcools. Dans ce poème, Apollinaire reprend une légende allemande, plus particulièrement rhénane : celle d’une femme dont les pouvoirs maléfiques entraînaient les bateliers vers la mort. C’est un thème qui renvoie à celui des sirènes et des ondines. Lecture I. Le récit d’une légende 1) Un conte a) La formule initiale Tout d’abord, le poème d’Apollinaire s’inscrit dans le genre du

Aristophane lui attribue l'invention de nombreuses traditions athéniennes, dont celle de la consécration de la chevelure des éphèbes. Son exploit le plus célèbre et sa légende donnent lieu à de nombreuses interprétations. Certains spécialistes de l'histoire des religions ont souligné l'importance de la mythologie lunaire dans les légendes de Thésée. Les origines du mythe remontent au viie siècle av. J.-C., notamment d'une épopée archaïque appelée la Théséïde, transmise de manière orale, et dont les

légendaire L'excellence sportive est considérée comme exceptionnelle, rare, unique. Dans cette société cette excellence se dis rare et exceptionnelle, et est l'objectif a atteindre pour chacun. On as affaire ensuite dans le texte a un énonciation de légende, de personnes ayant atteints cet objectif : Marie Joperec : avec ses record et titres Olympiques Alberto Juantorena : gagner 400 et 800 mètres aux Jeux Olympiques de Montréal en 1976 Mickael Johnson : vainqueur 200 et 400 mètres aux Jeux Olympiques

conte de fées : Charles Perrault, Jacob et Wilhelm Grimm, et Hans Christian Andersen. 2.3 Etude comparative Il serait intéressant de distinguer les contes de fées,  des récits qui lui sont assez proches tels que les fables, les mythes, et les légendes. De cette manière, il serait plus facile d’en déterminer sa structure.   Le mythe : Au sens strict, le mythe est un récit fabuleux, transmis par la tradition, et qui met en scène des êtres incarnant sous une forme symbolique, des forces de la

par les espagnols, le terme « shay » deviendra « xi » puis x pour simplifier. Omar Al-Khayyâm est un mathématicien (également astronome et poète), qui poursuivit l'œuvre d'Al-Khawarizmi en classant les équations du troisième degré en 14 types. La légende dit que pendant ses études à Nishapur, Omar fit un pacte avec Abd-ul-Kassem et Hassan Sabah : le premier qui connaitrait la gloire devrait tout partager avec les deux autres. Kassem devint vizir et offrit des postes au gouvernement à ses compagnons