Léon Walras

NEO-CLASSIQUE        1 - Une conception individualiste et rationaliste de la société La microéconomie est née aux environs des années 1870 et a pris sa forme définitive dans les années (1930-40). Les pères fondateurs sont, entre autres, - le Français Léon Walras (1834-1910), - l'Anglais Stanley Jevons (1835-1882) - l'Autrichien Carl Menger (1840-1921). Le projet de ces hommes était de fonder l'étude de l'économie sur des bases scientifiques et de déduire les lois les plus fondamentales de

cadre très précis où s'opère la fixation des prix. En théorie : l’équilibre général tel qu'imaginé par les néoclassiques explicite le fonctionnement d'un processus de convergence progressive des prix jusqu'à ce s'établisse un prix d’équilibre. Léon Walras évoque un mécanisme de tâtonnements progressifs. Le concept est différent de la main invisible d’Adam Smith2, et semble plus proche de la notion d’ordre que l’on trouve chez Malebranche3. En pratique : la conduite de l'analyse du fonctionnement

de l’étude de la micro. La macro n’est qu’une généralisation de la micro.  Les néoclassiques (Léon Walras) ont une approche microéconomique et considère que cette approche est la seule valable. La microéconomie est aujourd’hui l’économie dominante.  Les keynésiens eux font directement de la macroéconomie et refusent l’approche microéconomique.  A l’époque classique (18e-19e : de Smith a Walras) les économistes ne se posent pas la question du type d’approche, l’approche est directement macroéconomique

marcher. Chaque bien relève de marcher particulier donc multitude de marcher. Quand on les prend tout ensemble en regardant quand il interagisse ensemble : général et seul c'est partiel) L’équilibre général : concept développer a partir du 19eme par Léon Walras et Vilfreedo Pareto… qui est une analyse des marcher en même temps et de leur interdépendance. Il cherche la situation d équilibre de tout ces marcher. L éco est constituer d une multitude de marcher. Le marcher pour les bien est service qui peut

cadre très précis où s'opère la fixation des prix. En théorie : l’équilibre général tel qu'imaginé par les néoclassiques explicite le fonctionnement d'un processus de convergence progressive des prix jusqu'à ce s'établisse un prix d’équilibre. Léon Walras évoque un mécanisme de tâtonnements progressifs. Le concept est différent de la main invisible d’Adam Smith2, et semble plus proche de la notion d’ordre que l’on trouve chezMalebranche3. En pratique : la conduite de l'analyse du fonctionnement

travaille pas, c’est qu’on ne le veut pas. III) Les économistes marginalistes : les néo-classiques (fin 19e / début 20e) : Les néo classiques ou marginalistes. Trois écoles fondatrices : o ECOLE DE LAUSANNE : • Léon Walras (1874) : Eléments d’économie politique pure «  si sur n moins 1 marché l’équilibre est respecté, le marché n le sera aussi ». Arbitre entre l’offre et la demande en jouant sur le prix. • Vilfredo Pareto (1897) : Cours d’économie politique

a davantage postuler cette prééminence du laisser faire qu’il n’en a démontré la validité. Ce sont les développements de la théorie de l’équilibre général qui ont permis d’avancer dans la formalisation de cette question. Les travaux du français Léon Walras dans les années 1870 puis du Prix Nobel américain Kenneth Arrow et du prix Nobel français Gérard Debreu dans les années 1950 ont contribué à donner des conditions nécessaires à la validité de ce résultat. L’exercice de la formalisation mathématique

les néoclassique fondateurs. Sur le plan du repérage spatial de ce courant on peut cité 4 sites incarné par des écoles : L’école de Cambridge ( S.Jevos), L’école de Vienne ( Carl Menger, Böhm Bawark, Van Weiser), L’école de Lausanne en suisse ( Léon Walras, Vilfredo Pareto), L’école de Stockholm ( Wicksell). Les Néoclassique contemporain : Ecole de Chicago (école monétariste) «  M FRIEDMAN » Ecole des choix publique «  James Buchanan » Ecole de l’offre «  Arthur Laffer » Ecole des anticipations

un comportement qui l’amène à obtenir un maximum de satisfaction alors qu’il dispose de ressources rares ayant des usages alternatifs. Section I : Le nouveau Paradigme de la Valeur Karl Menger (1840-1921), Stanley Jevons (1835-1882) et Léon Walras (1834-1910), vont faire paraître en 1870 des bouquins et articles qui fondent un nouveau concept : la théorie de la valeur subjective, et ce, alors qu’ils ne se connaissent pas. Ce courant est aussi nommé : courant marginaliste ou de l’utilité

De nos jours l’on constate facilement que sur des marchés déterminés, comme celui du travail en France, il y a de graves déséquilibres. Ceci provoque un chômage important et une exclusion sociale cruelle. En premier lieu, il convient de distinguer les équilibres généraux et les équilibres partiels. Il y a un équilibre général quand tous les marchés sont en équilibre et, pour qu’il y ait un équilibre sur un marché, il faut que l’offre soit égale à la demande. Le cadre spatio-temporel se limitera à