Lentille Mince

personne voit les objets plus flous avec leur éloignement, car l'œil est trop long, et les rayons lumineux se rencontrent devant la rétine. Autrement dit, le myope voit moins bien de loin que de près. Ceci peut être corrigé par des lunettes des lentilles de contact ou encore par le laser excimer Pour un œil "normal", c'est à dire sans défauts, l'image d'un objet observé se concentre sur la rétine peu importe la distance où se trouve l'objet regardé, grâce à l'adaptation du cristallin qui se déforme

Les formules importantes de la 1ère. C en dioptrie δ f’ en mètre Œil, lentilles minces & images. La distance focale : f'=OF'=FO Vergence : C= 1f'= 1OF' Relation de conjugaison des lentilles minces. * La relation de conjugaison (distance lentille-objet ou lentille-image) : 1OA'-1OA=1OF' * OA est négative lorsque l’objet est placé avant la lentille. Le grandissement : γ=A'B'AB=OA'OA Lumière & couleur. * Où T = 273 + Ɵ ƛ en mètre T en Kelvin Ɵ en degrés

| | | | | |Conditions de mise en œuvre|Prérequis : Cours sur l’œil et les lentilles convergentes | | |Durée : 1 H 30 | |

(Physique-chimie) (1point) Restituer des connaissances 1) La déviation de la lumière lorsqu’elle pénètre dans l’œil est-elle due au phénomène de réfraction, de réflexion ou de diffusion ? 2) L’ensemble cornée/cristallin est-il assimilable à une lentille convergente ou divergente ? Question 2 (Physique-chimie) (1.5 point) Mobiliser des connaissances Calculer Un œil normal a un diamètre d’environ 23 mm et donc une « distance focale » f = 23 mm lorsqu’il observe un objet éloigné. 1) Quelle est la

= = 1 SR HR HL + LR HL + 1 − 0.015 + − 10 DL0 œil gauche -8,70 δ 5.2.2) Si on considère les lentilles placées en H, les yeux se comportent comme des yeux emmétropes. L'accommodation nécessaire pour voir à 50 cm est alors de 2,50 δ. Avec les lentilles il n'y a plus d'effet prismatique, la convergence est de 2,5 a.m. La relation accommodation convergence est donc normale. 6.1) Avec la lentille supposée en H, l'œil se comporte comme un œil emmétrope et donne donc d'un objet AB éloigné une image

III L’histoire des lunettes 1)Les bésicles Les bésicles étaient dotées de verres biconvexes et s’adressaient tout d’abord au presbytes, autrement dit aux plus âgés. On enchâssait deux lentilles rondes dans deux cercles le plus souvent de bois ou de corne, surmontés chacun par une tige. Ces deux tiges formaient un angle fixé par un clou. Ainsi les appelait-on familièrement les « clouants». Ces lunettes étaient disgracieuses, parfois lourdes et pour s’en servir on devait les tenir d’une main

vivant en milieu urbain. On peut aussi définir 3 DAS comme suit : Solaire, Junior, Optique 4) Spécialisation et diversification On peut imaginer que l’entreprise va continuer à se spécialiser dans d’autres produits optiques tels que des lentilles de contact ou des lunettes progressives qui ne gênent plus, ce qui élargirait le marché actuel. Mais ils pourraient également se spécialiser sur un segment de la clientèle comme en vendant plus aux hommes ou aux femmes. En imaginant cette solution

Dans un second temps, il examine la partie périphérique de la rétine. L’examen du fond d’œil se déroule en position assise, dans l’obscurité, en ayant ôté vos lunettes ou vos lentilles de contact éventuelles. Le médecin utilise une source lumineuse pour observer le fond de votre œil. Il s’agit d’un ophtalmoscope (sorte de lentille), qui permet un examen sans contact direct avec l’œil. Dans certains cas il peut utiliser une lampe à fente et un verre de contact à trois miroirs (verre de Goldmann) posé

écran. Le trou doit être suffisamment petit pour que chacun des points de l’objet soient projetés en un seul rayon lumineux. Si le trou est trop gros, l’image sera floue. Une lentille convergente : En1540, Jérôme Cardan ajoute une lentille convergente derrière le petit trou, c’est une révolution. Non seulement la lentille permet de donner une image claire et nette mais surtout l’ouverture peut être alors agrandie pour laisser plus de lumière sans que la netteté en souffre. Quant à la pellicule

caractériser, une diode blanche et une diode infrarouge. La manipulation est simple, nous polarisons la diode blanche dans un premier temps (car la lumière est visible) à l’aide d’un générateur de pulses. Nous faisons ensuite nos réglages à l’aide d’une lentille convergente pour que le faisceau en sortie de la diode soit focalisé sur l’entrée d’un spectromètre. Ensuite le signal est récupéré grâce à une photodiode en sortie du système. Un programme LABVIEW permet de régler le spectromètre à l’ordre 0 et